Archives d’Auteur: Valery TASSY

Hauts-de France : Quelles sont les villes les plus abordables ?

Source : Se Loger

Avec un littoral de grande beauté et des prix au m² abordables, certaines villes de la région Hauts-de-France représentent une attractivité hors du commun !

Les villes les plus abordables de la Côte d’Opale

Avec 1 810 €/m², c’est Dunkerque qui propose les prix à l’achat les plus intéressants de la Côte d’Opale. Mers-les-Bains, au sud de cette dernière, propose avec 8 €/m² les loyers les plus abordables. Zuydcoote se distingue aussi par une modération des prix à l’achat (1 864 €/m²) mais avec les loyers les plus élevés de ce littoral (9,59 €/m²) même si les chiffres constatés restent bien inférieurs à la moyenne nationale. Cette célèbre station balnéaire constitue donc la destination à privilégier pour un investissement gagnant grâce à un rendement locatif élevé.

Hauts de France

Les villes les plus chères de la Côte d’Opale

Sans surprise, c’est la célèbre station balnéaire du Touquet-Paris-Plage qui affiche avec 3 876 €/m² les prix à l’achat les plus élevés de la Côte d’Opale. On y notera cependant une certaine modération des loyers qui plafonnent à 8,64 € du m² en moyenne ! Des prix très abordables pour un cadre de vie privilégié entre plage magnifique et forêt agréable. Le Crotoy (3 254 €/m²) et Fort-Mahon (3 082 €) au sud du Touquet proposent des prix à peine moins élevés et figurent donc au palmarès des stations balnéaires les plus chères de cette superbe côte.

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OPH : Quelle politique de logements pour les zones détendues ?

Source : OPH

logo ophUne réponse sera apportée dans la journée du 7 septembre !

Autour du thème intitulé : « Pour une meilleure adaptation des politiques du logement aux territoires détendus », les partenaires des OPH vont se réunir afin de proposer des solutions viables et innovantes.

Depuis la publication, en novembre 2014, de son étude sur La recomposition du parc social en territoires détendus, la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat a continué de porter ce sujet. Elle a ainsi constitué, début 2017, un groupe de travail d’une quinzaine de directeurs généraux d’OPH pour construire un argumentaire avec des propositions précises et opérationnelles pour rendre les missions des OPH en zones détendues à la fois plus aisées, mieux financées et plus sécurisées.

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PESP : Des atouts énormes pour le territoire !

Source : Villesdefrance

villes de france  Les Pôles d’Enseignement Supérieur de Proximité (PESP), sont dans un premier temps un moyen de recours aux postulants malheureux pour leur entrée à l’Université. En même temps ces derniers représentent d’énormes atouts au développement territorial.

L’enseignement supérieur et la recherche sont des éléments clés de l’excellence, en particulier dans les villes moyennes au sein desquelles les pôles d’enseignement supérieur de proximité (PESP) représentent des atouts pour le territoire comme pour les étudiants. A l’heure où des milliers de bacheliers demeurent sans affectation et que certains sont (dés)orientés par le tirage au sort, les PESP offrent des formations identiques à celles des universités en métropoles et présentent de bons taux de réussite. Intégrés au territoire local, ces sites universitaires favorisent l’insertion des jeunes diplômés en même temps qu’ils permettent l’accès à de bonnes conditions de vie étudiante.

Forte de leur expérience et de leurs réseaux universitaires, les associations Villes de France et AVUF organisent avec Saint-Brieuc Armor Agglomération un colloque les 14 et 15 septembre 2017, qui réunira élus, professionnels et universitaires. La deuxième journée sera ouverte par la Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Madame Frédérique Vidal.

Parmi les thèmes qui seront abordés : la plus value des PESP, les logiques de démocratisation, les stratégies territoriales d’enseignement supérieur ou de recherche, la gouvernance, les stratégies de partenariats, de regroupements, la valorisation de la recherche …

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Le Crédit Mutuel Arkéa poursuit sa très belle trajectoire de croissance

Source : Crédit Mutuel Arkéa

Brest, le 31 août 2017 – Le Conseil d’administration du Crédit Mutuel Arkéa, réuni à Brest sous la présidence de Jean-Pierre Denis, a arrêté les comptes du premier semestre (S1) de l’exercice 2017. Dans un environnement économique et financier contrasté, le Crédit Mutuel Arkéa présente des résultats au plus haut, qui attestent de très bonnes performances commerciales et opérationnelles dans ses divers métiers et confirment une nouvelle fois la robustesse de son bilan.

Un résultat net semestriel qui atteint un nouveau record, une solidité du bilan encore renforcée Au premier semestre 2017, le groupe Crédit Mutuel Arkéa a réalisé le plus haut résultat net semestriel de son histoire, à 193 millions d’euros, en hausse de 3,5 % par rapport au premier semestre 2016 (187 millions d’euros).

  • Le PNBA progresse de 7,1 % par rapport au premier semestre 2016 à plus d’un milliard d’euros.
  • Le résultat d’exploitation est en hausse de 14,4 %, à 290 millions d’euros, contre 253 millions d’euros à fin juin 2016.
  • Le coefficient d’exploitation, s’améliore de 1,6 point à 68,6 %.
  • Le ratio de solvabilité Common Equity Tier One* s’établit à 16,9 % contre 15,3 % à fin 2016, très au-dessus des exigences règlementaires, et confirme la solidité du groupe.
  • Le bilan du groupe Crédit Mutuel Arkéa progresse de 4,7 milliards d’euros, à 125,1 milliards d’euros.

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Les villes face aux défis du numérique @Apur_75

Source : apur.org

logoApur  Le 21ème siècle marque une nouvelle ère dans la transformation des sociétés. Toutes les parties prenantes au sein d’un société sont en train de faire face à tous les défis engendrés par ce siècle. Qu’en est-il des villes ?

La révolution numérique et l’essor de l’engagement citoyen aboutissent à l’émergence de nouveaux modes d’actions dans la ville. La puissance publique développe des outils renouvelant la participation citoyenne et le jeu d’acteurs. Des collectifs s’organisent sur des friches révélant ces lieux et de nouveaux usages. La montée en puissance de la société civile apporte des réponses concrètes aux enjeux urbains, tant online qu’offline.

A partir d’entretiens auprès d’acteurs impliqués sur ces sujets, cette étude inventorie et décrit des initiatives développées dans la Métropole du Grand Paris autour de ces grands thèmes. Chaque chapitre se décline en quatre niveaux de lecture : une synthèse résumant les enjeux et enseignements, des fiches-outils décrivant les initiatives et les éléments nécessaires à leur réalisation, des cartographies, un article de mise en perspective d’un acteur

Ces initiatives partagent une approche avant tout centrée sur les usages. Elles amènent à ouvrir le jeu d’acteurs et contribuent à faire évoluer les méthodes. L’étude esquisse plusieurs enjeux : l’évolution des cadres légaux qui paraissent parfois inadaptés, la nécessité d’accompagner les services concernés par la mise en œuvre de ces projets nouveaux et un enjeu de soutenabilité économique particulier pour les acteurs de l’urbanisme temporaire. Enfin, la définition d’indicateurs tant quantitatifs que qualitatifs semble nécessaire pour mieux apprécier les retombées économiques, sociales, environnementales ou culturelles de ces démarches. Une évaluation des projets permettra de les valoriser et de les faire évoluer de la manière la plus pertinente pour le territoire.

Télécharger ici l’étude réalisé par l’APUR

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