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Portraits régionaux de l’intercommunalité à fiscalité propre @caissedesdepots

Source : Caisse des Dépôts 


La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) du 7 août 2015 a profondément modifié le paysage intercommunal, prenant la suite d’un premier mouvement de fusion de communautés engagé par la loi du 16 décembre 2010. A l’issue de la mise en œuvre des schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI), la France compte désormais 1266 intercommunalités à fiscalité propre (communautés et métropoles), soit une diminution de 39% par rapport à 2016.  
En dressant des « portraits régionaux de l’intercommunalité à fiscalité propre », Territoires Conseils vous propose un zoom sur les évolutions des périmètres intercommunaux et l’état actuel des communautés par départements, par type de fiscalité, par nombre de communes (données collectées entre janvier et avril 2017).
Vous y trouverez également la liste et le nom des communautés et métropoles actuelles ainsi que la liste des anciens groupements dont elles sont issues et le type d’opération mis en œuvre par les SDCI (fusions, extensions de périmètres…). … en savoir plus….

Le groupe SNI a confirmé sa dynamique en 2016 @groupesni

Source : groupe SNI

Le groupe SNI confirme sa dynamique en 2016 – groupe SNI
André Yché, Président du directoire du groupe SNI, présente les résultats 2016

Conformément aux objectifs ambitieux que s’est fixé le Groupe, la production a augmenté en 2017 :
10 500 logements ont été livrés, dont 4 721 logements sociaux ;

13 003 logements ont été mis en chantier, dont 5 419 logements sociaux, 3 738 logements locatifs intermédiaires et 3 846 logements très sociaux ;

7 019 réhabilitations et résidentialisations ont été lancées.

« 2016 et 2017 sont des années charnières essentielles pour répondre au besoin d’innovation dans le logement », a déclaré André Yché, président du directoire du groupe SNI. « Nous avons ouvert la brèche et nous voulons mobiliser des financement de même nature qu’Hémisphère pour financer du logement social en appui des outils déjà existants ».
122 000 logements sur la période 2016-2026…en savoir plus….

Que seront les commerces de demain ? @CaissedesDepots @cmarkea #ArkeaImmobilier

Delannoy livre blanc « Je ne sais pas ce que seront les commerces de demain, avoue, avec humilité, Michel-François Delannoy. Ce que je sais, c’est que la périphérie a plus de facilité à répondre aux évolutions que les centres-villes. Ces derniers ont des linéaires extrêmement contraints . Comment, dans ces centres-villes, à travers des investissements, allons-nous concevoir des bâtiments avec une certaine modularité, comment allons-nous préparer ces cœurs de ville à être au rendez-vous des transformations d’aujourd’hui et de demain ? » C’est la mutabilité qui fera la modernité des centres-villes. « Ce que nous devons injecter dans ces territoires, ce sont des capacités d’innovation dans le commerce, le tertiaire, l’action culturelle, dans les services à la population, dans les mobilités… » La CDC joue un rôle de stabilisateur en s’engageant sur le moyen et le long terme, en accompagnant les territoires vers leur avenir.

Deux exemples : Saint-Nazaire et Pau

Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, une ville qui a été secouée sur le plan industriel, a aujourd’hui une stratégie qui vise à concentrer son coeur de ville entre l’hôtel de ville, le « paquebot » et le secteur qui va vers la mer et l’ancienne base de sous-marins. En même temps, la ville rapatrie les étudiants en hyper-centre, conforte des activités comme les halles, le cinéma d’art et d’essai. Dans la rue de la République, qui va de la gare vers l’hôtel de ville, et qui était très commerçante, la dynamique commerciale sera tenue de manière plus raccourcie. «Ce que nous pouvons faire, c’est accompagner la transformation des pieds d’immeubles pour qu’ils deviennent soit des logements soit des petites activités tertiaires de centre-ville. Saint-Nazaire est pour nous un exemple de ce travail de stratégie, de précision du projet que nous mettons en oeuvre ».
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Fonds à impact social : 1er closing de 100 M€ pour le fonds Hémisphère @groupesni 

Source : SNI


AMPERE Gestion réalise le closing du fonds Hémisphère, premier « social impact bond » de plus de cent millions d’euros

