Archives du 20 mars 2017
Téléphérique : une révolution pour la circulation en ville? @BureauVeritasFr
Téléphérique urbain : le transport qui révolutionne la circulation en ville
Il ne monopolise pas la voirie et franchit facilement les obstacles naturels
Adaptable et peu encombrant, le téléphérique urbain séduit les villes du monde entier. Nos experts font le point sur ce nouveau mode de transport.
Source : BUREAU VERITAS
Et si la solution pour décongestionner les villes se trouvait dans les stations de ski ? L’hypothèse peut sembler farfelue mais le téléphérique urbain est en fait une solution pleine d’atouts.
«Grâce à ses cabines qui survolent le sol, le téléphérique ne monopolise pas la voirie et peut facilement franchir des obstacles tels que des fleuves ou des collines», explique Bruno Antoine, chef de service chez Bureau Veritas Construction.
Sa mise en place est par ailleurs plus simple, plus rapide et moins chère que des infrastructures telles que le métro (qui nécessite souvent le creusement de tunnels etc.).
Bien situé, le téléphérique peut même se transformer en une vraie attraction touristique !
Londres et New York ont déjà dit oui
La preuve ? De plus en plus de villes se laissent séduire par ce mode de transport. Mis en service en 2003, le téléphérique de Medellin est désormais emprunté chaque jour par 45 000 Colombiens.
En France aussi la tendance s’affirme ces dernières années: Toulouse, Orléans, Brest, Grenoble… la liste de villes ayant lancé des projets de téléphérique urbain s’allonge. Ce mouvement a d’ailleurs été encouragé par les pouvoirs publics via la levée de l’interdiction de survol de zones habitées qui a longtemps fait obstacle au développement de tels projets. Mais si la mise en place de telles infrastructures a été facilitée, ces projets d’envergure demeurent complexes. La société Bureau Veritas Construction, en charge des missions de contrôle technique sur le chantier toulousain, et des missions de CSPS sur le programme orléanais, a donc mobilisé en interne des experts de ces sujets pour mener à bien ses missions.
Jacques CHANUT réélu à la Présidence de la FFB
Jacques CHANUT réélu à la Présidence de la FFB
Jacques CHANUT, 52 ans, est Président de l’entreprise de gros-œuvre CHANUT BATIMENT SAS à Bourgoin-Jallieu (38) depuis 1996 et de l’entreprise RAINERO à Voiron (38) depuis 2012.
A l’issue du Conseil d’administration de la FFB, il a rappelé : « Il n’y a pas d’emploi sans entreprise. Il n’y a pas d’entreprise sans marché. Il n’y a pas de marché sans projet solide et réaliste. C’est pourquoi la priorité de mon deuxième mandat portera sur le développement de l’activité, l’assainissement de la concurrence et l’allègement des contraintes pour les entrepreneurs et les artisans ».
Le très large soutien obtenu à l’occasion de ce vote renforce la détermination de Jacques CHANUT à poursuivre son combat pour le développement des marchés. Il agira notamment pour :
- lutter contre la fraude au travail détaché en réclamant les contrôles le soir et le week-end sur les chantiers, mais aussi chez les particuliers ;
- simplifier la vie des entrepreneurs et artisans rendue complexe par un excès de réglementations et de normes comme la pénibilité ;
- résoudre la fracture territoriale qui fragilise des pans entiers du territoire et leur population ;
- transformer les transitions numérique et environnementale en opportunités de développement pour les métiers du Bâtiment ;
- relancer l’apprentissage, malmené par huit ans de crise, et valoriser l’excellence pour faire progresser les métiers et les savoir-faire du secteur ;
- imposer un syndicalisme patronal indépendant, sans financement public direct ou indirect.
« Urban Parc » : #PROMOGIM se développe à La Courneuve @La_Courneuve
Source : promogim.fr
Eric Rolloy, Directeur Général Promogim, et Gilles Poux, Maire de La Courneuve et Vice-Président de la Plaine Commune, ont posé mercredi dernier la première pierre de la réalisation du programme « Urban Parc ».
Il s’agit d’un programme de 66 logements composés de trois bâtiments proposant une offre très variée d’appartements, dont des duplex de type T3, et des 4 et 5 pièces. 60 parkings simples et trois parkings doubles seront créés en sous-sol.
Proposés en accession à 3 200 €/m2 (parking inclus) en moyenne, les logements seront livrés au 4ème trimestre 2018.
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.@3F_Officiel : label « E+C- » pour son projet de logements à Grigny @actionlogement
Source : groupe3f.fr
Pour son projet de construction de 93 logements à Grigny, 3F a obtenu par la biais de la Ministre du logement et de l’habitat social, le label « Bâtiments à Énergie positive & Réduction Carbone ». Ce projet est l’un des trois premiers projets de logements collectif a en bénéficier.
Le label « E+C- » représente un standard environnemental qui définit les exigences en matière d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre dans la construction des bâtiments neufs…Lire la suite
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Le coworking casse les codes de l’immobilier tertiaire @Demain_la_Ville @Bouygues_Immo
Source : demainlaville.com
Le coworking casse les codes de l’immobilier tertiaire traditionnel, et avec goût. De nombreux espaces ont déjà essaimé dans Paris, comme l’Anticafé, le Lawomatic ou le NUMA.
Le quartier de La Défense, fer de lance de trente glorieuses aujourd’hui révolues, n’échappe pas à cette dynamique et s’adapte aux besoins de flexibilité d’une nouvelle génération de travailleurs. Ils sont informaticiens, graphistes, consultants, rédacteurs ou bien encore auto-entrepreneurs ; la mutualisation des compétences ou le partage des expériences leur importe plus que le confort matériel apporté par le bureau classique, qu’ils considèrent comme désuet.
D’après une étude menée en Île-de-France par l’agence WeDoData, 92% des usagers du coworking y ont recours pour agrandir leur cercle social et 80% le font pour développer leur cercle professionnel. 75% optent pour cet environnement de travail pour augmenter leur productivité et 38% y voient un moyen de faire croître leurs bénéfices. Le montant des loyers reste aussi déterminant. Marie Varasson, journaliste au Nouvel Économiste, rappelle que « deux mètres carrés en fixe à la Défense se louent entre 600 et 800 euros [par mois] selon l’immeuble, tandis que le prix d’un poste en coworking démarre à 280 euros. » …lire la suite…