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Les Français, leur épargne et leur retraite
Les résultats sont en ligne sur le site du Cercle de l’épargne
Le report de l’âge de départ à la retraite fait toujours débat au sein de la population française. Mais, d’après les résultats de l’enquête 2015 du Cercle de l’épargne publiée ce mercredi 24 juin 2015, 51 % des actifs seraient prêts à accepter de travailler jusqu’à 65 ans pour avoir une meilleure retraite contre 49 % qui ne le souhaitent pas. Une position qui tient sans doute à la crainte de ne pas disposer de revenus suffisants à la retraite : plus de quatre actifs sur cinq estiment que leur pension sera insuffisante.
L’enquête 2015 du Cercle de l’épargne, confirme les inquiétudes régulièrement exprimées par les Français au sujet de leur retraite : 81 % des actifs interrogés estiment que leur future pension sera insuffisante et 61 % expriment le même jugement. Alors que les partenaires sociaux sont en discussion pour décider des mesures susceptibles de garantir l’avenir des régimes de retraite complémentaire et que l’une des options sur la table est l’application d’abattements sur les pensions avant 65 ans, 51 % des actifs se disent prêts à accepter de travailler jusqu’à cet âge pour avoir une meilleure retraite. Pour autant, deux tiers des personnes interrogées pensent qu’au moment de liquider leurs droits à retraite, l’âge de départ sera fixé à 65 ans, voire davantage. Ce sont d’ailleurs « les revenus les plus faibles [moins de 2000 euros] qui s’y déclarent le plus volontiers prêts pour compenser un niveau de vie trop faible », notent les auteurs de l’enquête 35 % prêts à cumuler emploi et retraite 14 % C’est la part de retraités qui continuent d’épargner régulièrement pour leur retraite (40 % déclarent le faire « quand c’est possible »).
Crowdfunding culturel:6 récompenses par Rennes Métropole
Financement participatif de projets culturels
La Dynamo Culturelle : six projets récompensés
Les collectes des porteurs de projets inscrits dans la Dynamo Culturelle sur le site proarti.fr ont pris fin le 31 mai 2015. Au terme de cette première édition, six projets (sur treize projets inscrits) ont finalisé leur collecte participative et ont reçu, mardi 16 juin 2015, une dotation complémentaire de la part de Rennes Métropole et de la Caisse des Dépôts.
Une grande diversité de projets a été dénichée grâce à ce dispositif de crowdfunding initié par Rennes Métropole. À l’heure du bilan, la seconde édition de la Dynamo Culturelle est annoncée pour 2016. De nouveaux artistes de la métropole rennaise pourront prochainement se lancer dans l’aventure et, à leur tour, faire découvrir au public leurs projets culturels afin qu’ils deviennent réalité.
Une dotation complémentaire de Rennes Métropole et de la Caisse des Dépôts
Durant la phase de collecte de la Dynamo culturelle, du 2 mars au 31 mai 2015, 13 projets ont été inscrits sur la plateforme par des habitants, collectifs ou associations. Ces treize projets ont permis de collecter 34 233 € auprès de 558 donateurs (dont 25% d’habitants de Rennes Métropole).
Parmi les treize projets inscrits à la Dynamo culturelle, six ont finalisé leur collecte et ont reçu une dotation complémentaire de celle des citoyens :
> projet « La bobine 11004 » (association En Roue Libre): prix Rennes Métropole de 1000 € pour la plus grosse collecte réalisée ;
> projet « Pool d’art » (association Pool d’Art) : prix Rennes Métropole de 1000 € pour le projet le plus soutenu par les habitants du territoire ;
> projet « Cachez moi ce crâne » (Cie des Ronds dans l’eau) : prix Rennes Métropole de 1000 € pour le projet le plus recommandé sur la plate-forme Proarti ;
> projet « Vulôme » (association Les Slips de Papa) : prix Rennes Métropole de 500 € pour avoir achevé sa collecte ;
> projet « Ensemble Vocal Silk » (association Silk Vocal) : prix Caisse des Dépôts de 1000 € pour le projet « ensemble vocal » ayant été soutenu par le plus grand nombre d’habitants de Rennes Métropole ;
> projet « Imprégnation » (association MoCompagnie): prix Caisse des Dépôts de 1000 € pour le projet « compagnie de danse » ayant été soutenu par le plus grand nombre d’habitants de Rennes Métropole.
Les prix attribués aux six lauréats apportent une aide nouvelle de la collectivité pour ces compagnies et artistes amateurs ou en cours de professionnalisation n’ayant pas tous les outils des artistes professionnels.
