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Regain d’activité sur le marché de l’immobilier ! Baromètre MeilleursAgents @meilleursagents

 

 

 113ème édition du Baromètre MeilleursAgents d’analyse du marché immobilier résidentiel à Paris, en Île-de-France et dans les dix et cinquante plus grandes villes de France.

Les points clés

  • Le retour des beaux jours s’accompagne traditionnellement d’une hausse du volume des transactions. Si le printemps est loin d’être terminé, cet effet saisonnier se fait déjà̀ sentir avec des ventes plus rapides et des acquéreurs plus nombreux.
  • À quelques mois du retour de l’encadrement des loyers parisiens, le prix des petites surfaces continue à flamber (+6,5% en un an). Faut-il redouter un retournement de marché ?
  • Calme depuis plusieurs années, le marché́ des cinquante plus grandes villes de province connaît un léger rebond (+0,4% en un mois).

Les chiffres clés

  • Moyenne des prix au m2 en France : 2 546€ (+0,3%)
  • Moyenne des prix au m2 à Paris : 9 611€ (+0,8%)
    • Lyon, Rennes : +1,5%
    • Bordeaux : -0,7%

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Le marché immobilier risque-t-il de se retourner ? @SeLoger

Source : Se Loger

Bien que tous les indicateurs soient au vert, un retournement du marché immobilier pourrait arriver prochainement… C’est une éventualité qu’évoque Thomas Grjebine du Centre d’Études Prospectives et d’Informations Internationales (CEPII). 

Plus d’explications dans la vidéo ci-dessous…

Qu’est-ce qui vous fait dire que le marché immobilier pourrait se retourner ?
Thomas Grjebine : Plusieurs signes devraient nous alerter. Tout d’abord, on constate que le secteur de la construction est en train de s’essouffler. En 2018, le nombre de permis de construire ayant été délivrés a diminué de 7,6 % par rapport à 2017. Or, les indicateurs que sont la construction, le volume de transactions et le prix de l’immobilier sont historiquement très corrélés entre eux, la chute de l’un entraînant celle des autres. En clair, la baisse de la construction s’accompagne le plus souvent d’une baisse des prix. Par ailleurs, de plus en plus de ménages jugent les prix « irréalistes », ce qui peut les conduire à retarder leurs projets immobiliers, voire à y renoncer. »

Plus d’infos ici…

Lire aussi :

Le marché reste dynamique malgré un coup de frein dans quelques métropoles @meilleursagents

 

 Le baromètre national des prix de l’immobilier de MeilleursAgents au 1er avril 2019.

Les points clés

  • Orientés à la hausse depuis le début de l’année, les prix à Paris intra-muros ont enregistré une forte poussée en mars (+0,8%) au point d’atteindre les 9 500€/m2. Si la menace des 10 000€/m2 plane plus que jamais, la marche à franchir nous apparaît néanmoins trop grande pour 2019.
  • Malgré une bonne tenue du marché dans les dix plus grandes villes de France (+0,3% au cours du mois écoulé), certaines d’entre elles semblent aujourd’hui s’essouffler. Sans parler encore de retournement, les acheteurs ont désormais la main à Marseille, Nice, Montpellier et surtout Bordeaux.
  • Avec 10,3% d’augmentation en un an, Nantes explose. Demande au top, délais de transactions qui raccourcissent, prix qui flambent… la préfecture de Loire-Atlantique serait-elle le nouveau Bordeaux ?

Les chiffres clés

  • Moyenne des prix au m2 en France : 2 538€ (+0,1%)
  • Moyenne des prix au m2 à Paris : 9 536€ (+0,8%)
    • Nantes : +1,4%
    • Bordeaux, Montpellier et Nice : -0,3%

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Immobilier à Toulouse : dans quel quartier investir ? @SeLoger

Source : Se Loger

Le prix de l’immobilier à Toulouse reste très raisonnable pour une métropole.  Cependant, l’extension de la ligne LGV Bordeaux-Toulouse pourrait faire grimper les prix… Quels sont les prix de l’immobilier à Toulouse ? Comment va évoluer le marché ? Dans quel quartier les prix sont-ils les plus attractifs ? 

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Un prix immobilier qui reste raisonnable pour une métropole
Selon les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger, le prix immobilier à Toulouse atteint 3 143 € du m². Pour une ville de la taille de Toulouse (475 438 habitants en 2016), cela reste très correct. À titre de comparaison, comptez 4 844 € pour acheter à Bordeaux, 3 258 € à Lille, 4 717 € à Lyon, 3 300 € à Nantes, 4 219 € à Nice et 10 034 € à Paris. Seules Marseille (2 977 €/m²) et Montpellier (3 009 €) font mieux ou plus exactement, moins cher

Faut-il s’attendre à un effet LGV comme à Bordeaux ?
Toutes proportions gardées, le niveau des prix signés (3 143 €) et la hausse annuelle (+ 1,5 %), dont ils font l’objet, restent relativement modérés. Mais le prolongement de la ligne LGV jusqu’à Bordeaux que le gouvernement a validé en septembre dernier pourrait bien changer la donne

Dans quels quartiers investir à Toulouse ?
Si Toulouse est une ville où il fait bon vivre, c’est également une ville où il fait bon investir dans la pierre locative. Dans le cadre d’un investissement patrimonial, c’est-à-dire de l’acquisition – en vue de le louer – d’un bien dont la revente sera rapide, le centre-ville ancien est un secteur à privilégier

Plus d’informations sur l’immobilier à Toulouse…

Retrouvez aussi :

Immobilier : a quoi s’attendre pour le printemps 2019 ? @meilleursagents

Source : MeilleursAgents

MeilleursAgents a publié le 111e baromètre national des prix de l’immobilier au 1er mars 2019, recensant les prix de l’immobilier à Paris, et dans les dix et cinquante plus grandes villes de France. Quelles sont les évolutions ? Dans quelle ville les prix ont-ils le plus augmenté ? 

Carte des Prix IPI France MeilleursAgents mars 2019

Quelques chiffres clés : 
– Avec une augmentation de +0,3%, les prix restent orientés à la hausse dans les 50 plus grandes villes de France
– Notre observatoire laisse entrevoir un ralentissement de l’offre avec moins de nouveaux mandats signés mais le maintien d’une demande assez soutenue en particulier dans les grandes métropoles régionales.
– La stabilité des taux très bas et la légère amélioration de l’environnement économique encouragent toujours les ménages solvables à entrer sur le marché immobilier.
– Avec la moitié des arrondissements à plus de 10 000€, les ménages parisiens sont repoussés au-delà du périphérique. Ce phénomène de report joue sur les prix de la petite couronne et particulièrement, ceux de la Seine-Saint-Denis qui voit ses prix augmenter plus vite que ceux de Paris sur les douze derniers mois.

Contrastes et fractures
Les prix sont restés stables en moyenne en France en février. S’ils ont augmenté de +0,2% à Paris (9 463€/m2), ils ont surtout progressé de +0,3% dans les principales métropoles régionales. Des hausses compensées au plan national par la baisse de – 0,2% dans les zones rurales.
La fracture entre ces deux France s’affirme encore un peu plus sur un marché qui reste dynamique dans les zones économiquement fortes et apathique ailleurs. La corrélation entre la vigueur du marché immobilier local et l’évolution du marché du travail est quasiment parfaite.

Plus de précisions ici…

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