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4ème pilier de l’économie circulaire : le réemploi @Bouygues_C @MEL_Lille

          Source : blog bouygues construction

 

Le réemploi, quatrième pilier de l’économie circulaire

Réemployer les matériaux issus de rénovation ou de déconstruction, l’idée fait son chemin. Il faut dire qu’elle a de quoi séduire. Car en réactivant cette pratique séculaire, on gagne sur tous les plans : nouvelles filières de valorisation, matériaux à faible coût, amélioration du bilan carbone des opérations… La liste est longue. Reste à lever les freins.

Opération significative, mais cette fois-ci à l’échelle d’un quartier : celle de la Maillerie, dans la métropole lilloise.

Cet ancien site logistique des Trois Suisses va être reconverti en un quartier multiusage. Là aussi, on expérimente le réemploi. « Ce type de projet – un nouveau quartier sur une friche industrielle – est idéal pour éviter de sortir des déchets et optimiser le réemploi », explique Thierry Juif. Ainsi les bétons de déconstruction sont réemployés en granulats recyclés pour fabriquer du béton. Un classique. Moins commun en revanche pour Thierry Juif, la nouvelle vie des parquets en chêne massif. « Ils ont été en partie revendus à un fabricant. Celui-ci va les découper dans l’épaisseur pour réaliser la couche de finition de parquets contrecollés. Avec une lame il va en faire cinq ! »

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Ikea développe SolarVille, un projet de Smart City solaire @Bouygues_C @IKEA_France ‏

        Source : blog bouygues construction

SOLARVILLE. Et si Ikea nous vendait demain non pas des meubles mais des Smart Cities en kit ? C’est ce que semble préparer le géant suédois si l’on en croit sa dernière annonce. Baptisé SolarVille, ce projet conçu par son laboratoire d’innovation Space10 permet d’alimenter une ville en énergie solaire grâce à une « smart grid » utilisant la technologie blockchain.

En réalité, cette technologie sur laquelle se base SolarVille n’est pas exactement nouvelle. En effet, elle alimente depuis 2016 un quartier de Brooklyn, et de nombreuses start-up s’y intéressent, comme Power Ledger ou We Power. Néanmoins, elle peine encore a se démocratiser du fait des coûts importants d’installation. Or, c’est un domaine où Ikea pourrait mener des économies d’échelle.

Concrètement, des panneaux photovoltaïques et des batteries de stockage équiperont chaque habitation.

D’autre part, des capteurs mesureront la production et la consommation des foyers. Et ces données s’inscriront dans une blockchain de façon infalsifiable. Ce registre servira ensuite de bourse d’échange automatisée.

Ainsi, un foyer qui consommerait plus que sa production pourra acheter de l’énergie à ses voisins de façon automatique. Et les consommateurs les plus économes seront rétribués financièrement. Une façon pragmatique d’encourager la sobriété, et d’accompagner la transition vers une économie décarbonée.

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Une nouvelle grille de lecture des territoires pour le logement, la maille habitat @Min_Ecologie

   Source : Statistiques développement durable

Le logement entretient un lien organique avec les territoires. Il en est un révélateur. Tout d’abord en tant qu’élément déterminant de la physionomie des espaces et de leur morphologie. Ensuite, parce que précisément ancré dans un territoire, le logement se situe à la croisée de nombreuses influences. Situation de l’emploi, présence de services, aménités naturelles interviennent dans les choix résidentiels des ménages et contribuent ainsi à apprécier ou déprécier la valeur du logement.
Le service de la donnée et des études statistiques a conçu un nouvel outil d’analyse : le maillage habitat, qui complète les maillages d’études proposés par l’Insee ainsi que les zonages administratifs et réglementaires. Il permet une lecture plus claire des disparités territoriales propres au logement à l’échelle nationale et offre une grille de lecture originale des territoires. Ce nouvel outil favorisera l’analyse des marchés locaux du logement, permettant de replacer le logement au cœur des problématiques des territoires. En revanche, il ne saurait être adapté au déploiement de politiques d’aide au logement.

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L’État harmonise les modalités de financement des opérations de construction de logements locatifs sociaux #drihl

         Source : drihl

 

Dans un souci de clarté et d’efficacité de l’action de l’État, les modalités de financement des opérations de construction de logements locatifs sociaux ont été harmonisées entre les trois départements de petite couronne. Ce travail fait écho à la concertation entre la DRIHL et l’AORIF qui avait permis dès 2018 d’aboutir à une grille unique et simplifiée des marges locales loyer.
Cette convergence des pratiques départementales privilégie le « financement à l’assiette » comme mode de calcul des subventions afin de tenir compte des différences de contextes sociaux et urbains de chaque département.
Les taux de subventions principales et de surcharge foncière sont désormais identiques sur l’ensemble de la petite couronne. Seul le taux de subvention de la prime d’insertion pourra varier en fonction des spécificités territoriales.
De manière anticipée par rapport aux exercices antérieurs, les règles de financement pour l’année 2019 ont été communiquées aux bailleurs dès le premier trimestre, lors des réunions d’information et d’échanges organisées au sein de chaque département.
Par ailleurs, un travail similaire d’harmonisation des pratiques est en cours de réflexion au niveau régional. À ce titre, une seule et unique date limite de dépôt des dossiers d’agrément a été fixée pour les départements franciliens : le 15 octobre 2019.

Ce travail d’harmonisation a pour but d’offrir une meilleure visibilité sur les règles de financements et ainsi de faciliter le travail des bailleurs. L’enjeu final étant de favoriser la production de logements sociaux.

Pour tenir compte de la diversité du marché locatif et de la qualité des opérations, des marges locales peuvent être choisies et appliquées par l’État.

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Le Groupe Essor présente son rapport nommé « Ambitions » @ESSORGroupe

    Source : Groupe Essor

A l’occasion de la parution de son Rapport d’Activités, le Groupe Essor – constructeur d’immeubles à usage professionnel – revient sur une année 2018, rythmée par des ambitions fortes, tant sur le plan de la recherche et de l’innovation, que sur le plan social et environnemental.

Une promesse adressée à toutes les parties prenantes
Son rapport nommé « Ambitions » vise à rendre compte de son business model au bénéfice de ses clients, de ses partenaires, des territoires, des utilisateurs et de ses collaborateurs animés par des valeurs qui sont depuis toujours l’ADN du Groupe. Essor rappelle sa raison d’être, clarifie ses orientations stratégiques et met en perspective ses résultats 2018.

Ce rapport présente les grands enjeux auxquels le Groupe est confronté, ses indicateurs de performance et sa gouvernance. Il évoque concrètement son cœur de métier, l’immobilier d’entreprise, tout en projetant son action dans ce qui compte vraiment : l’avenir.

Des solutions en phase avec les grands enjeux de demain
Chez Essor, l’innovation est un véritable levier de performance et de croissance. Elle est au cœur du groupe, dans sa façon d’être, de penser et d’agir. Sa politique et ses initiatives renforcent et complètent ses 7 expertises qui font d’Essor un acteur majeur de l’immobilier professionnel. Conscient de sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE), fort de ses succès et plus ambitieux que jamais, Essor aborde sereinement cette nouvelle étape dans son développement.

2019 : ambitions et perspectives d’évolution
Le Groupe continue son déploiement sur le chemin de son objectif « France 2020 ». Projets d’envergure nationale, croissance externe (rachat d’une partie des activités Nox – fév. 2019), densification de son maillage territorial… : autant de signaux forts envoyés au(x) marché(s) et à tous ses publics.

>> Lire la publication : https://fr.calameo.com/read/005978570c8f454ae0192

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