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Hauts-de France : Quelles sont les villes les plus abordables ?
Source : Se Loger
Avec un littoral de grande beauté et des prix au m² abordables, certaines villes de la région Hauts-de-France représentent une attractivité hors du commun !
Les villes les plus abordables de la Côte d’Opale
Avec 1 810 €/m², c’est Dunkerque qui propose les prix à l’achat les plus intéressants de la Côte d’Opale. Mers-les-Bains, au sud de cette dernière, propose avec 8 €/m² les loyers les plus abordables. Zuydcoote se distingue aussi par une modération des prix à l’achat (1 864 €/m²) mais avec les loyers les plus élevés de ce littoral (9,59 €/m²) même si les chiffres constatés restent bien inférieurs à la moyenne nationale. Cette célèbre station balnéaire constitue donc la destination à privilégier pour un investissement gagnant grâce à un rendement locatif élevé.
Les villes les plus chères de la Côte d’Opale
Sans surprise, c’est la célèbre station balnéaire du Touquet-Paris-Plage qui affiche avec 3 876 €/m² les prix à l’achat les plus élevés de la Côte d’Opale. On y notera cependant une certaine modération des loyers qui plafonnent à 8,64 € du m² en moyenne ! Des prix très abordables pour un cadre de vie privilégié entre plage magnifique et forêt agréable. Le Crotoy (3 254 €/m²) et Fort-Mahon (3 082 €) au sud du Touquet proposent des prix à peine moins élevés et figurent donc au palmarès des stations balnéaires les plus chères de cette superbe côte.
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PESP : Des atouts énormes pour le territoire !
Source : Villesdefrance
Les Pôles d’Enseignement Supérieur de Proximité (PESP), sont dans un premier temps un moyen de recours aux postulants malheureux pour leur entrée à l’Université. En même temps ces derniers représentent d’énormes atouts au développement territorial.
L’enseignement supérieur et la recherche sont des éléments clés de l’excellence, en particulier dans les villes moyennes au sein desquelles les pôles d’enseignement supérieur de proximité (PESP) représentent des atouts pour le territoire comme pour les étudiants. A l’heure où des milliers de bacheliers demeurent sans affectation et que certains sont (dés)orientés par le tirage au sort, les PESP offrent des formations identiques à celles des universités en métropoles et présentent de bons taux de réussite. Intégrés au territoire local, ces sites universitaires favorisent l’insertion des jeunes diplômés en même temps qu’ils permettent l’accès à de bonnes conditions de vie étudiante.
Forte de leur expérience et de leurs réseaux universitaires, les associations Villes de France et AVUF organisent avec Saint-Brieuc Armor Agglomération un colloque les 14 et 15 septembre 2017, qui réunira élus, professionnels et universitaires. La deuxième journée sera ouverte par la Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Madame Frédérique Vidal.
Parmi les thèmes qui seront abordés : la plus value des PESP, les logiques de démocratisation, les stratégies territoriales d’enseignement supérieur ou de recherche, la gouvernance, les stratégies de partenariats, de regroupements, la valorisation de la recherche …
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Les villes face aux défis du numérique @Apur_75
Source : apur.org
Le 21ème siècle marque une nouvelle ère dans la transformation des sociétés. Toutes les parties prenantes au sein d’un société sont en train de faire face à tous les défis engendrés par ce siècle. Qu’en est-il des villes ?
La révolution numérique et l’essor de l’engagement citoyen aboutissent à l’émergence de nouveaux modes d’actions dans la ville. La puissance publique développe des outils renouvelant la participation citoyenne et le jeu d’acteurs. Des collectifs s’organisent sur des friches révélant ces lieux et de nouveaux usages. La montée en puissance de la société civile apporte des réponses concrètes aux enjeux urbains, tant online qu’offline.
