Archives de l'année 2011
Signature de la convention de financement entre la CCI de Brest et la Caisse des Dépôts au titre de l’action « investir dans la formation en alternance »
Frank Bellion, président de la Chambre de commerce et d’industrie de Brest, et Gilles Seigle, directeur du Développement territorial et du réseau de la Caisse des Dépôts, ont signé ce jour la convention financière accordant une subvention de 11,1 millions d’euros à la Chambre de commerce et d’industrie de Brest au titre de l’action « investir dans la formation en alternance » du Programme d’Investissements d’Avenir, pour la réalisation d’un nouveau campus des métiers.
Cette signature a eu lieu en présence de Michel Cadot, préfet de Région et préfet du Département d’Ille et Vilaine, de Jean-Yves Le Drian, président du Conseil régional, de Chantal Simon-Guillou, première vice-présidente du Conseil général du Finistère et de Fabrice Huret, troisième vice-président de Brest Métropole Océane.
La Caisse des Dépôts est opérateur de l’Etat pour cette action du Programme d’Investissements d’Avenir et cette convention financière fait suite à une décision du Premier ministre en date du 16 juin 2011.
La création de ce campus des métiers, composé de 8 pôles d’une superficie totale de 18 855 m², permettra de regrouper les activités de l’actuel Centre de Formation des Apprentis de la CCI de Brest (Ifac), à caractère interprofessionnel, sur un nouveau site, situé sur la commune de Guipavas, dans l’agglomération brestoise.
Le campus accueillera plus de 2 100 alternants à terme (contrats d’apprentissage et de professionnalisation). Ce projet sera l’occasion d’accompagner l’évolution de certains métiers et leur montée en compétence : automobile (motorisation, recyclage des matériaux), hôtellerie-tourisme…En savoir plus
Budget 2012 : les orientations du Département d’Ille-et-Vilaine
En 2012, l’Assemblée départementale d’Ille-et-Vilaine restera attachée à la solidarité avec ceux qui en ont le plus besoin, individus et territoires. Elle veillera à favoriser un nouveau modèle de développement pour l’emploi et l’économie, afin de mieux garantir l’égalité des chances et l’équilibre du territoire.
Débattues par les élus de l’Assemblée départementale jeudi 15 et vendredi 16 décembre, les orientations budgétaires ont permis de tracer les grandes perspectives pour l’année à venir.
Bien qu’évoluant dans un contexte toujours difficile, la situation financière du Département est légèrement plus sereine qu’au cours des deux années précédentes.
En prenant les bonnes décisions au bon moment, le Département a su préserver sa capacité à agir, pour promouvoir un modèle de développement plus juste et plus solidaire. Lire la suite
Dynamisation urbaine : un guichet unique pour Angoulême
L’ouverture en 2005 d’une Maison des projets a été le coup d’envoi de l’opération « Angoulême, vivre la ville ». Ce programme ambitieux, animé par la Saeml Territoires Charente, vise à requalifier et revitaliser les quartiers anciens où vit près de la moitié des 43 000 habitants de la commune charentaise.

L'opération "Angoulême, Vivre la Ville" animée par la Saeml Territoires Charente pour le compte de la Ville d'Angoulême a pour objectif de requalifier et revitaliser les vieux quartiers (XIXe et avant) accueillant 10 000 logements. © DR
C’est une nouvelle dynamique qui a été lancée pour ces quartiers du centre ville qui abritent près de 10 000 logements dont un millier environ seraient vétustes, voire insalubres. Entre 2005 et 2014, une vingtaine de millions d’euros devraient être injectés par la Ville, l’État, l’Anah et autres collectivités locales « pour revitaliser le patrimoine urbain, dynamiser le commerce et adapter la ville aux modes de vie moderne ». Mise en place dès 2005 par la Saeml Territoires Charente, la Maison des projets a été le point de départ symbolique et opérationnel de cette dynamique. « Dans le cadre de l’Opah (Opération programmée d’amélioration de l’habitat) de renouvellement urbain, environ 200 logements à loyer maîtrisé, dont 100 insalubres avant travaux, seront, par exemple, réhabilités en 5 ans et financés à hauteur de 6 millions par la Ville, l’Agglo et l’Anah (Agence nationale de l’habitat) », explique Jean Tuffière, directeur de projets de la Saeml qui est le chef d’orchestre du programme de réhabilitation. La remise en état d’immeubles peut aussi être imposée à des propriétaires à travers une Opération de restauration immobilière (ORI). « Lancée en 2011 après une étude spécifique, la première vague d’ORI concerne 16 immeubles remarquables », précise Jean Tuffière. Parallèlement, la rénovation de 170 façades et de 60 devantures commerciales « a permis de valoriser durablement l’image de la ville », grâce à un financement communal…En savoir plus
Standard & Poor’s confirme la note « AA » de la Ville de Lyon
Selon un communiqué de presse, Standard & Poor’s confirme les notes à long terme « AA » et à court terme « A-1+ » de la Ville de Lyon. La perspective reste positive.
Grâce à un fort taux d’épargne brute affiché en 2009-2010 (14,5% en moyenne), la Ville a pu autofinancer ses investissements et amorcer en 2010 un mouvement de désendettement se traduisant par une réduction de plus de 10% de son encours de dette, soit une baisse de 47 millions d’euros.
En 2011, ce désendettement devrait se poursuivre à la faveur d’investissements demeurant inférieurs à 100 millions d’euros et d’un taux d’épargne brut record qui, d’après nos estimations, pourrait atteindre 16% Lire la suite
S&P révise de stable à positive la perspective associée à la note long terme ‘AA-’ de la Ville de Boulogne-Billancourt
Selon un communiqué de presse, Standard & Poor’s confirme ce jour la note de référence à long terme ‘AA-’ et à court terme ‘A-1+’ de la Ville de Boulogne-Billancourt. La perspective est positive.
Dans le même temps, Standard & Poor’s confirme la note ‘A-1+’ du programme de billets de trésorerie de 125 millions d’euros.
La note « AA- » indique la très forte aptitude de la Ville à honorer ses engagements financiers.
Principales forces de la Ville de Boulogne-Billancourt:
* le cadre institutionnel « prévisible et équilibré » des villes françaises
* la gouvernance et la gestion financières «de qualité »
* les bonnes performances budgétaires
* la situation de liquidité « confortable »
* le profil socio-économique très favorable
* les marges de manœuvre importantes sur les recettes
Principales contraintes :
* le taux d’endettement consolidé relativement élevé