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Urbalia, nvelle startup pour la biodiversité urbaine @VINCIConstruc et @AgroParisTech
Source : Vinci Construction
Vinci Construction s’est associé à AgroParisTech pour le lancement de leur nouvelle startup « Urbalia », dédiée à la biodiversité urbaine.
Favoriser la durabilité de projets d’aménagements urbains
AgroParisTech et VINCI Construction annoncent la création d’Urbalia, start-up dédiée à l’intégration de la biodiversité et de l’agriculture urbaine dans les projets d’aménagements urbains. Urbalia a pour mission de proposer aux collectivités, aux aménageurs et aux acteurs de la construction, des solutions pour la prise en compte de la biodiversité favorisant la durabilité de leurs projets.
Urbalia s’appuie sur une équipe experte et pluridisciplinaire pour concevoir des espaces de nature en ville permettant d’améliorer le cadre de vie des citadins et la résilience des villes : réduction des ilots de chaleur urbain, gestion des eaux pluviales, création d’espaces de bien-être, …
Une start-up issue d’un partenariat déjà « fertile »
Urbalia est issue de la dynamique des travaux de la Chaire éco-conception, partenariat scientifique noué entre VINCI et ParisTech depuis 2008, qui a permis la création d’outils de référence dans le domaine de l’efficacité énergétique, de la biodiversité et de la mobilité durable. Urbalia utilise notamment l’outil Biodi(V)strict, premier outil de mesure du potentiel biodiversité d’un projet urbain, développée au sein de la Chaire grâce aux expertises et activités des enseignants-chercheurs menées avec les acteurs de la construction et de l’aménagement.
A lire aussi :
Végétalisation et agriculture urbaine : objectif de 100 hectares pour @paris
Jeudi 2 mars au Pavillon de l’Arsenal, 38 nouveaux acteurs privés, publics et parapublics ont signé l’édition 2017 de la charte « Objectif 100 hectares ».
D’ici 2020, Paris comptera 100 hectares de toits et murs végétalisés dont 33 hectares dédiés à l’agriculture urbaine.
En 2016, 33 partenaires avaient signé cette charte et permis de lancer le premier appel à projets «Les Parisculteurs».
33 projets lauréats des Parisculteurs verront le jour sur une surface de 5,5 hectares, pour certains dès 2017, et seront développés par des startups, associations, entreprises et agriculteurs installés sur des toits, dalles et parkings parisiens.
Au total, ces projets permettront la création de 120 emplois ainsi que la production annuelle de 425 tonnes de fruits et légumes, 24 tonnes de champignons, plus de 8000 litres de bières, 3 tonnes de poisson et plus de 30 000 fleurs.
À l’initiative de Pénélope Komites, adjointe à la Maire, 38 nouveaux partenaires (entreprises, acteurs privés, publics, parapublics, deux collectivités et une copropriété) ont signé l’édition 2017 de cette charte.
Cette mobilisation autour d’une ambition commune pour le développement de l’agriculture urbaine permet notamment de sensibiliser l’ensemble des acteurs parisiens et de démultiplier les initiatives. Un véritable cluster de l’agriculture urbaine émerge à Paris.
#Agriculture : l’innovation bourgeonne en Nouvelle-Aquitaine @NvelleAquitaine
Source : Région Nouvelle Aquitaine
Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine, visité l’entreprise Immunrise Biocontrol, un acteur emblématique de l’innovation dans l’agriculture.
La société bordelaise ImmunRise a découvert une algue capable de soigner les maladies de la vigne. Son efficacité à 100 % contre le mildiou a été vérifiée en laboratoire. Il lui reste maintenant à faire ses preuves en plein champ*. La démarche, si elle est couronnée de succès, serait unique au monde. « Nous avons de sérieuses chances de réussir. » Laurent de Crasto, œnologue et ingénieur agronome, a cofondé la société ImmuRiseTechnologies, créée en avril 2015 par Lionel Navarro, son associé. Ce dernier est chercheur à l’institut de biologie de l’École normale supérieure (Paris). Ils évoquent ensemble le destin de leur découverte : une algue microscopique produisant une molécule dotée de propriétés biopesticides. Utilisée contre le mildiou, la grande maladie de la vigne, elle s’avère efficace à 100 % en laboratoire. La question est maintenant de savoir si elle le sera en situation réelle, condition sine qua non pour espérer demain une homologation puis une commercialisation. La démarche peut-être longue et sinueuse …lire la suite…
Jusqu’où raccourcir les circuits ? L’agriculture urbaine en questions…@iauidf
Jusqu’où raccourcir les circuits ? L’agriculture urbaine en questions…Source : IAU IDF
Anne-Cécile Daniel (AC. D.) est ingénieure en horticulture et paysage, ingénieure d’études dans l’équipe Agricultures Urbaines à l’UMR SAD-APT Inra/AgroParisTech.
Qu’est-ce que l’agriculture urbaine ?
C. A. – AC. D. L’agriculture urbaine, c’est l’agriculture qui est dans la ville ou à sa périphérie, et dont les produits et les services sont majoritairement destinés à la ville. Les ressources productives utilisées sont en complémentarité ou en concurrence avec la ville : le foncier, l’eau, la main-d’œuvre… On distingue quatre grandes formes de projets.
Citons d’abord des fermes urbaines ou périurbaines dont la vente de produits alimentaires constitue la principale source de revenus, comme toute activité agricole classique. On y trouve, en particulier, des maraîchers périurbains en circuits courts.
Les microfermes urbaines constituent le deuxième type de projets. Ce sont des formes majoritairement associatives qui mettent sur le marché des denrées alimentaires qu’elles produisent, mais offrent surtout des services d’accompagnement, d’animation, de pédagogie. Elles sont fortement plébiscitées par les collectivités, les aménageurs et les entreprises privées avec qui elles créent des partenariats, sans quoi elles ne pourraient exister.
Le troisième modèle est celui des fermes high-tech situées majoritairement en intra-urbain. Elles se rencontrent essentiellement sur les toits et peut-être demain dans des bâtiments (fermes « indoor ») et sont, aujourd’hui, très peu présentes en France. Ce sont des modèles intensifs, peu diversifiés et à haute valeur ajoutée.
Enfin, les jardins collectifs sortent du modèle économique traditionnel. Le foncier est mis à disposition pour que les urbains puissent jardiner et aussi échanger.
le e-commerce pour les agriculteurs : @Agriconomie
Agriconomie est la première place de marché en ligne dédiée à l’approvisionnement des exploitants agricoles : engrais, semences, pièces détachées, équipements d’atelier…
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