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La Région Aquitaine lance une campagne de communication d’envergure à destination des jeunes

Le Conseil régional d’Aquitaine va lancer le mercredi 2 novembre prochain la diffusion en salles de cinéma du spot de sa campagne de communication « 16-25 ans, la Région soutient votre élan », en direction de la jeunesse aquitaine. Ce film de 21 secondes sera projeté dans 200 salles de cinéma en Aquitaine du 2 au 11 novembre 2011.

Il s’insère dans une campagne d’envergure menée pour la Région à destination de l’un de ses publics prioritaires : les jeunes, porteurs de l’avenir de l’Aquitaine et pourtant premiers touchés par la précarité. La campagne, confiée à l’agence bordelaise STJOHN’S, se décline à travers les supports suivants : 
- affichage depuis le 24 octobre et jusqu’au 16 novembre, 
- achat d’espaces web du 24 octobre au 20 novembre, 
- création d’un site Internet dédié : http://16-25.aquitaine.fr
- création d’une page Facebook et d’un compte Twitter.

Cette campagne s’inscrit dans le cadre du lancement du Pacte Aquitain pour la Jeunesse : plus de 50 dispositifs régionaux sont centrés sur l’autonomisation et l’insertion des jeunes, en favorisant l’accès à la santé, au logement, aux transports, à la culture et à la formation. Il s’agit avant tout de donner aux jeunes les moyens de s’accomplir. Au total, ces actions représentent un budget de plus de 50 millions d’euros.


La ville de Marseille et Habitat Marseille Provence expérimentent le logement numérique pour tous


 

Après le Service Unique Numérique, solution collective au tout numérique (TV, Internet et Téléphone) à prix maîtrisé, la Ville de Marseille et Habitat Marseille Provence expérimentent un nouveau service innovant : le « Logement Numérique pour tous », bouquet de services internet accessible depuis un ordinateur ou un support télévisuel dans les logements sociaux. Avec le concours de la société Vivacoeur, ce projet intitulé RESIDACOEUR, est testé à partir de septembre 2011, par près de 700 locataires d’HMP. 

Ce portail d’informations et de services leur permettra notamment d’avoir un accès privilégié aux informations relatives à leur quartier, leur mairie de secteur et leur commune, d’échanger en direct avec HMP par webcam et de pouvoir constituer de véritables réseaux sociaux fondés sur les solidarités de voisinage.

La Ville de Marseille soutient cette initiative originale à hauteur de 21 600 euros dans le cadre d’une convention signée avec HMP, voté au Conseil Municipal du 28 mars 2011…Télécharger le Communiqué de presse en PDF

Les collectivités investissent difficilement les réseaux sociaux

par Christian de La Guéronnière le 23 juin 2011

 

Les collectivités locales sont de plus en plus présentes sur les réseaux sociaux. Mais quels usages en font-elles ? Un regard sur huit études récentes permet, loin des fantasmes, de mieux cerner les difficultés que peut rencontrer la communication publique face à ces outils interactifs.

« Et vous, qu’en pensez-vous ? » « Exprimez-vous sur le sujet… » « N’hésitez pas à nous faire part de vos propositions ! » Ces invitations au débat n’apparaissent que rarement sur les pages Facebook des collectivités qui préfèrent y relayer de l’information sur leur programmation culturelle, les activités associatives ou les services publics de proximité. De l’autre côté de l’écran, les Français voient dans les réseaux sociaux « un idéal participatif », comme l’analyse Denis Muzet, sociologue et auteur d’une étude sur « les mots des réseaux sociaux ». Cette différence fondamentale d’appréhension de ces nouveaux médias explique pour l’essentiel le relatif échec (provisoire, espérons-le) de l’investissement des collectivités locales sur le sujet. Car échec il y a : si certaines pages Facebook peuvent rassembler plus de 200 000 ou 300 000 fans autour du nom d’une grande ville, ce chiffre pouvant représenter plus de 80 % de la population comme à Lille, ces pages (ou profils) sont toujours éditées et animées par des indépendants. Les pages « officielles » (éditées par les collectivités), quand elles existent, peinent à rassembler entre 1 à 3 % de la population de la ville… Le phénomène leur échappe donc pour l’essentiel, et il sera dur de remonter la pente…Lire l’article complet sur CAP’COM

Les réseaux sociaux au service de l’animation de la vie coopérative

Organisée dans le cadre de l’assemblée générale de la Fédération nationale des sociétés coopératives d’Hlm, la table ronde, animée par Hervé PARENT (consultant HP Conseils), accueillait les personnalités suivantes :

Pierre-Yves ANTRAS, directeur général de Haute-Savoie Habitat et dIdéis
Charles BERDUGO, président de maresidence.fr
Thierry MARCOU, Fédération Internet Nouvelle Génération
Pascal MASSON, directeur général dHabitation Familiale

Le support de présentation de cette séquence peut être téléchargé en cliquant ici.

Promotion touristique : les collectivités s’emparent des réseaux sociaux

Source: Cap’Com, rédigé par Chantal Butheau le 12 mai 2011

Collectivités et offices de tourisme rivalisent d’initiatives pour promouvoir leur territoire et leurs produits. Les réseaux sociaux sont à l’honneur. Et la fièvre des concours s’empare des internautes en quête de vacances originales et moins chères.


