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1ER accélérateur sur lequel mise la French Tech
Le Fonds French Tech Accélération du Programme d’Investissements d’Avenir, géré par Bpifrance, annonce sa participation à la levée de 2,3 millions d’euros dans l’accélérateur de startups Axeleo aux côtés d’un « pool » d’entrepreneurs issus du monde du numérique. C’est le premier accélérateur sur lequel mise la French Tech.
Avec cette levée de fonds, le nombre d’entrepreneurs associés d’Axeleo passe de 25 à 40 personnes. Parmi les arrivées remarquées, on retrouve notamment Benoit Gourdon (co-fondateur de Neolane), Romain Niccoli (co-fondateur & CTO de Criteo), Vincent Picou (co-fondateur de SquareClock), Kevin Polizzi (fondateur de Jaguar Network), Olivier Bernasson (fondateur de Pecheur.com), Patrick Bensabat (CEO de Business & Décision) et Frédéric Lasnier (CEO de Pentalog).
Pour rappel, le Fonds French Tech Accélération, lancé début décembre 2014 dans le cadre de l’initiative French Tech et opéré par le groupe Caisse des Dépôts, est doté de 200 millions d’euros sur 5 ans. Il a pour objectif de favoriser l’essor d’ « accélérateurs de startups » sur le territoire français. Le ticket d’entrée est d’environ 1M€ et pourra dépasser les 10 M€. Au rythme estimatif de 4 à 6 investissements par an, le nombre de projets financés sur les 4 prochaines années devrait atteindre une vingtaine au total. Une centaine de manifestations d’intérêt ont été reçues à ce jour.
Pour plus de détails : FAQ dédiée.
> Source : www.lafrenchtech.com
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Deux points de vue sur la SATT Paris-Saclay
« L’Université Paris-Saclay est partenaire de la SATT via La Fondation de Coopération Scientifique (FCS). En tant qu’associé académique unique, la FCS siège au Conseil d’Administration de la SATT et participe, au delà d’un certain montant, aux décisions d’investissement de la SATT sur les projets proposés.
>Source : www.paris-saclay.fr
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Groupe CDC : bonnes performances financières en 2014
Groupe Caisse des Dépôts
09 avril 2015
Le résultat net part du groupe Caisse des Dépôts s’établit à 1 793 M€ au 31 décembre 2014. Le résultat récurrent s’élève à 1 466 M€. Ces bonnes performances financières se retrouvent également dans le résultat net du fonds d’épargne, qui se monte à 820 M€.
Les fonds propres consolidés part du Groupe progressent de 2,3 Md€ à 29,8 Md€ au 31 décembre 2014.
« Le groupe Caisse des Dépôts est ainsi en capacité de jouer un rôle majeur pour l’économie avec l’ambition d’investir 20 Md€ dans ses secteurs prioritaires sur les cinq prochaines années et d’octroyer sur la même période 100 Md€ de prêts sur fonds d’épargne », a déclaré Pierre-René Lemas, directeur général du groupe Caisse des Dépôts lors de la présentation des résultats le 9 avril.
Lire le dossier de presse
Accéder à la présentation des résultats
Comment répondre aux enjeux énergétiques de société ?
L’engagement de la transition énergétique et écologique, dans un contexte de crises, doit permettre d’organiser des filières industrielles, de transformer des territoires et de créer des emplois.
Dans ce contexte le rôle des collectivités territoriales s’accroit sur les sujets « énergie et climat ». Elles passent du rôle de l’acteur local au facilitateur global. Grâce à la proximité, elles mettent en relation les différents acteurs pour optimiser la conception autour de la qualité énergétique du bâtiment
La SCET, forte d’un réseau de plus de 280 entreprises publiques locales qui maillent l’ensemble du territoire, accompagne les différents acteurs (Collectivité Territorial, gestionnaire de parc immobilier : EPL, bailleur social, université, établissement public, aménageur) dans leurs projets de la transition énergétique
En savoir plus >>>> Télécharger la fiche Énergies
> Source : www.scet.fr
4 bailleurs HLM s’associent pour produire davantage de logements
Source : site ICF
ICF Habitat Sud-Est Méditerranée s’associe et s’engage avec trois autres bailleurs sociaux pour conjuguer équilibre économique et haute qualité de construction.
L’innovation économique au service des territoires
Les bailleurs sociaux, en partenariat avec les collectivités locales, doivent porter un objectif ambitieux : produire davantage de logements – à des prix abordables, avec une rapidité d’exécution et à des niveaux de qualité exemplaire – dans un contexte foncier et financier particulièrement contraint. La recherche de solutions innovantes et efficientes est donc devenue un impératif.
Le nouveau dispositif ALIS constitue un des leviers pour y parvenir et s’inscrit dans une démarche d’innovation économique responsable. Les 4 bailleurs ont donc développé une démarche de production de logements fondée sur un processus de conception optimisant les coûts et les délais, en garantissant une haute qualité et un niveau de performance énergétique élevé.
Une démarche de simplification, elle-même facteur d’économies
L’objectif de la démarche était d’obtenir auprès de constructeurs, sélectionnés après mise en concurrence, des conditions financières et techniques très compétitives pour la réalisation des prestations définies. Le caractère innovant et performant de la démarche réside notamment dans leprocessus de consultation et de conception des projets :
– le groupement de commandes à plusieurs bailleurs sociaux permet de mutualiser les moyens et deréaliser des économies d’échelle en garantissant un certain volume d’activité à l’entreprise retenue,
– le dialogue compétitif offre un cadre de consultation souple et efficace, en permettant aux candidats de mieux cerner les besoins des maîtres d’ouvrage et d’améliorer leur offre, grâce au maintien d’un dialogue tout au long de la consultation,
– l’accord-cadre conclu permet de globaliser la phase de consultation et une partie de la phase de conception pour l’ensemble des futures opérations.
Un haut niveau de qualité comme pré-requis
L’accord cadre impose des conditions garantissant un haut niveau de qualité, avec des exigences sur :
– la qualité architecturale et l’intégration des bâtiments dans leur environnement,
– le confort d’usage des logements et des parties communes,
– la performance environnementale, dans le cadre de la certification Habitat et Environnement.
Une optimisation des coûts et des délais
– par l’optimisation de la conception : un cahier des charges précis et des exigences claires ont rythmé le dialogue compétitif,
– par la production prévue : un engagement d’un minimum de 600 logements
– par la prise en compte dès la conception des futurs coûts d’exploitation (« coût global »).
La démarche est lancée, l’accord-cadre signé et des projets sont actuellement à l’étude pour ICF Habitat Sud-Est Méditerranée. Rendez-vous en 2016 !




