Archives Mensuelles: août 2014

Rencontres de la Recherche : La Recherche dédiée au numérique à l’université de Rennes 1

logo_fondation-Rennes1La Fondation Rennes 1 « Progresser, Innover, Entreprendre » vous convie à la 8ème édition des Rencontres de le Recherche qui aura lieu vendredi 19 septembre 2014 au campus de Beaulieu

Venez échanger autour de la recherche dédiée au numérique à l’université de Rennes 1 :

Systèmes large échelle – Réseaux, télécommunication et services – Architecture – Langage et génie logiciel – Signaux et images numérique, robotique – Média et interactions – Gestion des données et de la connaissance.

Au programme :

– Présentation :

  • Institut de Recherche et Informatique et Systèmes Aléatoires (IRISA) ;
  • Green IT, Traitement de l’information en biologie-santé et Cyber sécurité ;
  • Chaire – Fondation Rennes 1 « Habitat intelligent et innovation ».

– Visite au choix de deux plateformes de recherche :

  • Immersia ;
  • Le fauteuil roulant intelligent.

>En savoir plus : Télécharger le programme

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>Source : www.fondation.univ-rennes1.fr

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SEM 92 : Le développement durable est-il « soluble » dans l’aménagement ?

sem-92Rendez-vous à la 8ième édition du Café Urbain : Vendredi 3 octobre 2014

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La SEM 92, partenaire privilégié des collectivités et des bailleurs, organise la 8ième édition du Café Urbain « Le développement durable est-il « soluble » dans l’aménagement ? », un cycle de débats au cœur de l’actualité et des questions opérationnelles qui se posent dans un moment où la ville et ses pratiques, les acteurs et les règlements sont en constants changements.

Une table ronde autour des questions suivantes :

  • Les labels « éco quartiers » ou autres démarches de certification ne limitent-ils pas le champs de vision ou d’approche du développement durable à des échelles « micro locales » ;
  • Comment ne pas être esclave de la technicité (énergie, déchets) et savoir encore hiérarchiser les problématiques de l’aménagement ? ;
  • Quelles sont les mages de manœuvre d’un élu, d’un aménageur : dispositifs coercitifs, contrôle, évaluation ? ;
  • Comment anticiper au mieux : évolution des usages, bonne gestion et entretien ? ;
  • comment bien évaluer ce que l’on fait, dispose-t-on des bons outils pour contrôler ?

A cette occasion, la SEM 92 présentera son nouvel ouvrage : « Ambitions pour une ville durable »

Télécharger l’annonce

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>Source : www.sem-92.fr

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Quelle est la situation des principaux organismes d’assurance-vie et non-vie ?

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La situation des principaux organismes d’assurance en 2013

Sur la base d’un échantillon représentatif des organismes d’assurance-vie et non-vie, il apparaît que les assureurs ont poursuivi en 2013 le rétablissement de leurs comptes en dépit d’un environnement macroéconomique resté morose.

En assurance vie, la collecte nette est redevenue positive à + 5.1 GEUR après une décollecte de -8.1 GEUR en 2012. Les bonnes performances se sont également matérialisées dans le résultat qui a progressé de 20%. Le rendement sur capitaux propres progresse également à 9.9 % (+1.3 point). Le taux de couverture du besoin de marge de solvabilité reste stable à 301 %. Par ailleurs, la richesse économique dans les comptes1 s’est sensiblement améliorée par rapport au niveau des années 2008-2011.

Ces évolutions positives sont néanmoins à nuancer car le taux de rendement des placements a poursuivi sa tendance baissière pour s’établir à 3.6 %. Ce fait met les marges financières des assureurs sous pression. L’écart entre le taux de rendement des placements et le taux de distribution de ces derniers est passé de 93 bps en 2006 à 57 bps en 2013. Les marges opérationnelles des assureurs sont dégradées car les frais d’acquisition ont également augmenté en 2013.

En assurance non vie, la progression du chiffre d’affaires des assureurs a diminué à + 2.3 % contre +3 % en 2012. Le chiffre d’affaires pour les affaires directes atteint 58.3 GEUR en 2013. Ce ralentissement est causé par une évolution contrastée des différentes catégories. En particulier les assurances transport et construction voient leur chiffre d’affaires se contracter pendant que celui de l’assurance automobile ralentit fortement. Le ratio combiné global se dégrade légèrement pour passer de 96.9 % à 97.6 %.

Cette légère dégradation de marges techniques est néanmoins compensée par le rétablissement des marges financières sur la même période, illustré par le taux de rendement financier qui passe de 2.36 % à 3.21%. Au final, le résultat net rapporté aux primes progresse fortement pour s’établir 4.4 % à fin 2013 (contre 2.2 % en 2012). Le rendement sur capitaux propres progresse de 3.4 pts pour atteindre 6.8 %. L’amélioration des conditions de marché améliore également le taux de couverture du besoin de marge de solvabilité qui passe à 532 % (+15 points).

…En savoir plus sur la Situation des principaux organismes d’assurance en2013…

>Source : https://acpr.banque-france.fr

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Bretagne : Une SAS pour doper les EnR

Dans une dynamique d’intérêt général en accord avec les enjeux du Pacte électrique breton, une SAS qui accompagne des projets d’énergies renouvelables en Bretagne, a été mise en place par la région à travers la Semaeb. La société investit dans des entreprises qui réalisent des équipements ou des infrastructures de production comme le parc éolien citoyen de Beganne.article-1524-img_chapo.