A partir d’entretiens auprès d’acteurs impliqués sur ces sujets, cette étude inventorie et décrit des initiatives développées dans la Métropole du Grand Paris autour de ces grands thèmes. Chaque chapitre se décline en quatre niveaux de lecture : une synthèse résumant les enjeux et enseignements, des fiches-outils décrivant les initiatives et les éléments nécessaires à leur réalisation, des cartographies, un article de mise en perspective d’un acteur
Ces initiatives partagent une approche avant tout centrée sur les usages. Elles amènent à ouvrir le jeu d’acteurs et contribuent à faire évoluer les méthodes. L’étude esquisse plusieurs enjeux : l’évolution des cadres légaux qui paraissent parfois inadaptés, la nécessité d’accompagner les services concernés par la mise en œuvre de ces projets nouveaux et un enjeu de soutenabilité économique particulier pour les acteurs de l’urbanisme temporaire. Enfin, la définition d’indicateurs tant quantitatifs que qualitatifs semble nécessaire pour mieux apprécier les retombées économiques, sociales, environnementales ou culturelles de ces démarches. Une évaluation des projets permettra de les valoriser et de les faire évoluer de la manière la plus pertinente pour le territoire.
Télécharger ici l’étude réalisé par l’APUR
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Logement : la tendance reste à la hausse dans la majorité des villes @SeLoger
Source : seloger
80% des grandes villes françaises enregistrent une progression du prix de l’immobilier.
A Bordeaux et à tours, plus de 10% de hausse annuelle !
Les prix continuent d’augmenter rapidement dans la plupart des villes françaises de plus de 100 000 habitants. Particulièrement marquée dans des villes comme Bordeaux (+ 10,7 %), Tours (+ 11,1 %) et Besançon (+ 11,5 %), cette tendance haussière est toutefois plus pondérée à Brest (+ 6,9 %) ou encore à Lyon (+ 7,6 %). Contrecoup de cette augmentation qui n’en finit pas (et même s’amplifie), on constate que la demande n’arrive plus à suivre. En cause, la hausse des prix des logements qui a tendance à impacter la solvabilité des acheteurs.
À Rouen et à Saint-Étienne, les prix immobiliers perdent du terrain
Un rapide coup d’œil dans le rétroviseur (et sur les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger) nous apprend que sur douze mois, 20 % des villes françaises connaissent une tendance baissière du prix de leur immobilier ancien. C’est le cas à Rouen (- 3,7 %), au Havre (- 4,7 %) et à Saint-Étienne (- 5 %) où les prix reculent d’au minimum 3 %…
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Construire des villes futures, quel enjeu ? @CaissedesDepots #SmartCity
Source : caissedesdepots.fr
Concevoir les ville futures requiert une démarche multidimensionnelle formant un écosystème qui regroupe les variables, environnementales, sociales, techniques, énergétiques, urbanistiques, juridiques, politiques, etc… Toutes ces variables doivent traiter avec un niveau d’expertise considérable afin d’avoir des villes futures en adéquation avec les besoins des habitants.
Il s’agit de concevoir puis de construire les villes de demain, petites ou grandes, en partant de ce qui existe, de ce que nous savons faire, et de ce que nous devrons apprendre à faire. Là réside un aspect de ce vaste chantier rarement abordé : comment former les ouvriers, les artisans, les techniciens, les cadres qui construiront et gèreront nos smart cities, faites d’écoquartiers rutilants et de parcelles rénovées ?
La question est d’autant plus cruciale que les professionnels de ce secteur sont dans une situation périlleuse. Bien sûr nous avons de grands groupes internationaux, mais ces majors ne représentent que 9% du chiffre d’affaire de la construction ! Le reste est réalisé par un ensemble de TPE – PME. D’une part, cette population de professionnels vieillit : 426 000 départs en retraite sont attendus à l’horizon 2022, soit environ 1/3 d’entre eux. D’autre part, les jeunes ne sont plus attirés par ces métiers : entre 2008 et 2014, l’effectif des apprentis a diminué de 25%. C’est donc à un véritable effet de ciseau que ces professions sont confrontées.
Or les besoins sont immenses : ne serait-ce que pour répondre aux critères des accords de Paris, ce sont entre 4 et 6 milliards de mètres carrés qu’il conviendra de rénover en France d’ici à 2050, soit 100 à 150 millions de m2 par an ! Aujourd’hui, nous n’en sommes qu’à 50 millions annuels… Cet ordre de grandeur cache, par ailleurs, le besoin d’une évolution qualitative des professionnels de la construction, évolution imposée par les incessants progrès technologiques.
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