Archives du blog

#AirBnB : la location saisonnière est-elle encore rentable ? @ResideEtudes

   Source : Reside Etudes

 

L’étau s’est resserré ces derniers mois sur la location meublée touristique de courte durée. L’activité est-elle encore rentable ?

Surtaxe d’habitation sur les résidences secondaires à Paris, Nice, Bordeaux, multiplication des démarches administratives pour louer son logement via AirBnB ou d’autres plates-formes… Entre le durcissement des règles encadrant la location touristique de courte durée et le renforcement de la pression fiscale, certains propriétaires sont tentés de s’orienter vers la location longue durée. La location saisonnière est-elle encore rentable ?

Le seuil de 120 nuits

Mais dès que le seuil de 120 nuits par an est dépassé, il est alors considéré que vous louez une résidence secondaire comme hébergement de tourisme et les choses se compliquent. Dans cette situation, il est important de bien comprendre la réglementation qui s’applique à la location saisonnière dans la ville où se trouve votre logement, car elle joue beaucoup sur son potentiel de rentabilité.

Les villes de plus de 200 000 habitants

Plusieurs cas de figure se présentent. Dans certaines les villes de plus de 200 000 habitants et les communes limitrophes de la capitale, un numéro d’enregistrement peut être imposé pour tous les meublés touristiques. Le numéro délivré doit obligatoirement figurer dans toutes les annonces.

Les mairies peuvent en outre exiger une autorisation de changement d’usage, pour que le logement puisse être loué en toute légalité. La situation se corse si votre logement est à Paris, Bordeaux ou dans l’hypercentre de Lyon. Non seulement l’obtention de ce changement d’usage n’est pas toujours chose aisée, mais vous devrez en plus respecter des règles de compensation dont le coût élevé pèse sur la rentabilité du logement.

…lire la suite…

Airbnb va reverser + de 13 millions d’€ aux collectivités locales Françaises ! @Airbnb

Source : Airbnb

TaxeSejourAIRBNB.png

Airbnb reversera d’ici la fin du mois plus de 13,5 millions d’euros de taxe de séjour à 50 villes françaises, soit deux fois le montant versé en 2016 (7,3 millions d’euros). Prochaine étape : Airbnb généralisera la collecte automatique de la taxe de séjour à plus de 15 000  communes, devenant ainsi la première plateforme de location meublée touristique à contribuer aussi massivement aux finances des collectivités locales. Ces ressources supplémentaires seront investies par les communes dans des projets de développement touristique. Airbnb contribue ainsi à l’attractivité de la destination France.

En 2017, les trois principales communes bénéficiaires de la collecte automatisée de la taxe de séjour sont Paris (6,9 millions d’euros), Nice (860 000€) et Marseille (790 000€). Plus de 550 000€ ont par ailleurs été versés aux stations de ski des Alpes.

Les trois villes ayant connu la plus forte augmentation du montant de taxe collecté entre 2016 et 2017 sont Nice (+332%), Nantes (+264%), and Cannes (+202%).

>>> Lire la suite de l’article…

A lire aussi :

Chiffres clés à retenir sur le marché des meublés

Source : seloger

Découvrez les chiffres clés à retenir sur le marché des meublés touristiques, et à Paris, les loueurs louent leur logement en moyenne 17 jours par an, pour un revenu de 1678 €/an.

À Paris, louer son logement occasionnellement rapporte près de 1700 €/an

La plate-forme de conciergerie HostnFly s’est penchée sur les profils de ses utilisateurs, afin d’établir le portrait type du Parisien qui loue son bien de façon occasionnelle sur Airbnb. D’après cette étude, les loueurs parisiens louent leur logement en moyenne 17 jours par an, pour un revenu de 1 678 € : « C’est bien plus qu’un peu de beurre dans les épinards mais cela reste raisonnable. Le mythe du riche propriétaire immobilier qui surexploite ses appartements parisiens en usant et abusant de la location saisonnière n’est plus », déclare la plate-forme. Par ailleurs, on apprend que la plupart des Parisiens mettent leur logement en location pour partir en vacances, en particulier pendant la période estivale. En août, on peut constater que le nombre d’appartements disponibles augmente de 25 %, alors qu’il diminue de 19 % en février. Cette location saisonnière entraine une chute drastique du taux d’occupation : 23 % des appartements sont restés vides au mois d’août.

