Archives du 26 octobre 2011

L’école de l’Accession Sociale à la Propriété

L’école de l’accession sociale à la propriété (EASP) a été créée en septembre 2009 par l’Union sociale pour l’habitat et les fédérations qui la composent, avec le soutien de la Caisse des dépôts. 

Sa mission: offrir une formation professionnelle reconnue, et être le lieu d’une culture vivante et partagée entre organismes, collectivités et leurs partenaires.

Sa finalité : renforcer la qualification professionnelle des collaborateurs des organismes Hlm et de ceux des collectivités locales pour développer l’accession sociale à la propriété.

DES INTERVENANTS EXPERTS

L’École de l’accession sociale à la propriété s’appuie sur le réseau des intervenants de l’AFPOLS, organisme de formation du Mouvement Hlm, et d’A.RE.COOP, organisme de formation de la Fédération des coopératives d’Hlm. Il s’agit de formateurs experts dans leurs domaines respectifs, impliqués de longue date auprès des organismes Hlm, ou de professionnels reconnus, susceptibles de partager leur savoir-faire.

UNE FORMATION POUR LES ORGANISMES HLM, LES COLLECTIVITÉS LOCALES ET LES PARTENAIRES PROFESSIONNELS

Cette formation s’adresse :

▪ aux collaborateurs des organismes qui conçoivent, gèrent et réalisent les programmes d’accession sociale à la propriété : dirigeants, responsables de l’accession, responsables ou monteurs d’opérations, chargés de développement immobilier, négociateurs et vendeurs ;

▪ aux responsables locaux de la politique de l’habitat (élus, cadres territoriaux, ADIL, agences d’urbanismes, CAUE…) mais aussi aux opérateurs fonciers et d’aménagements, établissements financiers et autres acteurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances du sujet (politiques, outils, cadre juridique, financements) dans un partage avec les professionnels du secteur…Télécharger la plaquette de présentation

Coûts de construction et réforme de l’accession à la propriété : Compte-Rendu du Colloque

L’un des principaux objectifs de la réforme du PTZ+ est de réorienter la construction vers les marchés où le déséquilibre entre l’offre et la demande est le plus fort.

Sur ces marchés coûteux, les prix du foncier sont les plus élevés, mais les coûts de construction également. De plus, l’amélioration de la performance énergétique des constructions, autre enjeu de la réforme, est également un facteur de hausse des coûts. Dans le cadre de la mission confiée à l’ANIL par Benoist Apparu, secrétaire d’Etat au logement sur le suivi de l’impact du PTZ+, l’ANIL organise, en partenariat avec la Fédération Française du Bâtiment (FFB) et la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), un cycle de colloques sur « Les coûts de construction et la réforme de l’accession à la propriété »Télécharger le Compte-rendu du premier Colloque


Logement et économie sociale : un colloque pour agir


Télécharger l’invitation en PDF

Baromètre de confiance des Français à l’égard des associations et fondations


Le Baromètre TNS SOFRES montre que les associations et fondations faisant appel à la générosité publique  bénéficient d’un regain de confiance au sein du grand public… mais cette confiance reste relative

Près de la moitié des Français (48 %) déclarent avoir confiance dans les associations et fondations faisant appel à la générosité publique, un score en hausse de 7 points par rapport à 2010. Ce sont notamment les moins de 35 ans, les catégories socioprofessionnelles aisées et les donateurs (réguliers et occasionnels) qui adoptent cette année une posture plus confiante que l’an dernier.  Ce regain de confiance est d’autant plus remarquable qu’il intervient à une période où la crise de confiance à l’égard des institutions ne s’est pas résorbée. Les associations et fondations peuvent apparaître parmi les derniers garants des valeurs de solidarité et de proximité, derrière les associations de défense de consommateurs, au plus haut dans la confiance (83 %, + 3 points). 

Même s’il est en hausse, le pourcentage de Français déclarant avoir confiance dans les associations et fondations reste inférieur à 50% ; seuls 4% des interviewés se sont déclarés très confiants à l’égard des associations et fondations, et cette proportion n’a pas évolué en un an.

