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Coronavirus et pétrole : double choc sur les marchés financiers @cmarkea @arkeaIS
Source : Arkea Investment Services

L’inquiétude sur les marchés s’est renforcée suite à la forte augmentation du nombre de personnes contaminées hors de Chine. Affectant de nombreux secteurs tels que le tourisme, le luxe, la technologie, l’automobile, les transports ou encore le secteur pétrolier, cette épidémie se développe alors que la conjoncture mondiale commençait à manifester des signes de redressement suite aux accords commerciaux USA-Chine signés mi-janvier. Le 07 mars, la décision surprise de l’OPEP d’augmenter sa production de pétrole a provoqué l’effondrement du prix du pétrole jusqu’à 33 dollars, renforçant l’anxiété des marchés.
Une économie qui souffre
Jusqu’à février, l’économie US se montrait résistante, les créations d’emplois se redressant et soutenant la consommation des ménages. Le secteur immobilier demeurait bien orienté grâce à la baisse des taux longs. Bien que moins ouverte à l’international, l’économie US commence, elle aussi, à subir les conséquences de l’augmentation de personnes contaminées. Cela devrait affecter la consommation des ménages (hôtellerie, luxe, tourisme) et l’investissement des entreprises notamment des secteurs technologiques (chaînes de production) et pétroliers (forte baisse récente du pétrole)…
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Fintech : la finance alternative en plein essor @Bpifrance
Source : Bpi France

Cette semaine, la finance alternative fait l’actualité. Avec un taux de croissance de 25% par an, l’engouement pour ce nouveau mode de financement est mondial.
La finance alternative gagne du terrain. Avec 300 milliards d’euros de fonds levés à travers le monde, et un taux de croissance de 25 % par an, le secteur qui rassemble notamment les plateformes de crowdfunding, s’impose de plus en plus comme une offre complémentaire des financements bancaires traditionnels.
Crowdfunding : un marché dynamique
Un mode de financement qui connaît un grand succès en Chine. Selon KPMG, le pays capte à lui seul 75 % des sommes investies. Les États-Unis quant à eux se placent sur la seconde marche du podium, avec 19 % des sommes investies, devant l’Europe, avec 6 %. Si les Anglais restent les champions en Europe, le marché français brille malgré tout par son dynamisme. En 2018 en France, ce sont ainsi 1,4 Md€ qui ont pu être levés. Un montant presque 5 fois supérieurs aux fonds collectés en 2015…
Quelles sont les perspectives économiques pour 2019 ? @cmarkea
Source : Arkéa
Les économistes de la salle des marchés du Crédit Mutuel Arkéa dévoilent les différentes perspectives économiques et des marchés financiers pour 2019.
Chiffres clés pour 2019 :
– États-Unis : les effets de la réforme fiscale se dissipent, provoquant le ralentissement
de l’activité
– Fed : en conséquence une seule hausse de taux prévue en 2019
– Chine : une relance budgétaire nécessaire pour que l’économie atterrisse en douceur
– Tensions commerciales : dirigeants américains et chinois rattrapés par les craintes des
marchés financiers trouvent un terrain d’entente
– Zone euro : à la veille des élections européennes, la croissance repartirait au premier semestre sous l’impulsion de dépenses publiques plus importantes qu’en 2018
– BCE : un premier resserrement au second semestre 2019
– Euro / Dollar : l’euro s’apprécierait face au dollar porté par ces changements d’anticipations dans les deux régions
– BREXIT : Un « Hard Brexit » serait évité, mais l’instabilité politique perdurerait
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Lire également :
#Brexit : les impacts sur l’économie
Les taux d’Etat à 10 ans en Zone euro et aux Etats-Unis se sont stabilisés la semaine passée, avant la réunion de la Fed les 26 & 27/07
Les impacts « exceptionnellement incertains » du Brexit sur l’économie expliquent le nouvel abaissement des prévisions du FMI
Le FMI a réduit le 19/07 de 0,1 point ses prévisions de croissance mondiale à la fois pour 2016 et 2017 par rapport à avril dernier, à respectivement +3,1% et +3,4%, du fait des incidences du Brexit, qui ne devraient néanmoins se faire ressentir qu’au cours du temps. Le Fonds avait en effet décidé, avant le vote britannique en faveur d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, de relever ses prévisions de croissance globale de +0,1%, en raison de l’anticipation d’une nette amélioration de la situation économique au Brésil et en Russie, qui devraient s’extraire de la récession en 2017, avec des taux de croissance respectifs de +0,5% (+0,5 point de croissance prévu par rapport à avril) et de +1% (en hausse de +0,2 point). En outre, le FMI a ajusté en hausse ses prévisions de croissance pour 2016 en France (+0,4 point à +1,5%), ainsi qu’en Z.E et en Allemagne (+0,1 point à +1,6%). Il a cependant ensuite abaissé ses prévisions de croissance pour les principaux pays européens en 2017, mais de façon plus prononcée en Allemagne, principal fournisseur et client du Royaume-Uni au sein de la Zone euro (-0,4 point à +1,2%), et surtout au Royaume-Uni (-0,9 point à +1,3%), en raison d’un fléchissement probable de la confiance des entreprises et des ménages britanniques. A l’inverse, le Fonds estime que les économies américaine (-0,2 point à +2,2% pour 2016, du fait du début d’année maussade, et inchangée à +2,5% pour 2017) et chinoise (+0,1 point à +6,6% en 2016 et inchangée à +6,2% en 2017) ne seront que peu affectées par le Brexit. Il précise enfin que les développements relatifs aux nouveaux accords commerciaux entre la Z.E et le Royaume-Uni auront un poids important sur l’évolution de ses projections de croissance.
Zone euro : la BCE maintient un statu quo monétaire très largement anticipé lors de sa réunion du 21/07
La BCE n’a modifié ni ses taux directeurs (taux de refinancement à 0% et taux de dépôts à -0,4%) ni son programme d’achat d’actifs (80 Md€ par mois). Bien que M. Draghi juge que le Brexit pourrait ôter entre 0,2 et 0,5 point de croissance en Z.E lors des 3 prochaines années, il s’est montré prudent, précisant que l’évaluation de la situation nécessite du temps et des informations complémentaires. Alors que l’utilisation éventuelle d’un instrument monétaire spécifique pour faire face aux effets du Brexit n’a pas été abordée, M. Draghi a répété que la BCE était prête à assouplir de nouveau sa politique monétaire si nécessaire, pour soutenir croissance et inflation. Le Ministère des finances français a suivi les recommandations du Gouverneur de la Banque de France et décidé que la rémunération du livret A resterait à 0,75% au 1er août. Le faible niveau d’inflation hors tabac (+0,2%) aurait néanmoins dû conduire à un abaissement de son taux à +0,5%, selon la formule de calcul.
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#Brexit : Impact sur l’économie britannique
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