…lire la suite…

Va-­t­-on assister à l’uberisation des collectivités ?

Source : CAP’COM

  
Airbnb, BlaBlaCar, Le Bon Coin, bien sûr Uber… ces acteurs économiques nés d’internet sont en train de révolutionner votre vie de consommateur… et vous transforment en acteur économique. Est-ce que cette lame de fond peut avoir un impact, voire menacer à leur tour les collectivités territoriales ?

Ce phénomène peut leur faire du tort indirectement… mais quelle entreprise, même virtuelle, peut mener les mêmes missions plus efficacement et à moins cher ?

25 % des Français ont déjà co-voituré pour aller au travail, 24 % pour partir en week-end et 19 % pour partir en vacances, selon un sondage Ipsos/Vinci autoroutes repris par Ouest-France le 21 septembre 2015. Bonne nouvelle pour la terre ? Sans doute, mais le chiffre est aussi représentatif de l’uberisation de la société. Qu’est-ce que c’est ? L’utilisation de la sphère privée dans le monde marchand. Par exemple, la location de voiture particulière avec son chauffeur, l’offre et la demande étant rapprochées par une plateforme internet. Dans l’exemple, c’est Uber (parmi d’autres) qui met en relation. D’où le néologisme d’ « Uberisation ». Ça valait bien un nouveau mot, car le phénomène touche de plus en plus de champs économiques : Airbnb pour la location de la maison, la Dépanne ou Zylok pour celle de perceuses et autres outils de bricolage, les accessoires de puériculture, les consultations juridiques, l’auto-école… jusqu’à la voiture, cette extension de soi, ce symbole social, ce sac à main à roues, elle aussi est mise en location sur internet. Demain la brosse à dents ? En savoir plus

1 français sur 2 acteur de la nouvelle économie collaborative

Source : site Harris Interactive

La moitié des Français participent à cette nouvelle économie !

36% des Français ont déjà fait appel aux services d’un particulier, que ce service ait été opéré à titre onéreux ou non. Et 29% des Français ont déjà proposé leur service en tant que particulier à un autre particulier. Au total, la moitié des Français a déjà proposé ou fait appel à au moins un service d’entraide entre particuliers.

Des intérêts bien compris pour l’échange de service !

Ces pratiques sont d’abord poussées par une pénurie d’offres dans le circuit professionnel : 8 Français sur 10 soulignent la difficulté à trouver le bon professionnel pour des petites prestations et se replient vers les prestations entre particuliers.

Les avantages de ces échanges entre particuliers sont bien perçus par les Français et surtout par leur porte- monnaie ! En effet, plus de 8 Français sur 10 considèrent les prestations entre particuliers comme étant « moins chères que celles des circuits traditionnels ».

Cependant, l’étude met également en lumière les blocages d’ordre éthique et légaux qui freinent les pratiques collaboratives : près de 8 Français sur 10 estiment que « c’est compliqué si on veut faire ça honnêtement » et plus de 8 sur 10 « qu’il y a un risque que cet argent ne soit jamais déclaré ». De même, l’absence de garantie et de recours clairs en cas de défaillance du service obtenu est une vraie inquiétude puisqu’une majorité des Français (67%) pensent que les prestations entre particuliers ne sont pas sécurisées.

En revanche, les échanges de services entre particuliers sont de plus en plus simples et accessibles à tous grâce aux outils d’intermédiation (sites internet et associations tels que Groupon, Airbnb, le boncoin.fr, les AMAP,…) de plus en plus populaires auprès des Français. Y participer c’est les adopter ! En effet, l’étude montre que les Français s’approprient de plus en plus ces pratiques collaboratives, perçues comme « simples » à mettre en place par 75% d’entre eux, et surtout par ceux y participant activement.

en savoir plus : site Harris Interactive

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer