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Paris : 3e place des villes les plus attractives au monde @paris
Source : paris.fr
Paris n’a pas cessé de progresser dans les classements internationaux ces dernières années. Selon le classement du cabinet d’audit américain AT Keaney, qui distingue les villes du monde qui ont le plus d’avenir en matière d’attractivité et de développement économique, Paris se place en peloton de tête des métropoles les plus attractives aux côtés de San Francisco et New-York.
13ème l’année dernière, Paris décroche cette fois-ci la 3e place. Elle dépasse ainsi toutes les autres métropoles européennes et asiatiques pour se placer, selon les experts, « comme un concurrent direct des principales villes américaines ». La capitale française talonne à ce titre San Francisco (1er) et New-York (2e).
Cette étude d’AT Keaney se fonde sur trois grands critères : le bien-être des habitants, la vitalité du tissu économique et de l’écosystème de l’innovation, ainsi que la gouvernance. Pour ce cabinet, la progression rapide de Paris s’explique d’abord par « l’augmentation du nombre d’incubateurs » pour les startups et par « la croissance des investissements directs étrangers ».
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Les collectivités n’échappent pas aux plateformes de crowdfunding @cmarkea
Lisez cette brève sur la Plateforme des Institutionnels
Publication Régions de France & Finance Active – Juin 2017 – Le crédit aux collectivités locales à l’heure de la digitalisation
Le marché du crédit n’échappe pas aux grandes évolutions structurantes de l’économie du XXIème siècle : digitalisation, suppression des intermédiaires, démultiplication en un clic des relations possibles.
Si les acteurs du crédit aux collectivités restent majoritairement les grands établissements bancaires français, la désintermédiation commence à se faire une place via les émissions populaires ou les placements privés par exemple. Le recours aux plateformes de crowdfunding est déjà entré dans les pratiques, même si les sommes levées sont encore de l’ordre du symbolique au niveau de nos collectivités locales.
Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels (E&I), partenaire historique du secteur public local, s’est lancé dans un projet digital avec la « Plateforme des institutionnels ».
L’objectif premier de la « Plateforme des institutionnels » est d’offrir aux collectivités une nouvelle source de financement, entre le financement bancaire et l’émission obligataire. La collectivité présente les projets de son territoire et fixe elle-même les conditions financières qu’elle sollicite (montant, taux et durée des financements). La « Plateforme des institutionnels » leur permet de se financer autrement que par l’intermédiaire de leurs banques traditionnelles. La « Plateforme des institutionnels » permet en outre aux investisseurs institutionnels de financer l’économie réelle en accompagnant des projets locaux et utiles.
Découvrez l’intégralité de l’interview de Laetitia Boussarie & Vincent Guerillon d’Arkea Banque Entreprises et Institutionnels, dans la Publication Régions de France & Finance Active – Juin 2017
Pour plus d’informations : pierre-eloi.acar@arkea.com – laetitia.boussarie@arkea.com – vincent.guerillon@arkea.com
Un projet hôtelier ambitieux signé @CiedePhalsbourg et Station F @Semapa_Paris @joinstationf
Source : compagniedephalsbourg.com
Surnommé « Aurore », Station F et Compagnie de Phalsbourg en sont les maîtres d’œuvres de l’ambitieux projet à Paris Rive Gauche du 13ème arrondissement, consistant en la construction d’un Hôtel, qui offre le meilleur du design écologique et de l’architecture durable combiné à une qualité de service primée 5 étoiles, et Slo Living Hostel, Auberge de jeunesse nouvelle génération.
A proximité immédiate de la Bibliothèque François Mitterrand et en surplomb de Station F, le plus grand incubateur au monde, l’architecture mêlant bois, métal bronze et végétal conçue par Kengo Kuma et Nicola et Adelaïde Marchi accueillera la première implantation outre-atlantique du groupe hôtelier écolo-luxe « 1 Hotels ». 1 Hotels proposera notamment 140 chambres, une salle de sport, et un restaurant panoramique sur l’une des multiples terrasses du projet. L’auberge de jeunesse Slo Living Hostel offrira quant à elle 179 couchages.
Aurore accueillera également « Chez Fellini », nouveau concept de cabaret développé par « La Bellevilloise » Enfin, un café co-working « Nuage Café » accueillera les startupers et les professionnels itinérants.
