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Les grandes tendances des marchés fonciers et immobiliers en Île-de-France @NTCities
Source : Newstank
Quelle sont la conjoncture des marchés immobiliers et fonciers, l’actualité et les problématiques du foncier en région parisienne, en tenant compte des dynamiques observées dans les quartiers des futures gares du Grand Paris Express et d’Eole ? C’est le thème de la rencontre-débat organisée par l’observatoire régional du foncier (ORF) en Ile-de-France, le 03/10/2019 à la préfecture de Paris et d’Ile-de-France.
Pour définir la tendance des marchés fonciers et immobiliers en Île-de-France et l’activité des opérateurs (EPF, bailleurs, action de l’État sur le foncier public et Safer), l’ORF rappelle 6 chiffres publiés en janvier 2019 :
• 63 261 transactions foncières en Ile-de-France en 2017 ;
• 5 882 hectares non bâti échangés sur le marché naturel agricole et forestier ;
• 563 €/m², prix médian d’un terrain nu potentiellement constructible en petite couronne ;
• 220 €/m², prix médian d’un terrain nu potentiellement constructible en grande couronne ;
• 33 400 réservations nettes de logements au bénéfice des particuliers ;
• 590 hectares par an de consommation nette d’espaces naturels agricoles et forestiers, entre 2012 et 2017.
L’ORF publie une carte des valeurs foncières à la commune. « Il s’agit de l’ensemble des ventes réalisées à titre onéreux pour lesquelles une surface de terrain a été déclarée aux services fiscaux. Il s’agit donc aussi bien de terrains agricoles que de terrains à bâtir, mais aussi d’immeubles accompagnés de leur terrain d’assiette ou de fonds bâtis destinés au recyclage urbain », indique l’association.
La construction de logements en baisse depuis 1 an en Île-de-France #DRIEA
Source : DRIEA Ile-de-France
Le nombre de logements mis en chantier stagne ou diminue dans presque tous les départements. La baisse avoisine 30 % dans le Val d’Oise et dépasse 10 % à Paris. Focus sur les chiffres clés de la construction de logements en Île-de-France au 30 juin 2019.
Selon les dernières estimations en date réelle, le nombre de logements autorisés en Île-de-France au cours des douze derniers mois (juillet 2018 à juin 2019) s’élève à 88 900, soit 6,8 % de moins que sur les douze mois précédents (juillet 2017 à juin 2018). Dans le même temps, 82 800 nouveaux logements ont été mis en chantier, soit un volume en
baisse (-4,5 %) par rapport à celui des douze mois précédents.
Les tendances régionales sur les douze derniers mois sont très proches des moyennes nationales pour les autorisations (-6,6 % pour 446 900 logements) et pour les ouvertures de chantiers (-5,2 % pour 409 300 logements).
Hormis Paris (+ 11,6%), seuls les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis enregistrent une augmentation du nombre de logements autorisés (respectivement +4 % et +13 %) qui permet à la petite couronne d’afficher une évolution moyenne positive (+2,6%) ; à l’inverse, la Seine-et-Marne et les Yvelines connaissent des baisses supérieures à 20 % et l’évolution moyenne en grande couronne s’établit à -17,4 %. Il en résulte un différentiel important entre le territoire de la Métropole du Grand Paris (+3 % en moyenne pour 52 200 logements) et le reste du territoire francilien (-17,9 % pour 36 700 logements)
Le nombre de logements mis en chantier stagne ou diminue dans presque tous les départements. La baisse avoisine 30 % dans le Val d’Oise et dépasse 10 % à Paris. L’évolution moyenne atteint -1,2 % (45 900 logements) sur le territoire de la Métropole du Grand Paris et -8,2 % (36 900 logements) sur le reste du territoire francilien.
La métropole concentre, entre juillet 2018 et juin 2019, 58,7 % des autorisations délivrées en Île-de-France et 55,4 % des ouvertures de chantier.
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Logement : le top 3 des EPA les plus productifs d’Île-de-France #DRIEA
Source : DRIEA Ile-de-France
Comment les EPA, Etablissements Publics d’Aménagement, contribuent-ils à la production de logements ? Quels sont les EPA les plus productifs d’Île-de-France ? Quelle évolution depuis 2018 ? Découvrez les résultats de l’enquête de 2019 menée par la DRIEA (La direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’Île-de-France).
La production annuelle constatée des EPA de 2014 à 2018 est globalement en progression
avec une moyenne de 6 667 logements autorisés et un pic de production atteint en 2016,
avec 7 880 logements autorisés
La production prévisionnelle s’annonce remarquable avec plus de 9 000 logements autorisés pour les années 2019, 2020 et 2021. Au-delà de 2021, les EPA ont déjà programmé plus de 50 000 logements à autoriser dans les opérations d’aménagement en cours.
