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Vilogia vend sept « maisons à 1 euro » à Roubaix @VilogiaGroupe

Maintenant que les attributions ont été faites, Philippe Rémignon, Président du Directoire de Vilogia, a pu signer, lundi 10 décembre, la vente la Fabrique des Quartiers de 7 premiers logements à l’euro symbolique. Cette cession s’inscrit dans le cadre du dispositif expérimental « Maisons à 1 € avec travaux » lancé par la Ville de Roubaix.

Une première en France !
Approuvé par le Conseil Municipal de Roubaix en octobre 2017, le projet « Maisons à 1 euro avec travaux » est entré dans sa phase opérationnelle en mars dernier, après l’achèvement des études de faisabilité juridique et technique. Dix-sept maisons appartenant à des partenaires institutionnels (Établissement public foncier Nord-Pas-de-Calais, MEL, Ville, bailleur social) ont ainsi été proposées à la vente ; parmi elles, 7 appartenaient à Vilogia. L’appel à candidatures est maintenant clos et treize maisons ont pu être attribuées.
Un modèle économique innovant
La cession de ces maisons s’effectue par l’intermédiaire de la Fabrique des Quartiers, Société Publique Locale d’Aménagement (SPLA) qui met en œuvre le dispositif. Dans le cas de Vilogia – unique bailleur social associé à la démarche – la MEL et la DDTM ont accepté que ces logements soient déconventionnés, afin qu’ils ne soient plus soumis à la règlementation des logements sociaux.

Plan Logement d’abord : des actions concrètes déjà en place @Min_Territoires @j_gourault ‏ @J_Denormandie

Source : Cohesion-territoires.gouv

Jacqueline GOURAULT et Julien DENORMANDIE ont réuni jeudi 13 décembre les élus des 23 territoires engagés dans la mise en œuvre accélérée du plan Logement d’abord. Ils ont dressé un état d’avancement du Logement d’abord et rappelé la nécessité de la mobilisation conjointe de l’État, des collectivités territoriales et des associations dans la lutte contre le sans-abrisme. Chaque territoire a pu présenter des actions concrètes déjà mises en place.

Hebergement d’urgence : 150 000 places cet hiver

Le Logement d’abord constitue une approche de long terme visant l’accès au logement des personnes sans domicile et est complémentaire des actions de mise à l’abri immédiate des sans-abri dans l’hébergement d’urgence, actions qui restent indispensables, en particulier en cette période hivernale.

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Réduire la sous-occupation, un enjeu de taille @_GEFILS

> Source :   « Gazette des Communes »

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Réduire la sous-occupation, un enjeu de taille
La crise du logement est de plus en plus prégnante. Plus de 2 millions de personnes sont en attente d’un logement social. Et les grands appartements se font rares. Les familles nom-breuses ont du mal à obtenir un habitat adapté, surtout en zone tendue. En parallèle, des personnes âgées sont en sous-occupation. Les bailleurs sociaux tentent de convaincre les lo-cataires en sous-occupation de changer pour un studio ou un T2, ou ils favorisent les échanges directs entre locataires.
Les personnes âgées vivant seules – des femmes, le plus souvent – dans le T4 ou le T5 familial où les enfants ont grandi sont légion. Autant de cas typiques de « sous-occupation » de loge-ment social, alors que des ménages avec des enfants en bas âge cherchent à se loger. Mais on ne peut mettre les gens dehors, ni les forcer à changer. Or les résistances sont nom-breuses. Pourtant, plus de 2 millions de personnes sont en attente d’un logement social.
Dans la métropole lyonnaise, on compte plus de 6 000 demandeurs de logement social ; dont 40 % se trouvent déjà dans le parc social et sollicitent une mutation pour un appartement plus grand. Ainsi, Est métropole Habitat, l’office public de l’est de l’agglo lyonnaise (16 000 lo-gements), a décidé de travailler sur la « mutation suscitée ». Il a confié cette mission au GIE Est Habitat, qui regroupe quatre bailleurs de la région afin de mutualiser les travaux sur des questions transversales. Parmi celles-ci : la mobilité résidentielle.
« Nous allons nous atteler à la sous-occupation et à la mutation suscitée pour les personnes âgées qui vivent dans un logement trop grand, ce qui représente un enjeu important à Est métropole Habitat», détaille Etienne Fabris, responsable de la mobilité résidentielle au GIE Est Habitat. Chez ce bailleur, qui rayonne autour de Villeurbanne, sur 5 590 ménages comprenant au moins une personne de plus de 55 ans, 734 étaient en situation de sous-oc-cupation théorique, selon des données recueillies fin 2016 – soit 13 %.

