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L’Aorif et l’Unafo dévoilent les résultats de leur étude sur la performance énergétique des résidences sociales @AORIF_ @UnafoUnion

Depuis plusieurs années, l’Aorif et l’Unafo se sont engagées dans une démarche commune, visant à améliorer et à renforcer les relations partenariales entre leurs membres. Les deux réseaux professionnels ont étudié ensemble, dans le cadre de cette démarche, la question de la performance énergétique des bâtiments, construits ou réhabilités par les bailleurs sociaux adhérents de l’Aorif, et gérés par les associations adhérentes de l’Unafo, avec l’ambition d’aider leurs adhérents à imaginer de nouveaux processus et de nouveaux outils communs.

Les bailleurs sociaux et les gestionnaires de logements accompagnés font le constat récurrent d’un écart entre une baisse des consommations énergétiques, dû à la performance des bâtiments construits ou réhabilités, et des coûts d’entretien et de maintenance qui ont, eux, tendance à augmenter.

L’Aorif et l’Unafo ont souhaité étudier objectivement ce phénomène en partant de l’analyse de sept résidences sociales situées en Ile-de-France. Dans la continuité de ce travail, les deux réseaux ont organisé ce 11 septembre 2018, en partenariat avec Ekopolis, une journée professionnelle afin de partager les résultats de l’étude et de donner le cap à suivre pour garantir une amélioration durable de la performance énergétique au quotidien. Au lendemain, de la Marche pour le Climat et à la veille de l’annonce du Plan Pauvreté, cette journée nous rappelle que l’enjeu n’est pas seulement technique mais que propriétaires comme gestionnaires doivent répondre ensemble au défi de la performance énergétique : un défi environnemental, économique et social.

Gironde Habitat : finalisation d’un vaste projet d’aménagement

www.gironde-habitat.fr

Christian Soubie, maire de Tresses, Martine Jardiné, présidente de Gironde Habitat et Sigrid Monnier, directrice générale de Gironde Habitat inaugurent les résidences Du Moulin 1, 2, 3 et Clos Mondaut le mardi 11 septembre 2018, à 18h. Cette opération comprend 70 logements et 58 lots de terrains à bâtir.

Un projet mixte adapté aux besoins locaux

Il s’agit de la finalisation d’un vaste projet d’aménagement livré en 3 tranches de 2015 à 2017 et comprenant 56 logements individuels, 14 logements semi-collectifs et 58 lots de terrains à bâtir.
Les logements ont été construits en suivant le label Habitat & Environnement millésime RT 2012 pour permettre aux résidents de réaliser d’importantes économies de charges. Certains logements sont également équipés de panneaux photovoltaïques. Avec la création de multiples espaces verts, le maintien de la continuité de la trame paysagère de l’ensemble et l’adaptation du projet à la topographie locale, c’est un soin exigeant qui a été apporté à la qualité du cadre de vie des nouveaux habitants. La reprise des codes architecturaux traditionnels locaux permet de garantir l’harmonie visuelle des différents espaces.

Un partenariat durable et fort ….   > Télécharger le communiqué de presse

« Nous sommes Paris : les visages du logement social » @paris

   Source : PARIS

Aujourd’hui à Paris, un logement sur cinq est un logement social. A l’horizon 2025, un logement parisien sur quatre appartiendra à cette catégorie. Une exposition photographique « Nous sommes Paris : les visages du logement social » présente, sur les grilles de l’Hôtel de Ville rue de Rivoli, 22 portraits de ces habitants, du 27 août au 15 septembre.

Plus de 450.000 Parisiennes et Parisiens vivent dans la capitale grâce au logement social, qui leur permet de bénéficier de loyers plus modérés que ceux du parc privé. Sans cela, ils ne pourraient pas résider à Paris.

Familles ou célibataires, fonctionnaires ou salariés du secteur privé, personnes en recherche d’emploi ou étudiants, ces habitants à faibles revenus ou de classes moyennes contribuent à faire de Paris une ville qui vit, à la fois diverse, généreuse, dynamique et créative.

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Mise en place des services de téléassistance à disposition des locataires @PlurialNovilia @ActionLogement

   Source : Plurial Novilia 

Jeudi 6 septembre 2018, Présence Verte et Plurial Novilia groupe Action Logement ont signé une convention de partenariat afin de mettre à disposition des locataires Plurial Novilia les services de téléassistance Présence Verte. Ce partenariat permettra de faciliter le maintien à domicile et de développer du lien social au sein du parc immobilier de Plurial Novilia.

Pourquoi mettre en place un service de téléassistance ?

