Archives du 6 septembre 2018

Lancement du 1er parc d’activités labélisé Grand Paris @Bouygues_BatIDF ‏ #GrandParis

Linkcity Ile-de-France, filiale de développement immobilier de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, en partenariat avec la SEMAVO et Portica, lance le premier parc d’activités labélisé Grand Paris de 195 000 m² à Le Thillay. Les premières signatures ont eu lieu avec Proudreed pour l’aménagement de 5 hectares et la réalisation d’un bâtiment d’activités de 6 000 m² et avec un grand compte français pour la réalisation d’un bâtiment industriel de 20 000 m².

« A Park est un parc d’activités mixtes, dédié aux échanges internationaux. Son emplacement unique au sein d’une zone francilienne hyper connectée est un atout indéniable pour tout investisseur qui recherche un produit remarquable » indique Caroline Vaubourgoin, directrice générale adjointe de Linkcity Ile-de-France.

Développé au cœur du plus important hub de transport européen, A Park est un quartier de 27 hectares situé sur la commune de Le Thillay, à proximité immédiate de l’aéroport international Paris Charles-de-Gaulle et de l’aéroport du Bourget, ainsi que des axes routiers majeurs desservant la capitale. Cet environnement dynamique et porteur en fait un emplacement stratégique rare. Il accueillera showroom, laboratoire, bureaux, locaux à destination de PME/PMI et logistique.

De plus, A Park est le premier parc d’activités à avoir reçu le label « Grand Paris ». A ce titre, il participe au développement des fonctions métropolitaines, au désenclavement des populations locales et à la valorisation des sites environnants. Projet également membre d’Aerotropolis by Roissy Dev, il contribue fortement au rayonnement et à la promotion de l’activité du pôle de Roissy.

> Télécharger le communiqué

Logements et bâtiments connectés : quelles perspectives pour le logement social ? @UnionHlm

Source : Union Sociale pour l’Habitat

Articulée autour de témoignages de bailleurs sociaux, la journée professionnelle du 3 juillet, sur le thème « Logements et bâtiments connectés : quelles réalités ? Quels enjeux ? Quelles perspectives pour le logement social ?  », a mis l’accent sur les avantages concrets des nouveaux outils numériques dans les logements et les bâtiments pour les locataires, mais aussi pour les bailleurs gestionnaires. Avec un point de vigilance sur le contrôle et la maîtrise des données.

Plusieurs années après avoir mis en place des équipements pour réaliser des économies d’énergie, assurer le maintien à domicile ou augmenter la sécurité de leurs locataires, les bailleurs se sont livrés à un retour d’expériences sur ces expérimentations et les nombreuses questions qu’elles suscitent. « L’offre existe, elle est même foisonnante, les évolutions technologiques sont très rapides et l’obsolescence de ces objets également, livre en introduction Christophe Boucaux, directeur de la Ma…

…lire la suite…

6 collectivités accompagnées par l’État pour rénover leurs périphéries commerciales @Min_Territoires @MezardJacques

Source : Ministère de la cohésion des territoiresministère de la cohésion

Les 6 lauréats de l’appel à projets « Repenser la périphérie commerciale » ont été sélectionnés par un jury composé de personnalités qualifiées de la ville et du commerce, d’association d’élus, de représentants du ministère de la Cohésion des territoires et de co-pilotes du réseau Commerce, ville & territoire.

L’appel à projets « Repenser la périphérie commerciale » a été lancé en novembre 2017 par le ministère de la Cohésion des territoires, dans le cadre du réseau Commerce, ville & territoire. Il vise à accompagner des collectivités territoriales dans la mutation de périphéries commerciales en perte d’attractivité et ainsi faire émerger des « opérations-pilotes », supports d’une nouvelle urbanité, d’une mixité fonctionnelle et d’une offre de logement complémentaire au centre-ville.

Le ministère de la Cohésion des territoires tient à saluer la qualité des 24 candidatures reçues, provenant de 10 régions différentes, tant métropolitaines que d’Outre-Mer.

