Archives Mensuelles: juillet 2015
Idée reçue n°8 sur les Hlm : « Une nébuleuse d’organismes »
On entend ici et là que les organismes Hlm en France seraient trop nombreux, qu’ils seraient trop petits pour être efficaces, que le périmètre de leurs missions serait flou, et leur fonctionnement interne opaque.
755 organismes au plus près des territoires
On dénombre aujourd’hui 755 organismes Hlm. Un nombre important si on le rapporte aux 26 régions de métropole et d’outre-mer dans lesquelles ils sont disséminés, mais raisonnable si l’on considère l’importance dans ce secteur d’une gestion de proximité. Il y a en France près de 1 000 villes de plus de 10 000 habitants et le parc Hlm, qui accueille 10 millions de personnes dans ses 4,3 millions de logements sociaux, ne peut être géré de manière centralisée. De plus, une rapide comparaison européenne permet de relativiser cette idée reçue. Les organismes de logement social français sont proportionnellement moins nombreux et de taille plus importante que la plupart de leurs homologues européens : 3 000 bailleurs sociaux en Allemagne pour 6 millions de logements, 1 200 bailleurs sociaux agréés en Angleterre pour un parc de 2,5 millions de logements, 700 au Danemark pour 540 000 logements ou encore 300 en Suède pour 730 000 logements. En France, il existe trois familles d’organismes Hlm qui produisent et gèrent du logement locatif :
Les Offices Publics de l’Habitat sont le fruit de l’initiative publique. Créés soit par le département soit par la commune, ils sont liés aux territoires par nature.
Les Entreprises sociales pour l’habitat sont de droit privé, quoique à but non lucratif comme tout le secteur Hlm. Elles couvrent souvent plusieurs territoires, notamment lorsqu’elles sont constituées en groupes, et doivent donc en permanence combiner leur stratégie nationale et les approches territoriales de leurs programmes.
Quant aux Coopératives dont l’ancrage territorial est très fort, elles sont davantage spécialisées dans l’accession sociale et l’accompagnement des acquéreurs.
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Géraldine Martin : « construire une filière de l’hydrolien en Basse-Normandie »
Géraldine Martin : « construire une filière de l’hydrolien en Basse-Normandie »En décembre 2014, l’Ademe a désigné Alstom et DCNS comme lauréats de son appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour la mise en place de fermes pilotes hydroliennes dans le Raz Blanchard dans La Manche. Sur le territoire, la Spl Ouest-Normandie énergies marines (Onem) travaille à l’émergence d’une filière : explications avec Géraldine Martin, sa directrice générale.
S’agissant d’un appel à manifestation d’intérêt lancé par l’Etat, quel peut-être le rôle de l’Onem ?
L’Onem est la société publique locale qui a été mise en place par la Région Basse-Normandie, le Département de La Manche et la Communauté urbaine de Cherbourg il y a maintenant trois ans. Ces trois acteurs se sont rassemblés autour des énergies marines renouvelables, les EMR. L’objectif était de créer une structure qui soit l’interlocutrice unique des industriels et des acteurs du territoire pour la filière de l’hydrolien. Nous avons créé un cluster comportant trois comités techniques : un comité sur la recherche, un autre chargé de la mise en place de formations aux métiers de la filière, et un dernier pour faire un état des lieux des entreprises sous-traitantes et le présenter aux industriels qui répondent aux appels d’offres. La présence de tous les acteurs dans ces comités permet de les impliquer dans le développement de cette filière. Par ailleurs notre rôle est d’être présent dans les grands réseaux nationaux et internationaux. Nous travaillons auprès des ministères pour l’installation d’un marché pour les EMR prévoyant des appels à projets et à manifestation d’intérêt. Nous pilotons un groupe de travail consacré au dispositif réglementaire et au marché dans le cadre du forum des EMR, installé par la Commission européenne l’année dernière…en savoir plus…
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ET SI LE TRAVAIL ÉTAIT LA SOLUTION ?
15e Rencontres économiques d’Aix-en-Provence
Pour leur 15e édition, les Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence ont pour ambition de mettre le travail au cœur des réflexions. Pendant ces trois jours, 35 débats et sessions vont réunir plus de 250 universitaires, chefs d’entreprise, étudiants, représentants politiques et d’institutions venant de 35 pays autour d’un objectif commun : proposer des pistes autour du travail, ciment de nos sociétés d’aujourd’hui et de demain.
Programme : lesrencontreseconomiques.fr
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Cumul Emploi – Retraite, qu’en est il ?
Paris , le 2 juillet 2015 – La Cnav (Caisse nationale d’Assurance vieillesse) et la Caisse des Dépôts ont rapproché leurs données pour évaluer les situations de cumul emploi – retraite des fonctionnaires retraités de la Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales et hospitalières (CNRACL). Les deux institutions publient les résultats de ces travaux 1 dans leurs publications respectives, Cadr@ge n°29 et Questions Retraite &Solidarité – Les études n°12 .
Questions Retraite et Solidarité – Les études, publiée par la direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts, observe que, parmi les retraités de la CNRACL ayant pris leur retraite depuis 2004, 11 % ont eu une activité rémunérée en 2012 . Les femmes ont un taux de cumul de 14 % contre 5 % pour les hommes . Lire Questions Retraite & Solidarité – Les études n°12 « Eclairage sur la reprise d’activité des retraités des fonctions publiques territoriale et hospitalière ».
Cadr’@ge , la revue de la Cnav, souligne que pour une partie des retraités de la CNRACL, le cumul emploi – retraite correspond à une poursuite de carrière sous un autre statut, et ce d’autant plus que l’âge de retraite a été précoce. L’étude s’intéresse aux caractéristiques des retraités de la CNRACL qui exercent une activité en tant que salariés du privé en 2012. Comparées aux cumulants du régime général, ces personnes sont plus souvent des femmes et se caractérisent par un niveau de qualification plus élevé et un âge moyen plus faible. Leur situation de cumul correspond plutôt à une continuité de carrière qu’à une transition ou une activité ponctuelle. Lire Cadr@ge n°29, intitulé « Les salariés du régime général retraités de la fonction publique hospitalière ou territoriale : une seconde carrière après la retraite » .
> Source : www.caissedesdepots.fr
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