Des coopératives pour tisser les liens commerciaux @CDF_Commercants @cmarkea @FrancisPalombi #ArkeaImmobilier
La Confédération des Commerçants de France représente actuellement 18 fédérations, soit un peu moins de 400 000 entreprises (600 000 points de vente) et environ 1 million de salariés. Il s’agit essentiellement d’artisans et de commerçants installés dans les coeurs de ville. Entretien avec son Président, Francis Palombi, qui s’investit depuis sa nomination en 2014, pour garantir aux artisans et aux commerçants une concurrence saine et loyale et un développement durable de leurs entreprises.
Créer des coopératives de développement économique du centre ville
« La Confédération des commerçants de France a mis en place une commission de travail constituée de juristes, avec la Chambre de commerce et d’industrie qui s’est beaucoup impliquée, et la CGPME (Confédération générale des petites et moyennes entreprises). Nous avons remis un rapport au ministère de l’Economie et à Madame Pinville, qui s’est saisie du dossier. Ce rapport a d’ailleurs été appuyé à l’époque par Emmanuel Macron, considérant que cette organisation redonnait de l’action au privé ».
Ces coopératives s’inspirent du modèle québécois en rassemblant tous les acteurs et en leur donnant davantage de force d’action. La coopérative n’aura d’ailleurs de réalité que si de nombreux acteurs entrent dans la structure. Le statut de la SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) permet d’associer toute personne physique ou morale de droit privé ou de droit public autour du projet commun. Les collectivités territoriales, leurs groupements et les établissements publics territoriaux peuvent devenir associés et détenir jusqu’à 50 % du capital.
Ce modèle est testé cette année dans une douzaine de villes. Ces coopératives auront un pouvoir accru, et une « boîte à outils » plus développée que les associations, unions commerciales et offices de commerces actuels. Elles pourront aussi créer des mécanismes financiers, mutualiser des services et des achats, amorcer un soutien pour des commerçants qui voudraient s’installer dans des locaux vacants, favoriser la création de boutiques éphémères pour tester de nouveaux concepts. Pour assurer leur indépendance, les responsables seront payés par la coopérative, et non par la municipalité comme cela se pratique aujourd’hui.
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Adapter le commerce aux nouvelles réalités économiques @GDarmanin @TourcoingVille @cmarkea #ArkeaImmobilier
Tourcoing, dans le département du Nord, est la quatrième ville de la région des Hauts-de-France et la troisième ville de la métropole derrière Lille et Roubaix, avec 96 000 habitants. La métropole lilloise a des caractéristiques particulières, avec une « ville-centre », Lille, et deux villes importantes à moins de 15 minutes : Roubaix et Tourcoing. Cette situation complexifie le dynamisme et l’attractivité commerciale de ces deux villes. Entretien avec Gérald Darmanin, maire de Tourcoing.
« Nous mettons sur la table tous les moyens dont nous disposons pour dynamiser l’économie de Tourcoing et le cadre de vie de ses habitants »
« Le commerce souffre parce que, partout en France, il y a une accumulation de difficultés, avec notamment l’arrivée d’Internet accompagnée des géants de la vente en ligne et le développement des zones commerciales à proximité immédiate des villes. Le fait que Tourcoing soit une ville périphérique accentue les difficultés. Les habitants ont tendance à faire leurs courses à Lille ou dans les grandes zones commerciales qui entourent Tourcoing. Un nouveau centre commercial a d’ailleurs été acté par la précédente municipalité. Il nous est difficile d’intervenir sur ces sujets, dans la mesure où il s’agit aussi de développement économique et de création d’emplois. Ce qu’il faut aujourd’hui, et je pense que cela est vrai pour la plupart des agglomérations, c’est de faire en sorte que le commerce de centre-ville soit différent de celui que l’on trouve dans les zones commerciales. C’est aussi l’objet de notre action forte de revitalisation du coeur de ville. Cela a un coût. Beaucoup d’économies ont pu être réalisées en travaillant sur les dépenses, sans pour cela toucher le service public. La ville a réussi à baisser le montant de la taxe d’habitation, régulièrement, jusqu’à –3 % pour l’année 2017. Notre gestion rigoureuse redonnera à Tourcoing les capacités d’investissement nécessaires à la redynamisation de l’activité et à l’amélioration du bien-être des Tourquennois », conclut Gérald Darmanin.
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