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Eiffage : découvrez les résultats semestriels 2019 @eiffage

Source : Eiffage

Eiffage a dévoilé ses résultats semestriels 2019. Découvrez tous les faits marquants, les résultats financiers, les projets en cours, les perspectives pour 2019… et bien d’autres encore.

Eiffage

Construction :
– Hausse du résultat opérationnel courant de 3,7 % à 836 M€ (+ 30 M€)
– Marge opérationnelle à 9,8 %
– Chiffre d’affaires en hausse de 10,0 % (+ 6,8 % à pcc) : France + 8 % et International + 15,9 % (+ 0,6 % hors Eiffage Suisse)
– Immobilier : Commercialisation de 2 534 logements contre 2 237 en 2018 et Lancement de la 1ère tranche de l’écoquartier LaVallée à Châtenay-Malabry, livraison du Grand Hôtel-Dieu à Lyon
– Aménagement : Gain de deux concours : Quartier de L’Haÿ-les-Roses et Patinoire-les-Courtilles à Asnières

Infrastructures
– Chiffre d’affaires en hausse de 21,1 % (+ 18,2 % à pcc) :  France + 29,4 %, International + 7,5 %,  Croissance en France dans les 3 métiers : Route (+ 14,3 %), Génie Civil (+ 57,5 %) et Métal (+ 9,1 %), Contribution significative du Grand Paris Express
– Évolution des marges : Route (en amélioration dans un marché actuellement porteur),
Génie Civil (impact du Grand Paris Express),  Métal (porté par l’éolien offshore)

>>> Accédez aux résultats semestriels 2019

Retrouvez aussi les résultats semestriels 2019 de :

BIM : quels sont les avantages ? @vinciimmobilier

Source : Vinci Immobilier

Vinci Immobilier

La digitalisation imprègne de plus en plus la construction. Le BIM ou « Building Information Modeling » en est l’exemple parfait. Derrière cet acronyme anglo-saxon, se cache un nouveau processus de travail pour les acteurs de la construction. Il repose sur une maquette numérique, contenant des données intelligentes et structurées pour concevoir ou entretenir un bâtiment. Le BIM offre des avantages quasi illimités : gains qualitatifs, rapidité dans la réalisation des constructions et meilleures conditions d’entretien des ouvrages. Le BIM pourrait bientôt devenir l’ingrédient nécessaire de tous les projets de construction, logements compris.

Le BIM : une nouvelle méthode de travail collaborative autour d’une maquette numérique
Le BIM désigne à la fois un processus métier et un logiciel d’intégration, de génération et d’exploitation de données. Il permet de concevoir, construire et exploiter (entretien, réparation et modification) un bâtiment lors de son cycle de vie.

Dans un processus BIM, chaque acteur de la construction (constructeur, architecte, ingénieur, entrepreneur…) crée, renseigne et utilise cette maquette, et en tire les informations dont il a besoin pour son métier. En retour, il alimente la maquette de nouvelles informations pour aboutir à un objet virtuel renseigné. Ce dernier est représentatif de la construction, de ses caractéristiques techniques, de ses performances et de ses comportements (résistance au feu, par exemple).

Le recours au BIM est une tendance en forte croissance. De plus en plus de porteurs de projet ont compris son avantage clé. En prototypant virtuellement les bâtiments à construire, ils peuvent en revoir la conception plus facilement et plus rapidement, mieux maîtriser la phase de construction, les délais et, in fine, évaluer en cours de réalisation des alternatives en termes de coût. Toutefois, le BIM n’est pas une fin en soi. Il s’agit d’un outil moderne et d’une méthodologie collaborative au service des acteurs de la construction. Il doit s’adapter à tout type de projet.

Le BIM et ses multiples avantages : construire mieux, plus vite et moins cher
Sans nul doute, le BIM permet de réduire le gaspillage dû à la non-qualité des bâtiments. Cette perte est estimée à des dizaines de milliards d’euros par an en France. Parallèlement, le BIM réduit les délais de livraison et les coûts de construction et de maintenance.

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Lire également :

La France construit de moins en moins de logements @fpifrance

     Source : FPI France

Depuis deux ans, la France construit de moins en moins de logements, en particulier de logements collectifs

En 2017, sur 12 mois, 501 000 logements ont été autorisés et 425 000 mis en chantier. Entre mi 2018 et mi 2019, toujours sur 12 mois, ces chiffres sont tombés à respectivement 460 000 et 398 000. Le point de bascule se situe mi-2017. Cette baisse est particulièrement sensible pour les logements ordinaires collectifs, qui font l’essentiel de l’offre dans les grandes métropoles où se concentrent les besoins : 260 000 autorisés en 2017, 230 000 entre mi 2018 et mi 2019. Ce sont donc près de 30 000 logements perdus en rythme annuel. Le niveau de construction reste élevé, mais la tendance est négative. Certes, les PC sont en très léger regain depuis deux mois, mais ce regain ne vaut pas pour les logements collectifs ordinaires (-5,8 %), et les mises en chantier restent mal orientées (-7,9 %).

Un problème plus structurel que conjoncturel

La demande des ménages, alimentée par les facilités du crédit immobilier et le choix du Gouvernement d’y maintenir les aides aux particuliers (PTZ et Pinel), reste soutenue dans les zones tendues. Si moins de logements sortent de terre, ce n’est donc pas faute de clients, mais de produits : les promoteurs pourraient mieux satisfaire la demande de logements s’ils pouvaient produire à due proportion.

Or aujourd’hui, si la loi ELAN a apporté quelques réponses, sur les recours en particulier, les contraintes les plus fortes restent sans solution. Contraintes techniques et industrielles, d’une part, résultant des difficultés du secteur du BTP (hausse des coûts, défaillances d’entreprises etc.) ; contraintes politiques, d’autre part, liées au processus très long de révision des PLU en cours dans les grandes métropoles et à la difficulté d’obtenir des permis de construire (contexte électoral, complexité administrative etc.). Dans ce secteur comme dans d’autres, la France s’enferre dans des process administratifs trop longs, coûteux, peu agiles, qui pèsent sur l’activité, les prix, la croissance et l’emploi.

Pour Alexandra François-Cuxac, Présidente de la FPI France :

L’Etat devrait être vigilant sur l’activité de la filière immobilière : technologie, construction, développement durable, croissance verte : les promoteurs immobiliers sont les acteurs de la croissance s’ils peuvent évoluer dans un contexte où les décisions publiques sont rapides fluides transparentes et si la sphère publique accompagne la sphère privée pour relever ses défis. 

Des chantiers à ouvrir pour renouer avec la croissance

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Korus nommé pour le trophée « industrie et acteur de l’innovation » dans le cadre de « voiron fête l’entreprise » @com_korus

     Source : Korus

 

Pour la 3e édition, Le Dauphiné Libéré et la ville de Voiron s’associent pour organiser l’événement « Voiron fête l’entreprise », dans le but de valoriser la richesse et le dynamisme du tissu économique local en mettant à l’honneur les acteurs du territoire.

Plusieurs trophées sont à cette occasion décernés à vingt entreprises réparties en cinq catégories : « Entreprise du patrimoine voironnais », « Industrie et acteur de l’innovation », « Commerce de proximité », « Initiative remarquable », et « Partenaires de la vie sportive ».

Korus est nommé dans la catégorie « Industrie et acteur de l’innovation ».

De juin à septembre, les entreprises nommées seront présentées tour à tour, chaque jeudi, dans le Dauphiné Libéré ainsi que sur la page Facebook « Voiron fête l’entreprise ».

L’entreprise qui aura le plus de votes en ligne remportera le Trophée de sa catégorie.

A la rentrée, des clips vidéos seront également réalisés pour présenter sous un autre angle ces entreprises, puis mises en ligne sur Facebook.  Le grand prix du public sera désigné en comptabilisant celui qui aura le plus de « like » sur sa vidéo.

Le 12 septembre, une conférence de presse aura lieu au siège du Dauphiné Libéré, puis la soirée de gala récompensera les vainqueurs le 3 octobre au Grand Angle de Voiron.

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Commercialisation des logements neufs – Résultats au 2ème trimestre 2019 @Min_Ecologie

   Source : Statistiques développement durable

Au cours du deuxième trimestre 2019, 33 900 logements neufs ont été réservés (vendus) en France métropolitaine. Les réservations sont en léger repli par rapport au deuxième trimestre 2018 (- 3,3 %). Cette baisse est plus prononcée dans l’individuel (- 10,7 %) que dans le collectif (- 2,7 %). Parallèlement, les mises en vente sont en nette progression : inférieures à 30 000 logements par trimestre depuis la mi-2018, elles atteignent 32 100 logements au deuxième trimestre 2019. Cependant, elles restent inférieures aux mises en vente du deuxième trimestre 2018 (- 14,8 %). Cette baisse concerne aussi bien les maisons individuelles (- 33,2 %) que les appartements (- 13,2 %). Le prix de vente moyen des logements neufs est en forte hausse par rapport au deuxième trimestre 2018 : + 5,0 % pour le collectif et + 5,9 % pour les maisons individuelles.

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