Évolution de la production de logements par EPA
L’analyse du graphique permet de constater une évolution positive de la production constatée en 2018 et celle prévue en 2019 pour les EPA franciliens. Seul l’EPA Paris-Saclay prévoit une légère diminution de sa programmation pour l’année 2019 (490 logements pour 2019 contre 803 pour 2018).
La production prévisionnelle des EPA pour l’année 2019 reste ambitieuse avec un volume global attendu de 9 147 logements autorisés contre 7 273 logements autorisés en 2018. GPA et l’EPAMARNE/EPAFRANCE sont les EPA les plus productifs, avec respectivement 3 370 logements autorisés prévus en 2019 pour l’un et 2 557 logements autorisés pour l’autre.
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Des solutions vertes pour le bâtiment le plus haut d’Europe
Source : WILO
Pour contribuer aux « exigences écologiques » de la tour du Lakhta Center à Saint-Pétersbourg, Wilo y a installé plus de 530 pompes dont des pompes en ligne avec commande électronique et des pompes centrifuges haute pression.
Un projet au superlatif : Comme une aiguille cristalline, la tour du Centre Lakhta s’élève dans le ciel de Saint-Pétersbourg. Le premier immeuble de grande hauteur de la ville, sur la côte du Golfe de Finlande, doit devenir un centre d’affaires moderne, un quartier durable pour la vie quotidienne et le travail. L’entreprise technologique allemande Wilo est responsable de plusieurs applications au sein de ce géant futuriste – plus de 530 pompes sont en service pour contribuer aux « exigences écologiques » de cet édifice.
Depuis la fin du 19e siècle, les gratte-ciel sont l’incarnation du pouvoir ; des monuments qui représentent le bien-être financier, les nouvelles technologies et qui forment une parallaxe autour de laquelle les gens peuvent se réorienter automatiquement dans une ville. Ils donnent une valeur de reconnaissance à un lieu.
Les immeubles de grande hauteur ont toujours été réputés pour utiliser les technologies de construction les plus récentes et les plus avancées. Avec une hauteur de 462 mètres, le Centre Lakhta est le bâtiment le plus haut d’Europe et le 13ème plus haut du monde. Il a été inauguré en 2012, l’extérieur a été achevé six ans plus tard.
Haut rendement dans « L’étoile » de Saint-Pétersbourg
Les pompes Wilo sont utilisées dans de nombreuses applications – du chauffage, de la ventilation et de la climatisation à la distribution d’eau.
Pour les applications de génie climatique, les pompes sont installées dans plusieurs postes à différents niveaux de la tour.
« L’une des principales exigences était de n’avoir que des pompes à haut rendement avec un convertisseur de fréquence interne ou externe », explique Nikolay Samoylov de Wilo Russie.
« C’est la raison pour laquelle, nous avons fourni par exemple, des pompes en ligne avec commande électronique et des pompes centrifuges haute pression. »
La Wilo-CronoLine-IL-E est une pompe monobloc à clapet à commande électronique en ligne, utilisée pour le pompage d’eau chaude, d’eau froide et de mélanges eau-glycol dans les systèmes de chauffage, d’eau froide et de climatisation.
La pompe centrifuge multicellulaire Wilo-Helix peut être utilisée pour la distribution d’eau et la surpression ainsi que pour l’eau de refroidissement dans les systèmes de circulation.
Pour un fonctionnement fiable dans les applications de génie climatique, le Centre Lakhta s’appuie également sur le Wilo-Stratos-D. La pompe double sans presse-étoupe augmente les économies d’énergie grâce à l’optimisation de l’efficacité du système obtenue avec son limiteur de débit volumique.
« systèmes énergétiques – villes et territoires durables » : appel à projets ouvert jusqu’au 20/01/2020 @NTCities @ademe
Source : Newstank
TIGA : appel à projets « systèmes énergétiques – villes et territoires durables » jusqu’au 20/01/2020
L’appel à projets « systèmes énergétiques – villes et territoires durables » (SEVTD) est ouvert jusqu’au 20/01/2020, annonce l’Ademe le 31/07/2019.
Objectif : financer des projets « innovants » visant le développement de nouveaux produits ou services qui soutiennent la transition écologique dans le domaine de l’énergie en ville et sur les territoires. L’appel à projets s’adresse à des entreprises dont le projet s’élève à 2 M€ minimum.
Il vise en priorité :
• les systèmes énergétiques optimisés (intégration entre réseaux d’énergie, pilotage muti-réseau, conversion d’énergies, insertion d’énergies renouvelables, innovations de services, de modèles d’affaires ou de technologie…) ;
• la production ou fourniture d’énergies renouvelables et les vecteurs énergétiques renouvelables ;
• l’optimisation environnementale à l’échelle d’un bâtiment, d’un îlot (en construction ou en rénovation) ou d’un territoire (création d’une dynamique de massification de la rénovation des bâtiments, développement de méthodologies, technologies, services ou modèles d’affaires pour une meilleure efficacité énergétique à différentes échelles…).