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FAYAT Livre quatre collèges en PPP au Conseil Général de Saine-Saint-Denis
Mr. Laurent FAYAT, Directeur Général du groupe FAYAT a inauguré le 9 septembre avec Mr. Stéphane TROUSSEL, Président du conseil général de la Seine-Saint-Denis, le nouveau collège de Pavillons-sous-Bois.
L’établissement fait partie d’un lot de quatre collèges construits par plusieurs entreprises du groupe FAYAT dans le cadre d’un contrat de partenariat public-privé (PPP) signé le 4 Avril 2012
L’investissement total, d’un montant de 101 Millions d’euros pour les 4 collèges, a été réalisé sous l’égide de SOMIFA IDF, filiale du groupe FAYAT promoteur du contrat. Trois grands établissements bancaires ont participé au financement de l’opération : Arkea Banque E&I, le CIC et le groupe Caisse des dépôts (CDC)
>En savoir plus : Télécharger le CP – Fayat : Inauguration Collèges 2014
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>Source : www.fayat.com
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Pierre Moscovici soutient les contrats PPP
Pierre Moscovici a considéré que ces contrats, très décriés actuellement, pouvaient au contraire constituer « l’un des leviers pertinents pour conduire les investissements publics qui contribueront au redressement de la France et à la construction de son avenir ».
Après l’adoption en ce début d’année 2014 par le Parlement européen de nouvelles directives sur la commande publique, le Gouvernement s’attelle désormais à leur transposition dans le droit français. Le ministre de l’Économie et des Finances, Pierre Moscovici, en a annoncé l’architecture lors du colloque organisé le 12 mars sur ce sujet. Le but est que ces directives permettent d’utiliser « plus efficacement les montants alloués chaque année à l’ensemble des marchés publics« , soit 75 milliards d’euros (Md€) pour 2012, rappelle le ministère dans un communiqué. Une transposition qui sera engagée avant la fin de l’année.
Évolution des PPP
Lors de son discours, Pierre Moscovici est aussi intervenu sur les Partenariats public-privé (PPP) qui seront, dans le cadre de ce travail de transposition, rationalisés. En effet, a-t-il estimé, « cette formule contractuelle ne doit pas être négligée » car elle reste un levier « pertinent pour conduire les investissements publics« . Leur cadre législatif et réglementaire sera donc clarifié et tous les PPP vont être unifiés et consolidés en une forme unique, le contrat de partenariat. Pour le ministre, ce type de contrat présente plusieurs avantages, à savoir : un caractère générique et transversal et un encadrement méthodologique et procédural plus abouti. Les baux emphytéotiques seront ainsi recentrés sur leurs relations entre l’occupant du domaine public et la collectivité prioritaire. En outre, face aux difficultés rencontrées par certains PPP, ils doivent être mobilisés « à meilleur escient » avec des conditions plus protectrices de l’intérêt des acheteurs publics. Une « nouvelle doctrine d’emploi » des PPP sera en ce sens définie avec un renforcement de l’évaluation préalable et une systématisation des études de soutenabilité budgétaire afin de garantir un recours économiquement pertinent à ces partenariats. Un meilleur suivi de l’exécution des contrats devra aussi être mis en place, a précisé Pierre Moscovici. Cette révision des PPP sera intégrée à l’ordonnance des marchés publics et non une catégorie juridique distincte. En parallèle, une réflexion sur la Maîtrise d’ouvrage publique (Mop) devra être engagée.
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Boulogne-Billancourt, aménagement Ecoquartier
Sur un territoire de 74 hectares, qui comprend les Rives de Seine et l’île Seguin, le Trapèze a décroché en septembre le label national ÉcoQuartier, reconnaissance suprême du travail réalisé par la Saem Val de Seine aménagement sur les anciennes friches industrielles des usines Renault.
Aménagé par la Saem Val de Seine Aménagement, l’écoquartier du Trapèze veut concilier à Boulogne espace, nature et densité urbaine © Laverne/Saem Val de Seine Aménagement
Il suffit de se promener dans ce Trapèze pour sentir toute sa dynamique durable, issue d’un important travail qui a abouti en septembre dernier à l’obtention du label ÉcoQuartier. Le pari a été pris par la Saem Val de Seine Aménagement de développer une démarche globale avec de fortes exigences environnementales en milieu urbain dense. « Le site a été conçu comme une « ville-parc », avec une ambiance paysagère très présente, aérant de manière originale le périmètre urbain et offrant 8 m² d’espaces verts par habitant », commente Valentine Becker, directrice des études urbaines à la Saem. L’allée Robert Doisneau illustre bien cette dimension écologique. Dédiée aux vélos et piétons, bordée d’un réseau de noues qui récupère et filtre les eaux de pluie, l’artère « s’intègre dans une logique environnementale cohérente, en lien avec l’écosystème de la Seine sur laquelle elle débouche ». Au cœur du quartier, un parc de 7 hectares est la pièce maîtresse de l’ensemble, capable de réguler l’eau en cas de pluies importantes.
Plus de 5 000 habitants se sont déjà̀ installés dans cet écoquartier multifonctionnel qui abritera logements, bureaux, commerces, et équipements culturels et de proximité (crèche, lycée…). Il comptera à terme près de 15 000 habitants et autant de salariés. C’est l’ensemble de Boulogne-Billancourt qui bénéficie de la dynamique insufflée. Le projet comprend aussi le quartier du Pont de Sèvres, en cours de rénovation, dont les enjeux majeurs sont sa requalification et son intégration aux nouveaux aménagements et au reste de la ville.
L’atout des énergies renouvelables
Les experts du ministère venus sur place, dans le cadre du label ÉcoQuartier, ont apprécié la qualité d’un projet qui a su concrétiser des objectifs visibles aujourd’hui, avec la réalisation d’une première phase de 300.000m² environ. Parmi les paramètres mis en avant : l’importance des espaces verts au cœur d’un système innovant de gestion des eaux de pluie à ciel ouvert, la mixité sociale et fonctionnelle de la programmation, ou encore des chantiers à faibles nuisances.
L’optimisation des sources d’énergie est également un point fort du projet, avec un réseau innovant de chaud et de froid qui recourt à trois sources d’énergies renouvelables et de récupération : l’énergie dégagée par l’incinération des déchets ménagers, la production de froid produite par des groupes « froids » couplés à des stockages de glace (qui seront refroidis grâce à l’eau de la Seine), et l’utilisation de la ressource géothermale en sous-sol. Cette dernière permet d’assurer une base pour le chauffage et le refroidissement des immeubles raccordés au réseau. « Au total, la part des énergies renouvelables va être ainsi portée à 65 % », précise Valentine Becker.
Tous ces efforts se poursuivent sur l’Ile Seguin qui constituera un laboratoire en termes de mobilité, d’accessibilité, de recours aux énergies renouvelables, et de gestion urbaine « intelligente ».
Source : l’actualité des EPL
Une SEML pour la réalisation du Center Parcs de la Vienne
Le 18 janvier, le Conseil Général de la Vienne et la Région Poitou-Charentes ont entériné leur partenariat pour la réalisation du Center Parcs dans la Vienne. Une SEML permettra le financement des équipements centraux du Center Parcs, à hauteur de 135 millions d’euros.




