Archives Mensuelles: mars 2015

Paris Logements sociaux : lutter contre la sous-location

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Signature de la charte à l’initiative de la Ville de Paris pour lutter contre la sous-location des logements sociaux avec Ian Brossat, adjoint à la Maire de Paris en charge du logement, les 4 bailleurs parisiens : SIEMP, ELOGIE, PARIS HABITAT, RIVP et les gestionnaires de sites d’annonces en ligne « Leboncoin » et « de particulier à particulier ».

La Ville de Paris s’est engagée à développer une offre accessible à tous les Parisiens, en créant 10.000 logements par an, dont au moins 7.000 logements sociaux. Cependant la demande reste forte et l’exigence de transparence est particulièrement importante, notamment sur la gestion des attributions de logements sociaux. Dès lors, la pratique de la sous-location d’appartements du parc social, si elle est marginale, est d’autant plus intolérable.

Pour l’enrayer, la Ville et ses bailleurs sociaux mobilisent déjà de nombreuses voies de contrôle : la vigilance des gardiens, la vérification des noms sur les boîtes aux lettres par exemple. A travers cette charte chaque signataire s’engage à renforcer son  action :

  •  la Ville de Paris à informer les occupants du parc social du caractère illicite de ces pratiques et à accompagner les bailleurs dans leurs démarches vis-à-vis des occupations illégales ;
  • les hébergeurs d’annonces locatives en ligne à communiquer et à alerter les internautes sur le cadre législatif relatif au logement social interdisant la sous-location ;
  • les bailleurs à diffuser l’information auprès de leurs locataires et à renforcer les contrôles ;
  • les bailleurs et les hébergeurs d’annonces locatives en ligne à améliorer leur coopération en vue de retirer rapidement les annonces illégales signalées.

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Maine-et-Loire : les Entreprises publiques locales se regroupent

La Ville d’Angers, Angers Loire Métropole et le Conseil général de Maine-et-Loire rationalisent et mettent en synergie les Sociétés publiques locales et les Sociétés d’économie mixte dont ils sont actionnaires. Engagé en 2014, le processus sera finalisé en janvier 2016.

Source : servir le public.fr


C’est une petite révolution en Maine-et-Loire pour l’entrepreneuriat public local. Le Département, la Métropole et la ville d’Angers ont décidé de rationaliser le travail des six Epl dont ils sont actionnaires, en les regroupant et en les restructurant. Les secteurs de l’aménagement et de la construction d’équipements publics sont particulièrement concernés. L’objectif est de générer des économies d’échelle, notamment structurelles, et d’apporter une capacité de financement supérieure et mieux adaptée à des projets importants comme la relance du pôle gare d’Angers, le réaménagement d’une partie du centre-ville, la restructuration de quartiers retenus par l’Anru, ou encore la réalisation de la ligne b de tramway. Il s’agit aussi d’éviter les doublons et les situations de concurrence entre les Epl.

Première étape concrète de ce processus : la transformation, le 26 février, de la Spla de l’Anjou (Spl du département) et de la Spl 2A (Spl Angers Agglomération) en une unique Spl d’aménagement et de construction. Une autre fusion est annoncée avec la création d’une nouvelle Sem d’aménagement qui verra le jour au cours des prochains mois, issue des Sem Sodemel (Société d’équipement du Département de Maine-et-Loire) et Sara (Société d’aménagement de la Région d’Angers).

Un GIE pour chapeauter les EPL…en savoir plus


L’USH : propositions pour les quartiers

L’Union sociale pour l’habitat rend publiques ses propositions pour les quartiers

L’Union sociale pour l’habitat a rendu publique, mercredi 4 mars, une série de propositions dont l’objectif est d’améliorer rapidement les situations très dégradées que connaissent certains quartiers et la qualité de vie des habitants.

Ces propositions (en pièces jointes) ont été par ailleurs communiquées au Gouvernement dans la perspective du Comité interministériel des villes qui se tiendra le 6 mars prochain.

L’Union sociale pour l’habitat demande notamment que l’État et les préfets s’engagent pour que la totalité des logements démolis soient reconstruits hors des quartiers et des communes à forte proportion de logements sociaux, avec une part de grands logements familiaux et de logements à loyers particulièrement bas (PLAI).

Elle demande un renforcement des conditions de mise en œuvre de la loi SRU, qui impose aux maires de respecter un quota de logements sociaux, afin de permettre à des familles modestes ou aux salariés précaires de se loger sur l’ensemble du territoire. Elle propose par ailleurs que les organismes Hlm puissent se porter acquéreurs, avec le concours de la Caisse des Dépôts, de logements dans le parc privé, en confiant leur gestion à leurs partenaires associatifs qui accueillent des familles précaires.

