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#Citallios renouvelle son partenariat avec les Hauts-de-Seine, les Yvelines et l’EPAMSA @salonsimi
Source : Citallios
Les 6, 7 et 8 décembre prochains se tiendra le Salon de l’immobilier d’entreprise à Paris, Porte Maillot.
Citallios marquera sa présence sur le Stand E141, au Niveau 2.
Retrouvez son programme en intégralité en cliquant ici
Hauts-de-Seine Habitat : 110 logements mixtes livrés à Nanterre
Source : hautsdeseinehabitat.fr
Dans les jardins de l’Arche, à Nanterre, Hauts-de-Seine Habitat a livré 110 logements mixtes au 3e trimestre 2017.
Au 1er trimestre 2017, Hauts-de-Seine Habitat a pris possession de 55 logements étudiants (studios) acquis en VEFA. Ce programme immobilier s’inscrit dans le projet d’aménagement urbain Les Jardins de l’Arche dans le quartier de La Défense.
Situé à proximité immédiate de l’U Arena, nouvelle salle de spectacles et événements sportifs, ce programme original comprend également 55 autres logements étudiants, propriété de la Fondation Dauphine, une centaine de logements en accession privée et des commerces. Il témoigne de la diversité des opérations développées par Hauts-de-Seine Habitat.
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Sem Citallios : Le rapport d’activité 2016
La création de la SEM CITALLIOS n’est pas le fruit du hasard mais l’aboutissement de nombreuses réflexions menées par les élus locaux et par les aménageurs.
La manière de concevoir et de mettre en œuvre les projets urbains est en effet en pleine évolution pour des raisons sociétales, environnementales et économiques. Ces changements sont certainement les plus profonds que la France a connus depuis cinquante ans ; car même la décentralisation de l’urbanisme n’avait fait que transférer au niveau communal des mécanismes hérités de l’administration d’un État puissant lors des Trente Glorieuses : ZAC, grands projets, extensions urbaines sur des terres agricoles ou des friches industrielles.
Les évolutions sociétales, l’attente d’une ville durable et la participation des citoyens à l’élaboration des projets d’aménagement, les évolutions institutionnelles envisagées depuis 2013 en Île-de-France, traduites dans deux lois successives, dont la transposition dans les faits reste encore pleine d’incertitudes, le contexte économique depuis la crise financière de 2008, la libéralisation du secteur de l’aménagement dans lequel le secteur privé s’est engouffré avec l’urbanisme de projet, la pression de l’État pour construire des logements en Île-de-France dans une optique purement quantitative, tout ceci interroge tant les élus locaux, que les aménageurs publics.