Archives du 28 avril 2015

1ER accélérateur sur lequel mise la French Tech

french techLe Fonds French Tech Accélération du Programme d’Investissements d’Avenir, géré par Bpifrance, annonce sa participation à la levée de 2,3 millions d’euros dans l’accélérateur de startups Axeleo aux côtés d’un « pool » d’entrepreneurs issus du monde du numérique. C’est le premier accélérateur sur lequel mise la French Tech.

Avec cette levée de fonds, le nombre d’entrepreneurs associés d’Axeleo passe de 25 à 40 personnes. Parmi les arrivées remarquées, on retrouve notamment Benoit Gourdon (co-fondateur de Neolane), Romain Niccoli (co-fondateur & CTO de Criteo), Vincent Picou (co-fondateur de SquareClock), Kevin Polizzi (fondateur de Jaguar Network), Olivier Bernasson (fondateur de Pecheur.com), Patrick Bensabat (CEO de Business & Décision) et Frédéric Lasnier (CEO de Pentalog).

Pour rappel, le Fonds French Tech Accélération, lancé début décembre 2014 dans le cadre de l’initiative French Tech et opéré par le groupe Caisse des Dépôts, est doté de 200 millions d’euros sur 5 ans. Il a pour objectif de favoriser l’essor d’ « accélérateurs de startups » sur le territoire français. Le ticket d’entrée est d’environ 1M€ et pourra dépasser les 10 M€. Au rythme estimatif de 4 à 6 investissements par an, le nombre de projets financés sur les 4 prochaines années devrait atteindre une vingtaine au total. Une centaine de manifestations d’intérêt ont été reçues à ce jour.

Pour plus de détails :  FAQ dédiée.

> Source : www.lafrenchtech.com

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Thierry REPENTIN nommé délégué interministériel à la mixité sociale dans l’habitat.

Selon un décret du 23 avril 2015 publié au Journal officiel, Thierry Repentin a été nommé Délégué interministériel à la mixité sociale dans l’habitat.
Voir le décret 

LA CANTINE NUMÉRIQUE BRESTOISE ?

Source : La Cantine Brestoise

Rares sont aujourd’hui les innovations qui sont le fruit d’une entreprise ou d’un groupe isolés. Disposer d’un lieu convivial pour se retrouver, entre mondes parfois distants, que ce soit des communautés qui se croisent trop peu souvent, ou des indépendants qui travaillent de chez eux, permet de sortir de cet isolement et imaginer à plusieurs de nouveaux développements d’activités.

Il faut un lieu qui ne soit ni la maison, ni l’entreprise. C’est ce qu’on appelle un tiers-lieu.

Qu’est-ce qu’un tiers-lieu ?

Alors que la maison et les endroits de vie constituent les « premiers-lieux », les « second-lieux » sont les places de travail où les individus passent le plus clair de leur temps. Les « tiers-lieux » représentent pour leur part des points d’ancrage de la vie communautaire qui favorisent des échanges plus larges et plus créatifs au niveau local et permettent ainsi d’entretenir la sociabilité urbaine. Ces lieux ne sont pas les espaces publics habituels (aéroports, gares, parcs) qui voient passer une foule hétérogène. Ce sont des endroits plus localisés et dont l’espace, favorisant les liens et les échanges, a été accaparé par les individus…en savoir plus

West Énergies : levier de la transition énergétique dans La Manche

West Énergies : levier de la transition énergétique dans La Manche

Source : fédération des EPL

Dédiée aux énergies renouvelables (EnR), la Sem West Énergies créée en février vise à renforcer le mix énergétique de la Manche. L’hydrogène lui donnera une dimension innovante par sa capacité à être stocké. Sa production et son exploitation renforceront le soutien de la Sem en faveur du développement des énergies renouvelables sur le territoire.

Lancée le 26 février par le Conseil général devenu Conseil départemental, et le Syndicat départemental d’énergies de la Manche (SDEM) (1), la Sem West Energies étudie déjà ses premiers projets. Son ambition est d’être « un acteur privé-public, rationalisé et décentralisé et de positionner le territoire dans le mix énergétique de demain », explique Jean-François Le Grand, Président de la Sem. La Sem se veut ainsi le levier de la transition énergétique dans le département. Ses objectifs à dix ans prévoient le co-développement et le co-investissement dans des centrales photovoltaïques (à hauteur de 50 MWc), dans l’éolien terrestre (à hauteur de 50 MW), et dans la méthanisation avec dix unités prévues. Deux à trois unités de production d’hydrogène sont également au programme, donnant à ce mix énergétique une dimension avant-gardiste. L’hydrogène a été choisi pour sa capacité à être stocké mais aussi à produire de l’énergie. 

« L’ambition de West Energies est d’amorcer une dynamique qui, à terme, ferait de la Manche un producteur-exportateur d’hydrogène et un démonstrateur de son potentiel ».

Un territoire de transition énergétique

La mobilité est le premier axe de développement de la filière hydrogène qui se met en place avec l’appui financier de la Sem et des partenariats avec industriels et laboratoires de recherche. En ligne de mire : la flotte de véhicules des collectivités locales. Une station de distribution a déjà été installée par le Conseil départemental qui a acquis cinq véhicules électriques équipés de prolongateurs d’autonomie à l’hydrogène. Cinq autres doivent arriver d’ici la fin du premier semestre. Pour monter en puissance sur ce créneau, la Sem ouvrira son capital à d’autres acteurs publics et privés d’ici la fin de l’année. 

La dynamique énergétique vient renforcer la position déjà originale du département dans le paysage énergétique français avec son parc nucléaire, un éolien offshore qui se prépare et le déploiement de deux fermes expérimentales d’hydroliennes…en savoir plus

Des « pop-up stores » boutiques éphémères pour Paris

Source : Fédération des EPL

CoSto, le réseau des commerçants parisiens connectés impulsé par la Semaest, développe le concept de « pop-up store », boutique éphémère. Après un premier test en mars, la formule devrait être régulièrement déclinée en fonction des opportunités. Elle s’inscrit dans une démarche plus globale de recherche de solutions innovantes pour le commerce de proximité de demain.

L’ouverture d’un pop-up store a permis en mars à neuf créateurs-commerçants parisiens de se rassembler et de s’installer pendant dix jours dans une boutique éphémère. Parmi eux : La Frange à l’envers et sa sélection de vêtements d’occasion tendance, Cléalala avec ses illustrations et broderies maison, Louise Damas et ses bijoux faits main, ou encore Saisons d’Eden et ses cosmétiques « made in France ». L’occasion pour ces créateurs de mettre collectivement en avant leurs produits (habituellement vendus en ligne), mais aussi pour la Semaest (Sem d’animation économique parisienne à l’origine du projet) d’apporter des idées innovantes aux commerces de proximité tout en participant à la diversité commerciale d’une artère de la capitale qui souffre de mono-activité : la rue du Château d’eau, dans le 10e arrondissement.

Lieu de rencontre entre l’économie de proximité et l’écosystème numérique, ce projet « pop-up store » s’est inspiré d’un concept de magasin temporaire lancé dans les années 2000 par de grandes marques aux Etats-Unis. L’objectif de la Semaest est maintenant de pérenniser cette formule commerciale originale. Un appel à projets sera lancé au cours des prochaines semaines auprès de commerçants, créateurs et startups pour une nouvelle édition dans une autre rue parisienne. L’ouverture est prévue d’ici à juillet sur le thème des commerces de proximité et de l’innovation. « D’autres suivront si la formule confirme sa pertinence », précise Sabrina Le Bourgeois, responsable communication de la Semaest...en savoir plus

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