L’Union sociale pour l’habitat propose la mise en place d’indicateurs d’occupation sociale du patrimoine à l’échelle de chaque immeuble, par exemple basés sur le taux de ménages disposant de l’APL, afin de mettre en évidence les capacités d’accueil et de prévenir les dysfonctionnements sociaux. Ce travail devra permettre d’optimiser le travail des commissions d’attribution, dans lesquelles siègent d’ores et déjà les représentants des organismes, les représentants des locataires, des collectivités locales et de l’État.

Le Mouvement Hlm prend par ailleurs des engagements pour traiter toutes les situations de non qualité, en garantissant à tous les locataires le même niveau d’entretien, d’investissement, de présence humaine. Il demande à l’Etat de s’engager à garantir l’égalité d’accès et de qualité aux services urbains, aux transports en commun, à l’éducation et au droit à la sécurité et à la tranquillité. Il appelle par ailleurs l’État à expérimenter le lancement d’une procédure spécifique de type Opération d’intérêt national (OIN) dans les quartiers les plus difficiles, en menant un projet portant de front sur l’emploi, l’éducation, le désenclavement et la sécurité.

L’Union sociale pour l’habitat rappelle enfin que dans le cadre du NPNRU, les organismes mobiliseront des moyens financiers exceptionnels, mais qu’en revanche, la mise en œuvre du NPNRU ne peut souffrir d’aucuns délais compte tenu des attentes légitimes des habitants.

Pour Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat, et Alain Cacheux, président de la commission Quartiers, « ces propositions, si elles sont entendues par le Gouvernement, sont de nature à changer la donne à terme dans les quartiers. Elles sont d’abord et avant tout proposées pour améliorer le cadre et les conditions de vie des catégories populaires, à l’heure où la stigmatisation et la caricature ont tendance à dominer le débat public et politique. »

Altarea Cogedim : Reprise de la croissance en 2015

ALTAREA_COGEDIMDésendettement massif, exceptionnel pipeline de projets, transformation digitale

« Comme annoncé, 2014 a été une année de transition marquant la fin d’une période de transformation profonde de nos métiers et de notre organisation. La baisse relative du FFO est la conséquence à court terme d’une politique assumée de réduction des risques bilantiels d’une part, et des investissements de digitalisation d’autre part.

Avec un LTV ramené à 37,7%, notre Groupe a les moyens de mettre en œuvre son portefeuille de projets qui, toutes classes d’actifs confondues, atteint le chiffre inédit de 2,2 millions de m² (9,7 Mds€ en équivalent valeur).

Au cours des 10 dernières années, Altarea Cogedim a acquis des positions stratégiques dans les grandes métropoles françaises où se situe l’essentiel de nos développements et de notre patrimoine. Ces territoires, où se concentre la croissance démographique et économique française, sont confrontés à des problématiques immobilières complexes que notre Groupe est capable d’appréhender grâce à la mixité de son offre et à l’étendue de ses savoir-faire. Altarea Cogedim est le seul groupe français maîtrisant l’ensemble des produits immobiliers (logements, bureaux, hôtels, commerces). Chacune de nos lignes de produits se décompose ensuite en gammes afin de s’adapter à chaque situation. Cette maîtrise opérationnelle nous permet de participer aux grandes mutations urbaines et d’accéder à des opportunités d’investissements uniques. Altarea Cogedim est ainsi devenu le grand partenaire immobilier des métropoles.

Notre Groupe a également beaucoup investi sur la conception de produits innovants. Nous disposons en particulier d’une véritable avance technologique en matière de commerce connecté et d’immeubles intelligents qui constituent autant de solutions à haute valeur ajoutée pour nos clients : utilisateurs, enseignes, particuliers ou collectivités. Nous avons placé l’innovation au cœur de notre modèle, et nous entendons bien continuer à investir sur la digitalisation, notamment en matière de commerce, afin de conserver notre avance et anticiper les besoins de nos clients.

Le Groupe continue en outre d’étudier des opportunités stratégiques majeures, créatrices de valeur dans la durée (acquisitions et croissances externes ciblées, arbitrages, partenariats  stratégiques…) pour conforter ses positions.

Aussi, dès 2015, Altarea Cogedim renouera avec une dynamique de croissance forte de son FFO et de son dividende par action.»

Alain Taravella, Président Fondateur d’Altarea Cogedim

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Marseille Métropole sera au MIPIM

marseille mipim

 

 

 

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