Archives du 10 janvier 2019

Comment repenser nos modèles de sociétés et nos politiques de logement ? @_GEFILS

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Après une année 2018 assez dense et particulièrement agitée en France, on ne peut qu’accueillir avec soulagement cette nouvelle année en espérant qu’elle soit plus apaisée et constructive que sa précédente, et notamment en matière de logement.

Marqué par les lois de finances, la loi ELAN, les coupes dans les allocations logement (APL), les drames liés à l’habitat indigne (etc.), le secteur du logement aura connu une année 2018 riche en actualité  et un bouleversement majeur et historique de son modèle et de son financement associé.

Un bouleversement majeur qui, comme nous le rappelle le Courrier des Maires, en plus d’aller à « contre-courant » de certains de nos voisins européens qui réinvestissement massivement dans le logement social (voir l’entretien avec L. Ghekière dans e-hebdo), n’apporte aucune réponse à de nombreuses villes moyennes des « zones détendues » et va contraindre les acteurs du logement social à se « réinventer » .
La digestion de cette loi et la mise en place opérationnelle des nombreuses évolutions qu’elle introduit devrait donc occuper une grande partie de l’activité des acteurs du logement en 2019 et devrait nous réserver encore quelques surprises notamment en ce qui concerne le paysage du secteur (concentration des bailleurs, évolution de leur mission, etc.), son dynamisme (réforme des aides au logement, des aides fiscales, de la TVA, baisse de la construction, etc.) et modifier peut-être les choix d’accès au crédit !

Au-delà de la loi ELAN, gageons que 2019 soit également marquée – comme nous le soulignons régulièrement dans ses colonnes – par l’innovation et le développement de solutions pertinentes en terme d’habitat qui tiendraient d’avantage compte de l’évolution des modes de vie, de la modification de la structure familiale, du vieillissement de la population, de la dissociation entre travail et lieu de travail. C’est d’ailleurs ce qui compose l’actualité de ces derniers jours et semaines, que ce soit en France ou dans le reste du monde d’ailleurs : comment faire en sorte que le plus grand nombre puisse être logé décemment ? Comment lutter contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil ? Comment repenser nos modèles de sociétés et nos politiques de logement, etc. ?

Sur la lutte conte l’habitat indigne (dont la définition ne sera pas modifiée malgré le recours de plusieurs associations auprès du conseil d’Etat pour la rendre plus précise et contraignante en matière de performance énergétique, le mal logement et les marchands de sommeil tout d’abord, dont les catastrophes de Marseille et de Bobigny nous ont tristement rappelé l’existence en France, si le Gouvernement semble vouloir avancer positivement quant à « sa volonté d’accélérer la construction de résidences sociales » (page 3), nombreux sont encore à alerter les pouvoirs publics, comme le président du Samu Social de Paris, sur le manque de places d’hébergement pour les sans-abris, et le
manque de politique de réinsertion dans des logements plus stables.

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Prêt à taux zéro : quelles modifications en 2019 ? @LesCoopHlm #ptz

Source : Coop’Hlm

Le prêt à taux zéro (PTZ), principal financement des acquéreurs en accession sociale sécurisée, a été reconduit en 2019 avec quelques modifications… 

Les Coop Hlm

Pour les offres de prêt émises à compter du 1er janvier 2019, les modifications apportées au PTZ sont les suivantes.

Pour une acquisition d’un logement neuf : 
– si l’opération est située dans une commune classée A ou B1 ou dans une commune couverte par un contrat de redynamisation de sites de défense (CRSD), le prêt à taux zéro (PTZ) est maintenu dans des conditions inchangées jusqu’au 31 décembre 2021
– si l’opération est située dans une commune classée B2 ou C, le prêt à taux zéro (PTZ) est maintenu en 2019 et une quotité réduite à 20%. L’article 185 de la loi de finances initiale pour 2019 prévoit cependant que les contrats de location-accession signés avant le 1er janvier 2020 pourront être financés par un PTZ après cette échéance.

Pour une acquisition d’un logement ancien :
– le prêt à taux zéro est maintenu sous condition de travaux dans les seules zones B2 et C et jusqu’à fin 2021 et peut concerner l’acquisition par le biais de la vente d’immeuble à rénover (VIR)
– il est maintenu dans le cadre de la vente Hlm sans condition de travaux ni de zonage.

Le PTZ peut être accordé pour financer les opérations suivantes :
– la construction d’un logement, accompagnée le cas échéant de l’acquisition de droits de construire ou du terrain destiné à la construction de ce logement,
– l’acquisition d’un logement neuf en vue de sa première occupation,
– l’acquisition d’un logement en vue de sa première occupation après la réalisation de travaux concourant à la production ou la livraison d’un logement neuf

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Lire aussi :

 

Colascope, notre nouveau #blog est en ligne ! @GroupeColas

  Source : COLAS

Quand nouvelle année rime avec nouveauté ! Découvrez Colascope, le nouveau blog

Le parti pris : un nouveau positionnement avec de nouvelles rubriques et une orientation plus prospective autour de thématiques actuelles : mobilité responsable, smart city, digital etc. Un coup de neuf qui, nous l’espérons, vous plaira ! N’hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez en commentaire

> LE BLOG 

Le Denormandie ancien, nouveau dispositif fiscal pour les investisseurs @Journal_Agence

Source : Journaldelagence.com

 

 

Celui qu’on appelle déjà le Denormandie ancien, vient d’entrer en vigueur. Que propose ce nouveau mécanisme d’investissement locatif ?

Les professionnels de l’immobilier sont ravis. Comme le rappelait en décembre 2018, le président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) Jean Marc Torrollion « c’est si rare d’avoir un dispositif d’aide à l’investissement dans l’ancien qu’on ne peut qu’en saluer l’arrivée ». Le Denormandie ancien propose un nouveau régime fiscal, qui permet aux particuliers d’investir dans l’ancien à condition de se limiter aux 222 villes du plan Action cœur de ville ou faisant l’objet d’une convention ORT (opération de revitalisation du territoire). Une fois le bien acheté, le propriétaire y réalise des travaux d’amélioration à hauteur de 25 % du coût total de l’opération, facture d’une entreprise à l’appui. Le logement est ensuite mis en location durant une période de 6, 9 ou12 ans. En échange, le propriétaire profite d’une réduction d’impôt de 12, 18 ou 30 % du montant de l’investissement.

5 500 euros maximum le mètre carré

La réduction fiscale accordée entre dans le plafonnement des niches fiscales de 10 000 euros par an. Seuls deux biens maximum peuvent être acquis par an, dans la limite de 5 500 €/m² de surface habitable. Un décret, qui paraîtra dans les prochains jours, précisera les plafonds de loyer que les propriétaires pourront appliquer dans les logements qu’ils loueront, tout comme les travaux qui seront éligibles au dispositif. L’aide fiscale sera disponible jusqu’au 31 décembre 2021.

Seuls les propriétaires qui acquièrent un logement à partir du 1er janvier 2019 pourront profiter du dispositif. L’avantage pour ces investisseurs sera de se positionner sur des marchés immobiliers où les prix sont très faibles, sous la barre des 2 000 €/m² voire des 1 500 €/m². Une aubaine, si l’on sait se positionner pour obtenir des rendements bruts supérieurs à 7 % par endroit. Mais gare aux territoires délaissés par la population.

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