L’objectif est « d’accélérer la mise en œuvre des projets EnR en Bretagne » et « de s’engager là où l’intérêt général trouve sa place et où l’investissement privé, seul, ne suffit pas », explique Nicolas Chapelat, chargé de mission énergies renouvelables à la Semaeb (Société d’économie mixte pour l’aménagement et l’équipement de la Bretagne). La Sem a créé, avec d’autres partenaires, la société d’investissement Eilañ, chargé d’investir dans des projets EnR, comme, par exemple, la SAS Begawatts. Fonctionnant sur un principe coopératif, la gouvernance de cette dernière est répartie en plusieurs collèges regroupant un millier de citoyens actionnaires (64 % des parts), Eilañ (18 %) et des acteurs de l’économie sociale et solidaire du territoire. L’ambition ? « Permettre aux habitants de prendre en mains les projets EnR locaux ». Inauguré en juin 2014, ce parc de quatre éoliennes est en effet le premier en France à être détenu par une majorité de citoyens, à travers des clubs d’investisseurs et des Cigales. « D’autres projets éoliens participatifs ont vu le jour ces dernières années, mais jusqu’à présent cette participation citoyenne était minoritaire », précise Nicolas Chapelat.


Un acteur de référence
La dynamique initiée par la Semaeb, a permit à la SAS de devenir un acteur de référence en Bretagne en matière d’EnR, en lien avec les objectifs fixés par l’Etat, la Région Bretagne et l’Ademe dans le cadre du Pacte électrique breton. Eilañ s’engage plus particulièrement dans les filières éolienne, méthanisation et biomasse. Deux autres projets citoyens, accompagnés par la Semaeb via la société d’investissement, devraient d’ailleurs voir le jour au cours des prochaines années.

S’adressant à des projets techniquement finalisés et de taille intermédiaire, Eilañ permet des investissements compris entre 2 et 20 M€, en prenant 10 à 30 % de parts sociales dans les projets. Dotée de 3 M€ pour démarrer, la SAS engagera 4,7 M€ dans les trois ans à venir et envisage d’augmenter progressivement son capital afin de soutenir une douzaine de projets d’ici à 2016. Selon la Semaeb, « l’effet de levier financier pourrait avoir pour effet la réalisation d’environ 100 M€ d’investissements sur cette période ».   

Patrick Cros/Naja

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>Source : http://servirlepublic.fr   

EPL-Servir-le-public

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Assurance-vie : Un scénario « à la japonaise » semble être évoqué !

Logo-ACPR-Banque-de-France.

Le contexte actuel de faiblesse des taux d’intérêt de long terme pourrait faire craindre que le secteur de l’assurance-vie ne connaisse des difficultés similaires à celles des assureurs-vie japonais dans les années 1990.

La crise des assureurs-vie japonais est principalement liée à une surévaluation des taux garantis sur les contrats au regard du rendement de l’actif : alors que les rendements de leurs actifs diminuaient, les organismes, encouragés par les pouvoirs publics, continuaient d’offrir des rémunérations élevées pour contenir la chute des nouvelles souscriptions. À la fin des années 1990, le gouvernement japonais s’est retrouvé dans l’incapacité d’empêcher la faillite de certains assureurs-vie en grandes difficultés financières.

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L’intervention de l’État a été rendue nécessaire compte tenu du poids du secteur dans l’économie. Au total, ce sont 7 assureurs-vie qui ont fait faillite au Japon entre 1997 et 2001, avec un 8ème en 2008, pour un coût total pour la collectivité de 3 496 GJPY (28,5 GEUR), soit 0,7% du PIB.

Ces faillites ont imposé une réforme de l’Insurance Business Act : mise en place de mesures de surveillance préventives, notamment le calcul d’un ratio de solvabilité basé sur les risques, possibilité de réviser à la baisse les taux garantis dans les contrats des sociétés en difficulté et création d’un fonds de garantie (PPCJ) avec la garantie de l’État japonais pour sauvegarder les intérêts des assurés.

Les mesures prises par le gouvernement japonais ont permis d’enrayer le nombre de faillites et de rétablir la solvabilité et la rentabilité du secteur de l’assurance-vie. La faible exposition des assureurs-vie au secteur bancaire a permis d’éviter la contagion à ce secteur.

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La faiblesse actuelle des taux d’intérêt de long terme en Europe semble évoquer l’environnement japonais des années 1990. Par ailleurs, l’entrée en vigueur en janvier 2016 de Solvabilité II va améliorer la prise en considération des risques d’un tel scénario (environnement de taux bas, taux garantis élevés, augmentation des rachats, concentration des actifs).

Les risques émanant d’une telle situation seront captés dans la meilleure estimation des provisions (best estimate) et dans le capital de solvabilité requis. En outre, une modélisation précise des rachats (structurels et conjoncturels) sera attendue et l’application des deux principes de Liberté d’investissement, d’une part, et Personne Prudente, d’autre part, supplanteront les règles explicites de diversification et de concentration des placements. Au-delà des éléments quantitatifs, l’introduction de la notion de « système de gouvernance » renforce la prise en considération du scénario japonais sous Solvabilité II.
Par ailleurs, la mise en place d’outils prudentiels complémentaires (exercices de stress tests, enquêtes sur le niveau des taux garantis, contrôles sur place et sur pièces) renforcera la supervision prudentielle dans un contexte « à la japonaise ».

…En savoir plus sur les défaillances dans secteur de l’assurance-vie au Japon – décennies 1990 et 2000…

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>Source : https://acpr.banque-france.fr

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