En rez-de-chaussée
« Nous avons répondu à un appel à projets sur le vieillissement lancé par la métropole de Lyon, ce qui nous permet de financer un poste de chargée de relogement, poursuit Etienne Fabris. Sa mission : identifier les ménages dont les demandes d’adaptation du loge-ment au vieillissement n’ont pas été acceptées. » Par exemple, installer une barre de douche dans un appartement au quatrième étage dépourvu d’ascenseur n’est pas pertinent car, à terme, la personne devra vivre en rez-de-chaussée ou dans un immeuble avec ascenseur.
« La chargée de relogement va aussi repérer des situations telles que les séparations, le dé-part des enfants, la retraite… Et ce, afin de suggérer des mutations dans des appartements plus petits », souligne Etienne Fabris. La tâche n’est pas simple en raison d’un différentiel de loyer quasi systématique ; le loyer d’un T4 occupé depuis trente ans, qui n’a pas augmenté puisqu’il n’y a pas eu de relocation, est le plus souvent inférieur à celui d’un T2 neuf, qui est au prix du marché !
De quoi dissuader les mutations. « Aussi, le loyer du nouvel appartement où la personne va emménager est-il recalculé au prix du mètre carré de l’ancien logement », précise Etienne Fa-bris. Les bailleurs ne risquent-ils pas d’y perdre ? « Non, car le loyer de l’ancien appartement est, lui, mis au prix actuel du mètre carré, comme s’il avait augmenté au fil des années. »

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Pourquoi les collectivités doivent-elles continuer à garantir les organismes HLM ? @_GEFILS

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Alors que la Loi ELAN impose un nouveau cadre financier aux bailleurs sociaux qui devrait conduire le secteur à se repenser en terme de métier(s), de taille (certains vont disparaitre, d’autres fusionner, d’autres se regrouper) ou encore de vision stratégique, la question des garanties d’emprunt est sur toutes les lèvres.
Alors que les collectivités locales rechignent de plus en plus à la donner, les banques la réclament… plus que jamais !
Il parait donc nécessaire, voire indispensable de faire un point sur le sens et les objectifs des garanties qui doivent être données par les collectivités locales en distinguant celles qui portent sur les bailleurs sociaux (quelle que soit leur forme juridique) de celles qui concernent d’autres compétences « externalisées » exercées de plus en plus souvent par une entreprise publique locale (SEM, SEMOP ou SPL).
En matière de logement social, nous aurons à distinguer les garanties demandées par la Caisse des Dépôts (CDC) au profit des bailleurs sociaux, de celles demandées par les autres établissements de crédits.
Pourquoi les collectivités doivent-elles donner leur garantie à la CDC ?

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Lancement du nouvel organisme de foncier solidaire ORSOL (ORganisme Régional SOLidaire)

Crée par Rhône Saône Habitat, Savoisienne Habitat et Isère Habitat , le lancement officiel du nouvel organisme de foncier solidaire ORSOL (ORganisme Régional SOLidaire) a eu lieu vendredi dernier en présence du Président, Benoit TRACOL (DG de Rhône Saône Habitat) et des deux autres membres fondateurs : Cécile BELLOT (DG d’Isère Habitat) et Samuel RABILLARD (DG de Savoisienne Habitat).

L’objectif principal de ce nouveau dispositif est de récréer une offre d’accession sociale sécurisée durablement par un mécanisme de séparation du foncier et du bâti via le bail réel solidaire (BRS).

Un mécanisme innovant Introduit par la loi Alur de 2014, un OFS est une société privée à but non lucratif, agréée par l’état. Son objectif est de développer l’accession sociale sécurisée malgré l’envolée des prix du foncier et de l’immobilier sur certains territoires. Concernant ORSOL, il est ouvert à d’autres participations. Bailleurs sociaux, collectivités, promoteurs, aménageurs… chacun peut apporter sa contribution sous forme de capital ou de terrain.

Une accession responsable Ce dispositif reflète la philosophie de l’accession sociale sécurisée et des coopératives qui la portent. Nouer une relation de proximité grâce à un bail n’est pas si commun. C’est un contrat administratif tout autant qu’un contrat moral, un véritable engagement mutuel sur des valeurs de solidarité. Avec cet outil, les 3 partenaires disposent d’un outil puissant pour faire face à la montée des prix et à la raréfaction des terrains tout en cultivant l’esprit coopératif.

> Télécharger le communiqué de presse

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