Archives Mensuelles: mars 2014
Vélo Anjou Vintage: Arkéa, toujours en tête de peloton
Arkéa, toujours en tête de peloton
Pourquoi soutenez-vous l’Anjou Vélo Vintage depuis sa création ?
Jean-Michel Royo : « L’événement est conforme à nos valeurs : l’audace, l’engagement et l’ouverture. C’était audacieux de fédérer autant de personnes autour de la passion du vélo et du rétro pour mettre en valeur un territoire. Dès sa genèse, ce projet avait vocation à s’ouvrir ; et c’est une réussite quand on voit aujourd’hui toutes les régions françaises et les nombreux pays représentés. L’engagement, c’est notre ADN mutualiste. Au-delà de la relation commerciale, nous accompagnons nos clients dans leurs projets pour défendre et développer l’attractivité du territoire. »
Vous et plusieurs de vos collaborateurs revenez chaque année sur les routes de l’Anjou. Qu’est-ce qui a évolué depuis la première édition en 2011 ?
J.-M. R. : « L’Anjou Vélo Vintage est devenu un phénomène de notoriété majeur. Il est passé d’une manifestation remarquée à un rendez-vous remarquable très attendu. Pour reprendre une métaphore footballistique, je dirais que lors de sa première édition l’Anjou Vélo Vintage a confirmé son maintien en Ligue 1, et que maintenant il s’est qualifié pour la Coupe d’Europe. Ce qui est formidable avec l’Anjou Vélo Vintage, c’est à la fois l’adhésion du public mais aussi cette capacité à entraîner des entreprises. Le vélo demeure quelque chose de très fédérateur. »
Qu’attendez-vous de l’édition 2014 ?
J.-M. R. : « En 2013, Arkéa était représentée par 25 personnes, des collaborateurs et leur famille. Pour la prochaine édition, nous souhaitons inviter plusieurs de nos clients pour partager notre plaisir, c’est tellement sympa. Ce cadre original et l’organisation de l’événement ne peuvent que renforcer les liens privilégiés que nous entretenons avec nos clients.Un événement comme l’Anjou Vélo Vintage met en valeur le vélo, une discipline un peu décriée parfois. Le vélo doit rester un sport populaire. Grâce à l’Anjou Vélo Vintage, j’ai pédalé à côté de Joop Zoetemelk, j’avais des étoiles dans les yeux. »
consultez le site du Vélo Anjou Vintage pour en savoir plus
INTERCOMMUNALITÉ : LES VILLES MOYENNES N’ONT PAS À ROUGIR DE LEUR BILAN
Dans le cadre des travaux de l’Observatoire de l’intercommunalité des villes moyennes, la FVM présente une synthèse de la situation financière de 140 intercommunalités et de leurs 2558 communes membres (données 2012) et en mesure l’évolution sur la période 2008-2012.
Charges de fonctionnement : 1399 € par habitant
Trois points clés peuvent être retenus concernant l’évolution des charges de fonctionnement :
1- L’évolution entre 2008 et 2012 des charges totales de fonctionnement (consolidées) dans les territoires organisés autour des villes moyennes (+3.2% en moyenne pour un taux d’inflation moyen de 1.4% sur la période) ne semblent pas avoir connu le dérapage parfois décrit, dès lors que l’on prend la précaution d’opérer une consolidation de l’ensemble des charges assumées dans leurs territoires (EPCI + communes).
2- Les charges de fonctionnement dans les territoires des villes moyennes sont principalement portées par les villes centres (41.3%).
3- Les dépenses de personnel demeurent l’apanage des villes-centre (plus de 47%), le poids des intercommunalités dans celles-ci (16%) étant près de 60% inférieur à leur poids dans les dépenses totales. Même si ceci peut parfois s’expliquer par des phénomènes de mutualisation conservant la charge apparente des dépenses de personnel au sein du budget de la ville centre, il semble que le processus de transfert effectif des dépenses de personnel de la ville centre vers son EPCI demeure encore difficile à pratiquer, par rapport à d’autres types de dépenses.
Produits de fonctionnement : 1660 € par habitant
Les EPCI, qui assument 25,8% du volume des charges de fonctionnement, disposent pour ce faire de 26.7% des produits de fonctionnement du territoire. Il n’est cependant pas anodin de constater qu’il existe un différentiel de 1 point quant à la répartition des charges et des produits au sein des intercommunalités des villes moyennes, au profit de l’EPCI…en savoir plus
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Nouveau décollage pour Lyon Confluence
Entre Saône et Rhône, l’ancienne friche industrielle, devenue la nouvelle vitrine du centre lyonnais, entre dans sa deuxième et dernière phase d’aménagement sous la maîtrise d’ouvrage du Grand Lyon, à travers la Spl Lyon Confluence. Les 35 hectares qui entourent l’ancien marché gare s’ajouteront aux 41 hectares de la première phase. Au programme : commerces, bureaux et 1 700 logements (dont 40 % sociaux et 10 % à prix maitrisé), services et équipements publics.
Les fermetures d’usines, qui avaient succédé à l’essor industriel des trente glorieuses, sont aujourd’hui un lointain souvenir. Le renouveau du site, devenu le prolongement de l’hyper-centre au Sud de la presqu’île de Lyon, à la confluence du Rhône et de la Saône, s’affirme une nouvelle fois avec le lancement de la deuxième phase d’aménagement de Lyon Confluence. Alors que la phase 1 du chantier, côté Saône, s’achèvera d’ici deux ans, les travaux démarrent maintenant sur 35 hectares côté Rhône, toujours dans une dynamique d’écoquartier. Ils concernent notamment l’ancien marché-gare qui avait fermé en 2009.