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URBASOLAR intègre le programme Accélérateur ETI de BPI France ! @UrbaSolar1 @Bpifrance
Lundi 8 octobre, URBASOLAR fait sa rentrée dans la promotion Accélérateur ETI de BPI France, aux côtés des 24 autres entreprises françaises sélectionnées pour leurs performances et leur croissance, représentant de nombreux secteurs d’activités.
URBASOLAR va ainsi bénéficier d’un programme complet de 24 mois d’accompagnement pour booster son développement, notamment à l’international.
Fort de ses excellents résultats aux appels d’offres de la CRE, URBASOLAR dispose d’un portefeuille de projets tarifés de 360MW à construire d’ici fin 2020, et s’appuie sur des process et des certifications solides pour déployer son agilité et ses compétences. Ce programme arrive à point nommé, dans un contexte de doublement annuel de l’activité de l’entreprise, alors que BPI France accompagne URBASOLAR depuis près de 10 ans, tant sur le financement des projets que sur les volets croissance, export, et innovation.
Angers : la chaufferie urbaine à Monplaisir c’est pour bientôt ! @AngersAgglo @BanqueDesTerr @ENGIEgroup
Source : Angers Loire Métropole
La société des énergies renouvelables de Monplaisir est née en préalable à la construction d’une chaufferie bois, qui permettra à partir d’octobre 2021 de chauffer et alimenter en eau chaude 2800 logements du quartier et l’ensemble des équipements.
Il s’agissait, pour Angers Loire Métropole, Engie Réseaux et la Banque des territoires, de signer les statuts préalables à la création de la société qui aura la responsabilité, dans un premier temps, de construire la future chaufferie bois du quartier: la Société des énergies renouvelables de Monplaisir (Serem).
Cet équipement alimentera en chauffage et en eau chaude sanitaire 2800 logements du quartier ainsi que l’ensemble des équipements (écoles, piscine, gymnase…) et l’entreprise Scania. C’est d’ailleurs sur l’une de ses parcelles, située à l’angle des boulevards de l’Industrie et de Monplaisir, que la chauffera entrera en fonction en octobre 2021.
Quelle place pour le gaz dans la transition énergétique ? @Strategie_Gouv
Quelle place pour le gaz dans la transition énergétique ?
Pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il faut cesser de recourir au gaz d’origine fossile. Parce qu’on ne peut attendre pour agir de savoir si le pari du gaz renouvelable sera gagné, il faut chercher dès maintenant à restreindre l’usage du gaz en misant sur d’autres énergies décarbonées, électricité et biomasse en tête.
Télécharger la note d’analyse Quelle place pour le gaz dans la transition énergétique ?
En France, le gaz d’origine fossile est responsable de 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Un bilan qui conduit à programmer sa disparition progressive pour parvenir à la neutralité carbone d’ici 2050, conformément aux engagements pris par la France dans le sillage de l’Accord de Paris. Mais par quoi le remplacer ? Si certains voient dans le gaz renouvelable « un candidat naturel », Dominique Auverlot et Étienne Beeker, sans remettre en cause l’idée, y apportent des réserves. À commencer par le surcoût annuel de plusieurs dizaines de milliards d’euros qu’entraînerait aujourd’hui le « verdissement du gaz », au regard de la maturité des technologies disponibles. Une perspective qui les incite à questionner les « usages spécifiques » du gaz à l’horizon 2050 en tenant compte de l’ensemble du mix énergétique français, et notamment des concurrents actuels du gaz que sont l’électricité et la biomasse.
Une énergie de transition
Le gaz a bonne presse. Et pour cause : « une centrale à gaz émet entre 350 et 400 grammes de CO2 par kWh, là où les centrales à charbon les plus modernes [en] émettent environs 800 », soulignent les auteurs. À choisir entre deux énergies fossiles, le gaz apparaît donc comme une alternative (plus) « propre », quoique transitoire, pour les pays ayant beaucoup recours au charbon qui s’engagent aujourd’hui dans la transition énergétique.
Urbasolar accélère sa croissance ! @UrbaSolar1
Les comptes arrêtés au 30 avril 2018 présentent un chiffre d’affaires compilé de 104m€, intégrant les activités de conception, construction, maintenance et vente d’électricité. Cela représente un taux de croissance de 16% par rapport à l’exercice précédent, conforté par une augmentation significative des résultats.L’EBE compilé du Groupe s’élève donc à 25 m€, en croissance de 23%, notamment du fait des nombreuses centrales mises en services au cours des 12 derniers mois, mais aussi du fait des rachats de parts des actionnaires minoritaires dans le portefeuille d’actifs sur la période.
URBASOLAR dispose à ce jour d’un parc de centrales photovoltaïques de 229 MW, dont 122 MW détenus en propre et majoritairement sur le territoire français, où le Groupe maintient sa position de leader indépendant du marché en remportant 63 MW au dernier appel d’offres de la CRE dont les résultats ont été promulgués au mois d’août dernier.
Les succès récurrents à chaque appel d’offres de la CRE et les marchés récemment signés à l’international ont permis de sécuriser un carnet de commandes de 320 MW à installer avant mi 2020, qui représente une accélération de la croissance de l’activité de l’ordre de 135% en 2018 et 105% en 2019.
En parallèle, de nombreux nouveaux projets sont entrés en développement pendant l’exercice, URBASOLAR disposant désormais d’un portefeuille de centrales en cours de développement en France et à l’international permettant d’atteindre 1GW en production à horizon 2022.
C’est donc dans ce contexte de forte accélération qu’URBASOLAR démarre sa rentrée et prépare une vingtaine d’embauches pour les 12 prochains mois, avec une activité intense sur les thèmes de l’innovation et du déploiement international.