La confiance dans le monde associatif n’empêche pas la défiance à  l’égard de certaines associations et fondations 

84% des Français déclarent avoir déjà ressenti de la méfiance à l’égard de certaines associations ou fondations, dont 39% souvent, ce qui ne signifie pas un rejet en bloc de tous les acteurs du secteur. Les raisons de méfiance spontanément invoquées sont la rémanence de scandales médiatiques même très anciens (cités à 36%), mais aussi le manque de transparence («On ne sait plus où vont les fonds.») et de lisibilité dans l’action menée (évoqué par 29% des personnes interrogées) et, pour certains, la non affectation partielle ou totale des fonds à la cause annoncée au départ (14%), ou encore un malaise dû aux sollicitations reçues (10%).

Méfiance ne signifie pas arrêt systématique du don.  Cependant, 65% des donateurs citent au moins un facteur de méfiance qui les a décidés à se détourner d’une association.  Par ailleurs, c’est un facteur lar‐gement mis en avant par les non donateurs pour justifier le fait qu’ils ne donnent pas.

Un nécessaire contrôle de la rigueur et de la transparence… 

Les trois quarts des personnes interrogées présentent une très forte attente de contrôle à l’égard des associa‐tions et fondations : contrôle comptable et financier, mais pas seulement. Il doit aussi porter sur le respect d’engagements plus qualitatifs (affectation des dons, orientation de l’action).  Or, la bonne conduite des associations et fondations en la matière reste néanmoins sujette à caution : seul un peu plus du tiers des personnes interrogées estime que les associations et fondations sont performantes sur ce sujet.

… mais pas seulement : le contrôle externe doit aussi porter sur le respect d’engagements plus qualitatifs

 Les attentes des Français sont également fortes quant aux preuves et garanties qu’ils souhaiteraient recevoir des associations et fondations concernant l’efficacité de leurs actions (attente encore plus fortement marquée chez les jeunes, à 71%), l’affichage clair de leur vocation et le respect de la volonté du donateur en ce qui concerne l’orientation des dons. S’il s’agit de critères sur lesquels les critiques sont moins vives que sur la rigueur de la gestion et la transparence financière, ils sont néanmoins fortement contributifs dans la construction de la confiance.

Internet : un impact encore restreint, en positif comme en négatif…  …excepté chez les jeunes 

Internet joue aujourd’hui un rôle encore limité dans la confiance à l’égard des associations et fondations, au sein du grand public.

Auprès des jeunes, la relation avec les associations et fondations se construit davantage sur le web. Ils se disent sensibles à l’information qui y circule : information délivrée par les ONG sur leur site et buzz émanant des blogs et forums. Le quart des jeunes donateurs déclare avoir décidé de faire un don à la suite d’une visite de l’un de ces sites et 43 % d’entre eux considèrent que le buzz autour des associations et fondations sur Internet impacte leur confiance (contre 27 % au sein du grand public).

La Franche-Comté lance sa marque: « L’Originale »

La mise en service du TGV apporte des perspectives de développement majeures pour la région, les 4 grands pôles urbains de Besançon, Belfort, Dole et Montbéliard, ainsi que pour le Jura suisse voisin. Afin d’accompagner cette petite révolution et d’anticiper « l’effet TGV », la Région, en partenariat avec ces collectivités, lance une campagne de promotion visant à renforcer l’attractivité globale du territoire. Le public : les entreprises qui souhaiteraient s’implanter ou se développer, les nouveaux (et futurs) habitants, mais aussi les touristes, d’un week-end ou d’une semaine, venus de l’Ile-de-France, de l’Allemagne, de la Suisse, de la Bourgogne, de l’Alsace, de Rhône-Alpes…

Au coeur de cette campagne : la marque « L’Originale ». Originale car préservée et authentique, originale car unique, la Franche-Comté dispose de tous les atouts pour mobiliser des ambassadeurs passionnés. Cette marque va vivre dans le cadre d’un dispositif de campagne ambitieux dans ses créations, mais aussi dans sa mécanique digitale, relations publiques et média.

À travers le prisme de « L’Originale », il s’agit de révéler les points forts de la région et de construire une image d’ensemble. Un espace contrasté où se croisent technologies de pointe et savoir-faire artisanaux ancestraux, une position frontalière qui pousse à l’exploration et lui confère un tempérament avant-gardiste, un territoire à taille humaine et en même temps de grands espaces qui exaltent le sentiment de liberté qu’offrent une nature sauvage et préservée, une histoire patrimoniale qui vit un peu chez tous les Francs-Comtois…

En bref : un portrait en relief d’une région unique au fort potentiel d’avenir, une campagne ambitieuse, et une petite révolution au service de l’image de la région et des territoires partenaires…Plus d’informations sur le portail de la marque

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