Le jury final a sélectionné les 6 projets suivants :

…lire la suite…

Les politiques d’attribution et mixité sociale @UnionHlm #LOGEMENT

Source : Union Sociale pour l’Habitat

« Les politiques de peuplement et d’attribution représentent un enjeu fort pour l’USH et les organismes et sont liées à une injonction à la mixité sociale. Cette dernière suscite un débat controversé, mais dans lequel l’ensemble du Mouvement Hlm a une position claire : œuvrer en faveur de la diversité. » En ouvrant cette journée, Juliette Furet, responsable du département des politiques sociales à l’USH, a d’emblée évoqué les problématiques qui accompagnent les politiques d’attribution : tensions entre droit au logement et mixité sociale, tendance à l’entre-soi, manque de logements et d’accompagnement adaptés hors QPV et recomposition institutionnelle en cours avec la montée en puissance des intercommunalités. Elle a posé une question qui va interpeller les chercheurs : « Les politiques d’attribution sont-elles le bon levier pour créer de la mixité ou faut-il imaginer autre chose ? »

Une recherche centrée sur le pouvoir intercommunal

La responsable du projet de recherche, Valérie Sala-Pala, professeure de Science politique à l’université Jean Monet à Saint-Étienne, a exposé les objectifs : « la recherche vise à comprendre dans quelle mesure les politiques de peuplement et d’attribution sont capables de produire de la justice sociale et spatiale. » Dans cette perspective, la démarche s’appuie sur trois partis pris : focalisation sur le logement social, articulation des politiques d’attribution et de production de logements sociaux et analyse de la dimension intercommunale de ces politiques. Elle a aussi rappelé que les questionnements et le cadre législatif des politiques de mixité sont assez anciens. Depuis la loi Besson de 1990, plusieurs autres textes sont venues soutenir la mixité par la production de logements telles que les lois SRU en 2000 ou ALUR en 2014. D’autres visent directement les attributions, telles que le Pacte de relance pour la ville en 1996 ou, très récemment, la loi Égalité et Citoyenneté. « Les politiques de peuplement et d’attribution sont confrontées à des recompositions majeures du rôle des acteurs et à une reconnaissance renforcée des enjeux de peuplement dans un contexte de précarisation accrue des ménages du parc Hlm », poursuit-elle.
Une question centrale émerge, quel sera le rôle des intercommunalités dans ces changements ? Pour y répondre, Rémi Dormois, coresponsable du projet de recherche et chercheur associé en Science politique au Laboratoire Environnement, Villes, Sociétés, entend approfondir la compréhension des mécanismes de gouvernance intercommunale de ces politiques. « L’idée est d’aller voir la masse critique des intercommunalités de taille intermédiaire encore peu avancées sur les politiques de peuplement et d’attribution qu’elles « sous-traitent » souvent aux bailleurs sociaux. Il s’agit également de mieux comprendre la contradiction entre droit au logement et mixité ainsi que le repositionnement des maires et des organismes Hlm par rapport aux établissements publics de coopération intercommunale. » Le point d’entrée de la recherche se situe clairement au niveau des territoires et des acteurs locaux. Rémi Dormois a aussi quelque peu réfréné les enthousiasmes en appelant à la « prudence sur le fait que la recherche en cours pourra mesurer des effets sur d’éventuelles recompositions sociales à l’échelle des segments du parc ».

Une équipe pluridisciplinaire, des territoires représentatifs

…lire la suite…

NEXITY : un contrat de crédit record pour 2,3 milliards d’€uros @Nexity @cmarkea

Source : Nexity

Nexity annonce avoir signé un contrat de crédit corporate syndiqué de 2,3 Mds d’euros, comprenant 500 millions d’euros de crédit en trésorerie et une enveloppe d’1,8 milliard d’euros d’engagements par signature (Garanties financières d’achèvement, cautions …). Cette ligne, d’une maturité de 5 ans (échéance juillet 2023), a été syndiquée auprès d’un pool composé des établissements suivants :  Banque Européenne du Crédit Mutuel, CACIB, Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de Paris et d’Ile de France, Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, Natixis (avec sa filiale CEGC), Socfim (BPCE) et Société Générale.

Ce nouveau contrat se substitue au contrat dont bénéficiait le Groupe   et qui venait à échéance en décembre 2018. Les mêmes établissements financiers étaient déjà parties prenantes à ce contrat et ont ainsi renouvelé leur confiance vis-à-vis de Nexity. Les montants autorisés dans le précédent contrat (300 millions de crédit en trésorerie et 840 millions d’engagements par signature) ont été revus significativement à la hausse, compte tenu du plan de développement de Nexity.

Ce contrat contribuera au financement en trésorerie des besoins généraux nécessaires au développement du Groupe. Les autorisations pour les engagements par signature permettront d’assurer le développement des opérations de promotion (tant en immobilier résidentiel qu’en immobilier d’entreprise) et d’aménagement.

Dans le cadre de ce crédit, le Groupe doit respecter des ratios financiers (ratios Endettement net/fonds propres, Endettement net/EBITDA, EBITDA/coût du financement) qui ont été adaptés pour neutraliser l’effet de la norme IFRS 16 (contrats de location) sur les agrégats d’EBITDA, d’endettement net et du coût du financement.

En savoir plus

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer