Archives Mensuelles: Mai 2020
Novaxia lance le chantier du Wonder Building en partenariat avec la Banque des Territoires @novaxia_paris @BanqueDesTerr
Sources : Novaxia

Le Groupe immobilier Novaxia, pionnier de la transformation urbaine, lance le chantier du « Wonder Building » à Bagnolet en Seine Saint Denis. 26 000 m² de bureaux concentreront 2 500 emplois d’ici 2022. Cet investissement d’une valeur de 136 millions d’euros est réalisé en partenariat avec la Banque des Territoires qui intervient en tant que co-investisseur pour appuyer ce vaste projet de développement et de valorisation de la périphérie Nord et Est de Paris.
Ce premier projet du nouveau quartier d’affaires est situé aux portes de Paris. A 10 minutes de l’Opéra, il bénéficiera d’excellentes infrastructures de transport avec un accès immédiat à l’autoroute A3, au boulevard périphérique, à 2 lignes de métro immédiates (3, 9), 2 stations de tramways, 7 lignes de bus et 2 aéroports internationaux (Roissy Charles de Gaulle et Bourget). Élément pivot d’un rééquilibrage territorial, les loyers de ce nouveau quartier seront nettement plus compétitifs que ceux du centre de Paris et permettront de renforcer l’offre économique et l’attractivité territoriale de l’Est parisien. « Nous avons fait le choix d’être les premiers à investir dans cette ville à fort potentiel. Notre démarche stimule déjà l’arrivée d’autres investisseurs dans la ville. La création d’un nouveau pôle économique à l’Est de Paris répond à une forte demande des habitants du secteur pour rapprocher le bureau de leur domicile. C’est aussi beaucoup plus vertueux du point de vue environnemental”. Précise Mathieu Descout, Directeur Général.
Bretagne : un fonds COVID Résistance doté de 27,5 M€ accessible aux TPE, indépendants et associations, à partir du 15 mai @BanqueDesTerr
Source : Banque des Territoires

En Bretagne, la Région, les 4 départements et les 59 intercommunalités se sont unis pour mettre en place, avec la Banque des Territoires, un fonds COVID Résistance. Doté de 27,5 M€, ce dispositif offrira des moyens supplémentaires aux plus petites entreprises, travailleurs indépendants, associations et acteurs de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS). Autant d’opérateurs impactés par l’épidémie de coronavirus qui, alors que la reprise s’amorce, ont un besoin urgent de trésorerie pour poursuivre leur activité et maintenir leurs emplois. À compter du 15 mai, ce nouveau fonds, complémentaire des dispositifs opérés par l’État, leur proposera des prêts à taux zéro plafonnés à 30 000 € pour les associations et à 10 000 € pour les entreprises.
À qui s’adresse-t-il ?
TPE, commerçants, artisans, hôtels et restaurants, acteurs de l’ESS, associations… : ce nouveau fonds s’adresse en priorité aux petites entreprises et associations qui n’ont pu bénéficier ni des aides de l’État ni de financements bancaires depuis le début de la crise sanitaire. Il pourra aussi intervenir en complément, suivant un principe de subsidiarité, auprès de celles qui ont déjà accédé au fonds de solidarité national financé par l’État et les Régions françaises…
Action Logement, Pôle Emploi et la Préfecture de Région lancent « #DestinationLogement » @ActionLogement @pole_emploi
Source : Action Logement
Action Logement participe à l’organisation du Challenge 100% digital #DestinationLogement, avec Pôle Emploi, et l’appui de la préfecture de région. Un véritable appel à projets aux startups en vue de faire émerger des solutions innovantes pour aider les demandeurs d’emploi à accéder à une solution logement en Ile-de-France.

Vous avez des idées pour :
- Faciliter la recherche de logement et accélérer les démarches
- Mieux informer
- Proposer de nouvelles fonctionnalités pour améliorer les services
Rendez-vous avant le 14 juin 2020 pour participer au challenge et soumettre votre projet sur le site
La métropole de Rennes met en place un plan d’urgence économique : 6,5 M€ en faveur des entreprises du territoire @Rennes_presse @metropolerennes
Source : Rennes

Pour faire face à la crise covid-19 et à ses conséquences économiques et sociales, le bureau de Rennes Métropole réuni jeudi 14 mai a voté à l’unanimité un plan d’urgence de plus de 6,5 millions d’euros pour venir en aide aux entreprises et aux commerces du territoire. Le bureau a également validé des mesures sociales à destination des ménages en difficulté de paiement de loyers ainsi qu’aux étudiants en situation de fragilité.
Situation inédite liée à la crise Covid-19, le confinement a entrainé l’arrêt d’un nombre très significatif d’activités économiques dans la Métropole, comme partout en France.
L’urgence aujourd’hui est de réussir à maintenir l’activité pour préserver les emplois, notamment dans les secteurs les plus impactés : l’industrie, la construction, le commerce non alimentaire, les cafés/hôtels/restaurants, les services aux personnes et aux entreprises.
Dans ce contexte, le bureau de Rennes Métropole a décidé jeudi 14 mai, à l’unanimité, de débloquer une enveloppe de plus de 6,5 millions d’euros pour maintenir l’emploi et favoriser la reprise de l’activité. Ces aides viennent compléter les dispositifs existants mis en place par l’État et la Région (chômage partiel, prêts garantis, fonds de solidarité pour les entreprises individuelles, Fonds Covid Résistance,…)…
Impacts de la crise sur les finances locales @France_urbaine
Source : France Urbaine

Le 9 mai 2020, à l’occasion de leur 8ème visioconférence hebdomadaire consécutive depuis le début de la crise sanitaire, les maires et présidents d’EPCI membres de France urbaine avaient invité Jean-René Cazeneuve, député du Gers, président de la délégation aux collectivités et à la décentralisation de l’Assemblée nationale, et récemment missionné par le Gouvernement pour éclairer les impacts de la crise sanitaire sur les finances locales.
Ce fut l’occasion d’un large échange et l’opportunité pour les élus de France urbaine d’enrichir les éléments qui avaient été porté à connaissance du député lors de l’audition du 5 mai au cours de laquelle François Rebsamen, co-président de la commission « finances » de France urbaine, avait fait part des analyses et propositions de l’association.
Le bien-fondé d’une « nationalisation des pertes et des coûts »
D’entrée de jeu, France urbaine a rappelé la position partagée des présidents d’associations d’élus, à savoir que la crise appelle un changement de paradigme. En effet, il convient désormais de sortir de la période de mise sous contrainte des finances des collectivités (baisse des dotations puis encadrement du rythme d’évolution des dépenses de fonctionnement) pour partager les voies et moyens permettant d’aboutir à l’objectif commun de relance économique.
A cet égard, il est pertinent d’envisager une globalisation du « compte Covid-19 » entre les collectivités et l’Etat dans la mesure où seul ce dernier a la possibilité de bénéficier d’une réassurance à l’échelle européenne ; la Nation y a intérêt car il en va de la capacité collective de la puissance publique à soutenir la relance dans les meilleurs délais. Dans son propos d’introduction, Olivier Carré, co-président de la commission « finances » de France urbaine, a tout particulièrement défendu « la nécessité de nationaliser l’ensemble de nos dépenses et pertes de recettes afin de les faire refinancer par la BCE (Banque centrale européenne) »…