Une opération innovante de la collectivité
Rennes Métropole est la première collectivité en France à avoir lancé et piloté un projet d’accompagnement au financement participatif. Ce projet expérimental, mené en lien avec la plateforme Proarti, avait pour objectif de :
> dénicher de nouveaux acteurs, projets ou talents ;
> permettre à des personnes amateurs de trouver des financements ou de tester leur projet professionnel en le présentant auprès des internautes ;
> expérimenter un nouveau mode de soutien de la collectivité, en partageant le choix des projets subventionnés avec les internautes sur la plateforme de financement participatif ;
> fédérer les habitants du territoire autour de projets culturels.
La Dynamo culturelle a donc permis de d’expérimenter et d’impulser une nouvelle politique culturelle pour irriguer le territoire métropolitain en adoptant une approche nouvelle de participation contributive des citoyens.
Du côté des porteurs de projet, cette opération a été un vecteur de création et de synergie, qui leur a permis de croiser leurs réseaux (personnels, professionnels, associatifs, institutionnels…). La Dynamo leur a apporté une visibilité importante et une diversification de soutiens à leurs projets. Elle a également crédibilisé les campagnes vis-à-vis des donateurs rassurés par le pilotage du projet par la collectivité.
> Source : metropole.rennes.fr
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Habitat participatif : si on inventait son logement
L’habitat participatif permet à des groupes de personnes de construire leurs logements et de partager un mode de vie plus écolo et plus communautaire, à moindre coût. La loi ALUR a créé un cadre juridique pour ce nouveau mode d’habitat.
Pour se loger, on peut louer ou acheter sa maison ou son appartement, on peut aussi prendre part à un groupe d’habitat participatif.
L’idée est simple : se mettre à plusieurs pour trouver un terrain, concevoir les logements en les adaptant aux besoins et au goût de chacun, et surtout imaginer une manière de vivre autrement, plus écolo, plus communautaire… Il va s’agir, non seulement, de créer son logement, mais aussi d’imaginer la vie collective qui s’organise dans cet ensemble.
HABITAT PARTICIPATIF : UN NOUVEAU MODE DE LOGEMENT « SUR-MESURE »
Dans un groupe d’habitat participatif, on ne fait pas dans l’appartement standard, préfabriqué, reproductible à l’infini : on imagine et on produit du sur mesure adapté aux besoins et à la vie de tous. Pas question dans un immeuble « participatif » de ne pas connaître ses voisins. Chacun vit chez lui, mais une partie de la vie est imaginée en commun dès le départ : on décide ensemble, on partage des modes de vie et des espaces communs…
A Strasbourg, par exemple, un groupe a décidé de réduire au maximum les déchets du chantier. Résultat : à peine une brouette de gravats. À quelques rues de là, d’autres ont choisi de réinterpréter la maison à colombages alsaciens ou encore de destiner un des trois étages du bâtiment aux enfants. Questions d‘envie commune et de choix.
LE DÉVELOPPEMENT DURABLE AU CŒUR DU PROJET D’HABITAT
Si la notion de « vivre autrement » est fondatrice de l’habitat participatif, le développement durable en est aussi l’un de ses piliers. Le projet d’habitat s’élabore en appliquant au plus près ses préceptes : orientation du bâti, sources de chaleur renouvelables, gestion des déchets, choix des matériaux… En savoir plus « site ministère du logement »…
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Sylvia Pinel à la rencontre des coop Hlm
Le tour de France de la construction
A l’occasion de son « Tour de France de la construction », Sylvia Pinel, ministre en charge du logement, a pu apprécier le professionnalisme et l’esprit d’innovation des coopératives d’Hlm.
Sylvia Pinel entourée de Laurent Kohler (directeur d’Habitat de l’Ill), Alain Jund (adjoint au maire de Strasbourg) et Philippe Bies (député du Bas-Rhin)
Le 21 avril, c’est à Strasbourg qu’Habitat de l’Ill a pu présenter à Sylvia PINEL l’opération en accession sociale sécurisée en Habitat Participatif, Ecoterra, située dans la Zac Danube à Strasbourg
Lors de cette dernière, après présentation de l’opération, Madame la Ministre a pu rencontrer et échanger avec 3 familles ayant réalisées leur projet d’accession au sein de la résidence et avec Mme Brom, présidente de l’association « LieuCommun » qui réalise également un projet locatif Social en Habitat Participatif avec Habitat de l’Ill.
Sylvia Pinel a évoqué à cette occasion le fait que « l’Habitat Participatif constitue une réponse appropriée et concrète au vivre-ensemble, à la fois dans la conception et dans la vie de l’immeuble ». Le vivre-ensemble et la qualité de vie étant les enjeux de son plan de relance de la construction.
> Source : www.hlm.coop
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