Paris, le 31 mai 2017
Le premier « closing » du fonds Hémisphère, réalisé le 30 mai, marque une étape clé dans le développement des fonds à impact social (« social impact bonds »), en réunissant de grands investisseurs institutionnels autour d’un enjeu prioritaire : l’accueil et l’hébergement des publics en difficulté.
Le capital du fonds est apporté par Aviva France, BNP Paribas Cardif, la Caisse des Dépôts, CNP Assurances, la MAIF et PRO BTP, pour un montant total d’engagements de 100 millions d’euros. Ces investisseurs s’inscrivent dans une démarche innovante d’investissement à impact social : une partie de leur rémunération dépend de l’atteinte d’objectifs sociaux, évalués tous les ans par un auditeur indépendant, et portant notamment sur la scolarisation des enfants, l’ouverture des droits sociaux des personnes accueillies ou la capacité à les orienter vers un logement permanent.
Un prêt de la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB) complète ces apports. Hémisphère dispose ainsi d’une capacité de financement de 10 000 places d’hébergement d’urgence destinées à accueillir les populations les plus fragiles, tout en leur proposant un accompagnement social. Adoma, filiale du groupe SNI et premier acteur de l’hébergement d’urgence, assure au plan opérationnel les missions d’hébergement et d’accompagnement social conformément à un cahier des charges défini par l’Etat.
Dès cet été, suite à l’acquisition par le fonds d’un portefeuille de plus de 60 hôtels économiques, 6 000 places seront déployées sur l’ensemble du territoire.
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Concept « Habiter l’infini » : Nouvelle forme d’habitat ? @CaissedesDepots

Source : caissedesdepots.fr

Caisse_Des_depots_et_consignation Lauréat du Grand Prix « Le Monde Smart Cities 2017 », le concept « Habiter l’infini » part du principe de l’économie collaborative où on profite au maximum des espaces inoccupés. Il propose de diminuer la sphère intime au profit d’espaces partagés que l’on peut réserver grâce à une « boussole numérique ».

Le point avec le fondateur du concept :

A l’heure où l’on parle beaucoup de la smart-city, quelle définition en donnez-vous ?

Ma définition de la smart city « c’est le numérique qui arrive dans la ville. Les villes étaient intelligentes avant qu’il n’arrive et, pour moi, il doit décupler ses intelligences ! Au pluriel, car dans ce mot, j’inclus l’intelligence rationnelle mais aussi imaginative, sensible et l’intelligence sociale. Ce qui est certain, c’est que le numérique doit servir l’homme et être conçu en fonction de lui. Dans mon projet Habiter l’infini, il y a du numérique bien sûr, mais la clef de voûte ce sera le gardien qui deviendra une sorte de community manager, aidé de son application d’e-conciergerie. Je pense que la smart city doit être vue sous cet angle, autrement on va être géré par des algorithmes et des intelligences artificielles, ce qui est dangereux.

En quoi votre concept « Habiter l’Infini » renouvèle-t-il l’habitat urbain ?

Ce concept part du constat qu’aujourd’hui il est de plus en plus difficile de se loger dans les grandes villes : il n’y a pas assez d’espace, le prix du mètre carré est très cher.

Avec Habiter l’Infini, nous avons trouvé la réponse à cette problématique : ne plus aborder l’habitat seulement par l’espace, mais plutôt en combinant espace et temps. Sur une journée, on s’aperçoit qu’il y a énormément d’espaces qui sont inoccupés ou très peu utilisés. Si on trouve le moyen de les utiliser plus fréquemment, on peut alors construire le même nombre de mètres carrés avec plus de personnes qui pourront en profiter. L’espace d’un habitant augmentera, variant selon ses besoins. Cela se présente sous cette forme : chaque habitant ou famille dispose d’un appartement privé où dormir, manger, avec les commodités habituelles, le tout dans des dimensions plus réduites qu’à l’accoutumée. Cela leur permet de disposer en plus d’espaces complémentaires qu’ils peuvent utiliser ou réserver en fonction de leurs besoins ou de leurs envies du moment. Une grande salle à manger, des chambres pour recevoir la famille ou des amis, un bureau pour un certain temps afin d’y travailler plus à l’aise, un endroit pour lire au soleil, etc. Ces espaces se réservent via une application mobile, c’est la « boussole numérique » du bâtiment.

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