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#Immobilier : des pistes pour adapter le logement des seniors @pap_fr
Source : pap.fr

Le conseil national de la Silver économie propose d’adapter le logement des seniors à leur vieillissement. La création d’un diagnostic de l’habitat et d’un label identifiant les entreprises spécialisées figurent dans le rapport qui sera remis à la ministre de la Santé Agnès Buzin.
Rester le plus longtemps possible dans son logement. C’est bien souvent le souhait de la plupart des personnes âgées. Mais le vieillissement change la donne, l’escalier devient plus fatigant à monter, l’utilisation de la salle de bains plus difficile. Dès lors, une chambre dans une maison de retraite ou une place dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) pour ceux qui en trouvent une devient la seule alternative…lire la suite…
Immobilier : nouvelles tensions sur le marché du neuf @pap_fr
Source : PAP

Malgré une forte demande et des taux au plus bas, les ventes de logements neufs reculent légèrement au deuxième trimestre 2019. En cause : les difficultés des promoteurs à renouveler l’offre. Une tendance qui pourrait bien profiter au marché de l’ancien.
32.781 logements neufs ont été réservés par les particuliers au deuxième trimestre 2019 révèle la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) dans une étude parue le 12 septembre 2019. C’est une baisse de 7,7% par rapport à la même période de 2018. Sur les six premiers mois de cette année, le recul est plus faible par rapport au premier semestre 2018, puisqu’il se limite à 2,3%…En savoir plus
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Immobilier : le marché haut de gamme des derniers étages @pap_fr
Source : PAP
Les logements avec vue sur les toits se négocient jusqu’à 20 % plus cher que les rez-de-chaussée. Une surcote qui séduit des acquéreurs conscients de la confidentialité de ce marché haut de gamme.

La multiplication des rooftops ces dernières années aurait-elle accéléré la tendance ? Pour de nombreux observateurs, la réponse est sans équivoque. La fréquentation des toits terrasses transformés en bar ou restaurant a indéniablement boosté la demande. Les logements en hauteur sont devenus la perle rare après laquelle courent les Français. Mais à biens d’exception, prix d’exception. Tutoyer les cieux qu’ils soient parisiens ou non, reste l’apanage de quelques privilégiés au portefeuille plutôt garni. Un dernier étage se négocie en effet en moyenne 15 à 19 % de plus qu’un rez-de-chaussée selon les Notaires du Grand Paris.
Des biens rares. A Paris, 10 % seulement des appartements à vendre sont situés au dernier étage. La rareté se paie cher dans la capitale et la concurrence est rude sur le marché premium. Loft, atelier d’artiste, penthouse ou balcon filant… La diversité des produits proposés ne parvient pas à satisfaire la fièvre acheteuse d’acquéreurs séduits par les atouts de ces biens d’exception. « Un dernier étage ce n’est pas de voisins au-dessus, c’est aussi plus de lumière, une vue imprenable, plus de calme et un sentiment de sécurité plus important », justifie un professionnel en charge de la réhabilitation architecturale d’un immeuble situé dans le VIe arrondissement où les étages supérieurs auront vu sur la Basilique du Sacré Cœur.
Des atouts qui font monter les prix. Attention, ces biens d’exception sortent de l’analyse classique du marché immobilier. Le dernier étage vaut toujours plus en raison de sa situation privilégiée et dominante. « A l’intérieur du même immeuble, à la même adresse, il peut y avoir des écarts de prix de 15 à 25 % du mètre carré entre le rez-de-chaussée sur cour sombre et le dernier étage avec une grande terrasse et une vue dégagée », relèvent les Notaires du Grand Paris. La province n’est pas épargnée par le phénomène. « Dans les grandes agglomérations, les immeubles sont généralement moins hauts. En moyenne quatre étages. Malgré cette différence, l’écart…LIRE LA SUITE…
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Immobilier : rénovation thermique obligatoire pour les bailleurs ? @pap_fr
Source : PAP
Le Sénat et l’Assemblée nationale ont adopté le projet loi Energie Climat. A terme, en 2028, les bailleurs n’ayant pas réalisé de travaux de rénovation énergétiques seront sanctionnés.
Le Sénat et l’Assemblée nationale sont tombés d’accord sur le projet de loi Energie Climat. Au-delà des grands principes généraux visant à réduire l’emprunte carbone et à diminuer de 30 % la consommation d’énergies fossiles à l’horizon 2030, la loi cherche aussi à éradiquer les fameuses passoires thermiques, inconfortables hiver comme été et surtout énergivores (classées F et G dans le diagnostic de performance énergétique). La France en compte 7,2 millions dont 3,1 millions sont louées par des bailleurs privés, soit 43 % du parc locatif privé. Vaste chantier en perspective.
Interdiction à la location des passoires énergétiques. Concrètement, les propriétaires bailleurs ne pourront plus louer des logements classés F et G. Ils devront être classés a minima E, soit une consommation énergétique inférieure à 331 kW/m2/an. Le tryptique information, obligation, sanction est désormais entériné.
Des loyers gelés dans un premier temps. Comme prévu initialement, la loi s’appliquera à partir de 2021. A cette date un propriétaire ne pourra plus augmenter le loyer lors d’une relocation si son bien est classé F ou G. Le diagnostic de performance énergétique (DPE) fera foi. Les annonces de vente ou de location seront tenues d’indiquer le montant prévisionnel des dépenses d’énergie. Cette disposition s’appliquera sur tout le territoire, y compris dans les zones tendues.
Un audit énergétique dans un second temps. A partir de 2022, le bailleur devra procéder à un audit énergétique et devra informer son locataire ou son acquéreur en cas de vente du coût énergétique du logement.
Des sanctions en 2028. A partir de 2028, si les bailleurs …LIRE LA SUITE…