77% des Français préparent leurs vacances sur Internet, à la recherche de prix, d’horaires et de quelques images de rêves.  Ce résultat d’une enquête d’Atout France a de quoi émouvoir collectivités et offices du tourisme dont la communication reste parfois très traditionnelle. L’heure n’est plus aux plaquettes en papier glacé et même le site vitrine ne suffit plus. Aujourd’hui, disent les professionnels du voyage, « le touriste, via le web 2, veut devenir l’acteur de son voyage ». Sur cette  tendance bien affirmée, les Office de Tourisme veulent surfer  en redéfinissant les tâches de leurs agents  souvent absorbés par des renseignements pratiques à donner au public. Pour revaloriser leurs missions de conseil, ils développent les outils numériques capables de répondre aux demandes très pratiques du public : ipod en libre accès,  site mobile , borne numérique, audio guide, balades en 3D avec badge FFID… La MOPA (Mission des Offices de Tourisme  et Pays touristiques en Aquitaine) est leader en la matière, avec des aménagements très adaptés dans les Offices de Tourisme de Biscarosse et de Médoc Océan. Mais  elle réaffirme avec force « qu’elle ne veut pas remplacer les hommes  par des bornes », qu’il s’agit, en fait,  de leur confier des fonctions plus qualifiées, de passer du « conseil en séjour » au « marketing territorial « et de promouvoir des postes  d’animateurs numériques du territoire.

Réseaux sociaux et storytelling

En vedette également l’utilisation des réseaux sociaux. Une community manager anime la « marque » à Biscarosse et les messages Twitter  remontent sur les écrans d el’Office du Tourisme Médoc. La présence sur les réseaux sociaux est d’ailleurs choisie par de nombreux organismes collectivités qui la combinent souvent avec de la communication événementielle . Ainsi Atout France et son Tour de France de 23  plages françaises (1), organisé en collaboration le réseau social MonNuage, fréquenté par 2millions d’utilisateurs par mois en Europe. L’opération menée de 30 mars au 11 mai a été relayée sur les comptes Facebook et Twitter de MonNuage  et sur le site http://www.20minutes.fr. Ou bien encore Les Sables d’Olonne, avec « les Sables Inside », un concours sur Internet  pour gagner un week end en immersion aux Sables d’Olonne avec des « professionnels passionnés(un animalier, un marin pêcheur, un viticulteur, un croupier, un saunier, un skipper ou une animatrice nature). C’est vrai qu’aux Sables d’Olonne, les idées fusent chaque année : les « creamers » l’an dernier chargés d’enduire de crème solaire les vacanciers sur la plage, ou « l’Aspirateur à nuages » en 2009, qui prévoyait le remboursement des séjours  en cas de mauvais temps !
La Haute-Loire, elle, continue de développer son réseau social « la Tribu Respirando », consacré aux activités de plein air, inspiré par le storytelling, relayé par des « ambassadeurs »  et parrainé  par un international de rugby, Julien Malzieu, originaire du département.  La Corrèze a eu une idée similaire. L’Agence de  développement touristique de la Corrèze a recruté des ambassadeurs, chargés d’alimenter un blog,  sur sa page Facebook ;

Dans cet univers numérique, quelques initiatives événementielles se distinguent : l’Office de Tourisme de Vienne , en Autriche , qui a transformel a station de métro Saint-Lazare en « musée éphémère ». Et toujours dans les gares parisiennes  (métro et RER), la campagne d’affichage du Comité départemental du tourisme de la Marne, consacrée à la Marne et à ces « instants inoubliables qui font les grands bonheurs ».  Ou bien encore l’Orne en Normandie  qui s’est affiché  sur une collection de Cart’Com  et des sacs à pain, à Paris et en Ile-de-France.

Du côté de la Bourgogne, c’est la provocation douce, sur des affiches, des bannières publicitaires, des annonces presse, un site internet, une page Facebook et une newsletter qui a été choisie, pour affirmer qu’il n’y a pas de touristes, mais des « amoureux, des aventuriers, des randonneurs , des gourmets, des cyclistes, des mélomanes, des oenophiles, des marins d’eau douce… »
La Bretagne, enfin, s’est exposée « corps et âme » à Paris . Les Franciliens représentent en effet 20% de la clientèle touristique de la Bretagne. C’était, sans doute, une bonne occasion de faire oublier la campagne d’affichage,  très provocatrice  et si décriée  par les Bretons,  de France Nature Environnement. L’enfant baignant dans les algues vertes  à proximité d’élevages porcins  polluants en avait ému plus d’un. Les élus et les responsables du tourisme s’étaient indignés avec force. Quelques semaines plus tard, la Bretagne  et son Comité régional du tourisme ont voulu jouer sur l’humain, sur les activités régionales, et non plus sur « les paysages enchanteurs ». Pour cette opération de 250 000 euros, la campagne s’est déclinée par voie d’affiches, mais aussi sur le site ma-bretagne.fr avec un jeu concours.

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