Certaines catégories de la population sont plus particulièrement sujettes à d’importants risques physiques, chutes ou malaises : personnes âgées, personnes handicapées ou à mobilité réduite, personnes atteintes de maladies invalidantes. Par ailleurs, l’isolement qui touche plus souvent ces personnes aggrave encore ces formes de fragilité.

Par son action immédiate, la téléassistance est sans nul doute la forme de sécurité la plus appropriée aux besoins des personnes isolées. Mais le secours n’est pas la seule préoccupation à laquelle Présence Verte permet de répondre. La téléassistance a aussi pour objectifs : – de permettre le maintien des personnes à leur domicile, notamment pour celles en perte d’autonomie; – de rétablir un lien social pour rompre l’isolement; – d’assurer une présence humaine et de proximité aux personnes isolées/fragiles.

La « téléassistance aux personnes » de Présence Verte exerce ainsi une action complète alliant sécurité, proximité, convivialité, secours, information et soutien psychologique. Plurial Novilia souhaite mettre ce service à la disposition de l’ensemble de ses clients afin de faciliter leur maintien à domicile au sein de son parc immobilier et développer du lien social, à travers la constitution du réseau de solidarité.

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Les politiques d’attribution et mixité sociale @UnionHlm #LOGEMENT

Source : Union Sociale pour l’Habitat

« Les politiques de peuplement et d’attribution représentent un enjeu fort pour l’USH et les organismes et sont liées à une injonction à la mixité sociale. Cette dernière suscite un débat controversé, mais dans lequel l’ensemble du Mouvement Hlm a une position claire : œuvrer en faveur de la diversité. » En ouvrant cette journée, Juliette Furet, responsable du département des politiques sociales à l’USH, a d’emblée évoqué les problématiques qui accompagnent les politiques d’attribution : tensions entre droit au logement et mixité sociale, tendance à l’entre-soi, manque de logements et d’accompagnement adaptés hors QPV et recomposition institutionnelle en cours avec la montée en puissance des intercommunalités. Elle a posé une question qui va interpeller les chercheurs : « Les politiques d’attribution sont-elles le bon levier pour créer de la mixité ou faut-il imaginer autre chose ? »

Une recherche centrée sur le pouvoir intercommunal

La responsable du projet de recherche, Valérie Sala-Pala, professeure de Science politique à l’université Jean Monet à Saint-Étienne, a exposé les objectifs : « la recherche vise à comprendre dans quelle mesure les politiques de peuplement et d’attribution sont capables de produire de la justice sociale et spatiale. » Dans cette perspective, la démarche s’appuie sur trois partis pris : focalisation sur le logement social, articulation des politiques d’attribution et de production de logements sociaux et analyse de la dimension intercommunale de ces politiques. Elle a aussi rappelé que les questionnements et le cadre législatif des politiques de mixité sont assez anciens. Depuis la loi Besson de 1990, plusieurs autres textes sont venues soutenir la mixité par la production de logements telles que les lois SRU en 2000 ou ALUR en 2014. D’autres visent directement les attributions, telles que le Pacte de relance pour la ville en 1996 ou, très récemment, la loi Égalité et Citoyenneté. « Les politiques de peuplement et d’attribution sont confrontées à des recompositions majeures du rôle des acteurs et à une reconnaissance renforcée des enjeux de peuplement dans un contexte de précarisation accrue des ménages du parc Hlm », poursuit-elle.
Une question centrale émerge, quel sera le rôle des intercommunalités dans ces changements ? Pour y répondre, Rémi Dormois, coresponsable du projet de recherche et chercheur associé en Science politique au Laboratoire Environnement, Villes, Sociétés, entend approfondir la compréhension des mécanismes de gouvernance intercommunale de ces politiques. « L’idée est d’aller voir la masse critique des intercommunalités de taille intermédiaire encore peu avancées sur les politiques de peuplement et d’attribution qu’elles « sous-traitent » souvent aux bailleurs sociaux. Il s’agit également de mieux comprendre la contradiction entre droit au logement et mixité ainsi que le repositionnement des maires et des organismes Hlm par rapport aux établissements publics de coopération intercommunale. » Le point d’entrée de la recherche se situe clairement au niveau des territoires et des acteurs locaux. Rémi Dormois a aussi quelque peu réfréné les enthousiasmes en appelant à la « prudence sur le fait que la recherche en cours pourra mesurer des effets sur d’éventuelles recompositions sociales à l’échelle des segments du parc ».

Une équipe pluridisciplinaire, des territoires représentatifs

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