Archives du 7 Mai 2019

Unafo demande un vrai débat sur le logement des jeunes @UnafoUnion

L’Assemblée nationale débattra les 6 et 7 mai de la proposition de loi (PPL) présentée notamment par la députée Brigitte Bourguignon visant à renforcer l’accompagnement des jeunes vulnérables vers l’autonomie. A cette occasion et dans le prolongement de cette initiative, l’Unafo, union professionnelle du logement accompagné, demande qu’un vrai débat puisse s’ouvrir sur le logement des jeunes.
Les adhérents de l’Unafo gèrent au total environ 30 000 logements dédiés à des jeunes, qu’il s’agisse de résidences sociales tels que des foyers de jeunes travailleurs ou des résidences jeunes actifs, mais aussi des résidences pour étudiants, des colocations…
L’accès à un logement constitue un élément central de l’autonomie. Les solutions apportées notamment aux jeunes pas ou peu solvabilisés et aux jeunes qui connaissent de grandes difficultés, tels que les jeunes sortants de l’Aide sociale à l’enfance (ASE) ou pris en charge par la protection judiciaire de la jeunesse, restent trop dépendantes des politiques locales et de la dynamique des acteurs.
Alors que l’Etat veut mettre en place « Le Logement d’Abord », la politique du logement jeune repose souvent sur des solutions organisées localement. Par exemple, une région refuse, malgré les besoins dans le territoire, la création de résidences jeunes actifs, alors même qu’elles continuent à se développer dans d’autres régions.
L’Unafo partage les mesures de la proposition de loi qui viennent réduire les ruptures de parcours, en particulier pour les jeunes sortant de l’ASE, ruptures contraires aux principes du Logement d’abord. Elle suivra avec d’autant plus d’intérêt les débats à l’Assemblée nationale sur cette proposition de loi alors que les acteurs de logement accompagné ne peuvent se substituer localement aux carences des politiques publiques pour maintenir les jeunes dans des logements dont le financement de la redevance n’est plus assuré.

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La SEMOP Amiens Energies a finalisé le financement du réseau de chaleur urbain d’Amiens @cmarkea

La Société d’Économie Mixte à Opération Unique (SEMOP) Amiens Energies a finalisé le financement du réseau de chaleur urbain de la ville d’Amiens. 

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La Société d’Économie Mixte à Opération Unique (SEMOP), Amiens Énergies, développe et exploite, par délégation de service public, le réseau de chaleur urbain de la Ville d’Amiens. Dotée d’un capital de 8 millions d’euros, cette société est détenue à 51 % par Engie Cofely, 34 % par la Ville d’Amiens et 15 % par la Banque des Territoires.

Le contrat de financement de la SEMOP Amiens Energies pour la réalisation du réseau de chaleur urbain de la ville d’Amiens a été récemment signé à Amiens par l’ensemble des parties prenantes.

La SEMOP Amiens Energies est donc en ordre de marche pour réaliser ses investissements. La Caisse d’Epargne Hauts de France et Unifergie ont co-arrangé une dette bancaire long terme de 36 M€ avec la participation d’ARKEA Banque Entreprises et Institutionnels qui complète le pool bancaire. Ce financement vient compléter les ressources de la SEMOP (apports des actionnaires, subventions…) qui permettront d’accélérer la réalisation des investissements, tels que les moyens de production de chaleur et le réseau souterrain. Le montant total des investissements s’élève à 82
M€.

En 2020, le réseau chauffera et transportera de l’eau sur 40 kilomètres dans la ville d’Amiens pour alimenter des parcs de logement et des bâtiments publics. La production sera principalement d’origine renouvelable, avec un dispositif de chaufferies Biomasse (12 MW), une pompe à chaleur sur eaux usées de la station d’épuration d’Ambonne (15 MW), des pompes à chaleur en géothermie ainsi que des centrales de cogénération de dernière génération.

—> Consulter le communiqué de presse

Métropole Européenne de Lille : lancement du renouvellement urbain de 6 quartiers prioritaires @MEL_Lille

Source : Métropole européenne de Lille

Le 26 avril dernier, a eu lieu le lancement du renouvellement urbain de 6 quartiers prioritaires de la Métropole Européenne de Lille : Lionderie – Trois Baudets à Hem, Le Nouveau Mons à Mons-en-Barœul, Les Oliveaux à Loos, Les Villas à Wattrelos, et une partie de Concorde à Lille et de La Bourgogne à Tourcoing

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A cette occasion, l’ANRU s’est officiellement engagée aux côtés de la MEL, qui pilote la transformation de ces quartiers au titre de sa compétence en matière d’aménagement et de chef de file de la Politique de la Ville, pour financer ces projets à hauteur de 245 M€ sur un montant total de 746 M€.
L’ensemble des partenaires de l’ANRU, Action Logement, l’Union Régionale pour l’Habitat et la Caisse des Dépôts ont confirmé leur engagement financier, avec la Région Hauts-de-France, le Département du Nord, et les Organismes de Logements sociaux (Lille Métropole Habitat, Partenord Habitat, Vilogia, Logis Lille Métropole et 3F Nord-Artois).

Concrètement, ces fonds seront affectés à :
– la démolition de plus de 2231 logements locatifs sociaux reconstitués au 1 pour 1 dans une démarche de rééquilibrage à l’échelle de l’agglomération
– à la réhabilitation de 1118 logements locatifs sociaux
– à la production d’une offre en diversification résidentielle estimée à plus de 883 logements … mais aussi aux espaces publics

Les projets sont d’ores et déjà engagés avec les phases d’études. Des réunions publiques ont déjà eu lieu et les enquêtes sociales préalables aux relogements ont démarré sur certains quartiers.

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