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S’investir dans la croissance des PME technologiques @caissedesdepots @Bpifrance
Source : Caisse des Dépôts

Soutenir la croissance des entreprises françaises du secteur technologique afin qu’elles deviennent des champions de rang mondial : c’est l’objectif du fonds d’investissement de 100 M€ lancé par la Caisse des Dépôts, du nouvel indice Euronext Tech Croissance, et de la mobilisation d’1 Md€ sur 3 ans par Bpifrance.
Premier investisseur institutionnel dans les PME cotées françaises, la Caisse des Dépôts a décidé d’investir via sa filiale de gestion dédiée aux PME cotées, CDC Croissance, 100 M€ dès le mois de juillet, dans les petites valeurs de la Tech cotées sur Euronext Paris et dont la capitalisation est inférieure à 1 Md€.
Reconversion urbaine : 8 500 m2 de bureaux inaugurés au cœur de Strasbourg Métropole @caissedesdepots
Source : Caisse des Dépôts
L’ensemble de bureaux Racine a été inauguré le 27 août au cœur de Strasbourg Métropole. Il s’agit de la 1ère opération réalisée à Strasbourg dans le cadre de la convention nationale entre le fonds de co-investissement Anru et la Banque des Territoires en faveur des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

Cette opération s’inscrit dans le cadre de l’action de la Banque des Territoires en faveur de territoires plus attractifs et inclusifs.
Les 8 500 m² de bureaux neufs se répartissent sur 3 bâtiments. Implantés dans le quartier de Hautepierre, ils se situent au pied du tramway, face à l’hôpital et à 8 minutes en voiture de la gare. L’ensemble a été développé par le Groupe Duval…Lire la suite..
Bâtiment : Une activité plus soutenue que prévue @caissedesdepots @BanqueDesTerr
Source : Banque des territoires

Ce que l’on retiendra de la conférence de rentrée de la Fédération française du bâtiment : l’activité du secteur est nettement meilleure que prévue, sauf sur la rénovation. La FFB estime désormais que l’année devrait se conclure sur environ 400.000 logements mis en chantier, soit une production quasi stable (+0,2%) alors qu’était envisagée une baisse de 4,5%).
Au moment où les discours pessimistes – et quelque peu exagérés au regard des chiffres – se multipliaient sur le ralentissement de la construction de logements, la surprise est venue de la traditionnelle conférence de rentrée de la Fédération française du bâtiment, le 10 septembre. Alors que la FFB est rarement la dernière à tirer la sonnette d’alarme sur la situation du secteur, son président, Jacques Chanut, a reconnu, dans son discours de présentation, que « malgré les turbulences du commerce mondial et la marche hésitante vers le Brexit, malgré le sévère rabotage des dispositifs en faveur du logement depuis 2018 et la crise des gilets jaunes, force est de constater que le secteur connait un été indien ».
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Revitaliser des centres-villes plutôt que construire des maisons individuelles @BanqueDesTerr @caissedesdepots @J_Denormandie

Source : Banque des Territoires
Le ministre du Logement, Julien Denormandie, estime que la priorité doit être donnée à la revitalisation des centres-villes.
« Diriger c’est faire des choix, donc on a fait des choix. […] La conséquence de ça, c’est d’assumer que la maison individuelle en périphérie, son chiffre de construction diminue. […] Moi, je l’assume. » Intervenant, le 29 août, sur Radio Immo lors du REF (Rassemblement des entreprises de France, ex journées d’été du Medef), Julien Denormandie a été très clair. Le ministre chargé de la Ville et du Logement revendique en effet la priorité donnée à la revitalisation des centres des villes moyennes, au détriment des dispositifs favorisant la construction de logements individuels.
Au 30 juin 2019, les mises en chantier de logements individuels purs – autrement dit les « maisons individuelles » – avaient reculé de 7,5% sur les douze derniers mois, alors que les logements collectifs (-4,0%) et les logements individuels groupés (-1,4%) résistaient mieux sur la même période (voir notre article ci-dessous du 30 juillet 2019). Une situation qui inquiète les constructeurs (voir notre article ci-dessous du 27 février 2019). Pour ces derniers, qui n’hésitent pas à évoquer le risque d’un effondrement du marché, la raison tient avant tout à la suppression du PTZ (prêt à taux zéro) dans les zones les moins tendues en matière de logement (zones B2 et C). Or celles-ci concentrent une bonne part des constructions de maisons individuelles, notamment en zones rurales et en périphéries urbaines. Lire la suite…
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