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Standard & Poor’s confirme la note « AA » de la Ville de Lyon

Selon un communiqué de presse, Standard & Poor’s confirme les notes à long terme « AA » et à court terme « A-1+ » de la Ville de Lyon. La perspective reste positive.

Grâce à un fort taux d’épargne brute affiché en 2009-2010 (14,5% en moyenne), la Ville a pu autofinancer ses investissements et amorcer en 2010 un mouvement de désendettement se traduisant par une réduction de plus de 10% de son encours de dette, soit une baisse de 47 millions d’euros.

En 2011, ce désendettement devrait se poursuivre à la faveur d’investissements demeurant inférieurs à 100 millions d’euros et d’un taux d’épargne brut record qui, d’après nos estimations, pourrait atteindre 16% Lire la suite

S&P révise de stable à positive la perspective associée à la note long terme ‘AA-’ de la Ville de Boulogne-Billancourt

Selon un communiqué de presse, Standard & Poor’s confirme ce jour la note de référence à long terme ‘AA-’ et à court terme ‘A-1+’ de la Ville de Boulogne-Billancourt. La perspective est positive.

Dans le même temps, Standard & Poor’s confirme la note ‘A-1+’ du programme de billets de trésorerie de 125 millions d’euros.

La note « AA- » indique la très forte aptitude de la Ville à honorer ses engagements financiers.

Principales forces de la Ville de Boulogne-Billancourt:

*    le cadre institutionnel « prévisible et équilibré » des villes françaises
*    la gouvernance et la gestion financières «de qualité »
*    les bonnes performances budgétaires
*    la situation de liquidité « confortable »
*    le profil socio-économique très favorable
*    les marges de manœuvre importantes sur les recettes

Principales contraintes :

*    le taux d’endettement consolidé relativement élevé

Sondage: se loger, une difficulté majeure en Île-de-France

Face aux loyers record et aux difficultés d’accès au logement, les jeunes sont les plus touchés par la crise de l’immobilier qui frappe la région.

Trouver un logement – et le garder – est, pour une écrasante majorité de Franciliens, le gros point noir de la vie quotidienne dans leur région. Ils sont 89% à estimer « élevé » le prix des logements à la location là où ils vivent, selon un sondage réalisé en exclusivité pour le journal Île-de-France(*). Cette opinion présente des disparités significatives selon les départements : les Parisiens (71%) et les habitants des Hauts-de-Seine (74%) sont les plus nombreux à estimer les loyers « très élevés ». Ce ressenti est relativement moindre en Seine-Saint-Denis (44%) ou dans le Val-de-Marne (46%).

En 2010, selon l’Insee, le logement représentait 27% des dépenses mensuelles des Français en moyenne. Un chiffre proche de la limite tolérable avancée par les Franciliens interrogés, dont les trois quarts « estimeraient normal » de consacrer moins de 30% de leur budget à leur maison ou appartement…Lire l’article complet sur le portail de la Région

Télécharger les résultats du sondage (pdf-1.34 Mo)

Le Conseil Général des Hauts-de-Seine déploie sa flotte automobile électrique

Le déploiement de la flotte électrique continue donc au rythme prévu initialement : 52 véhicules en 2011 pour répondre à un objectif de 350 véhicules soit la moitié de la flotte totale.

Cette opération ambitieuse constitue un effort sans précédent et positionne le département en tête des collectivités engagées de façon aussi massive dans l’acquisition de véhicules électriques.

L’année 2010 a été consacrée à la passation des marchés d’acquisition de véhicules et de pose de bornes de recharge.
Les premiers véhicules électriques ont été intégrés dans la flotte départementale au début de l’année 2011.

Les enjeux

  • Un enjeu économique dans un secteur à haute technologie où les constructeurs européens, et plus particulièrement français, s’engagent aujourd’hui de façon décisive.
  • Un défi environnemental de taille: le parc automobile départemental, dans son actuelle configuration, est à l’origine de l’émission annuelle de 1100 tonnes de CO2. L’opération achevée, ce seront environ 600 tonnes de gaz à effet de serre dont l’émission sera évitée chaque année.
  • Un intérêt budgétaire dans la mesure où les coûts de «carburant» et d’entretien sont, dans le cas des voitures électriques, respectivement inférieurs de 80% et 40% à ceux des engins thermiques, ce qui permet un retour sur le surcoût d’investissement en 6 années, tout en allégeant les charges de fonctionnement de la collectivité.

Les chiffres

  • 52 voitures en 2011 ; 102 en 2012 ; 102 en 2013 ; 94 en 2014, soit 350 au total
  • Une émission de 600 tonnes de CO2 évitée chaque année dès 2014
  • Zéro nuisance sonore
  • 500 000 € d’économie par an sur les postes d’entretien de véhicule et de consommation de carburant
  • 1,5 € le coût d’une recharge pour réaliser une moyenne de 120 km
  • 30 sites administratifs équipés de plus de 400 prises d’ici à 2014
  • Un coût de 7,9 M€

La notation de la Région Ile-de-France par Standard & Poor’s

Les notes de la Région reflètent le cadre institutionnel « prévisible et équilibré » des Régions françaises, la gouvernance et la gestion financières « très positives » de la Région Ile-de-France, l’endettement consolidé modéré, et l’économie francilienne riche, diversifiée et dynamique. Les notes tiennent également compte des bonnes performances budgétaires de la Région, de sa situation de liquidité « très positive » et d’engagements hors-bilan très faibles.

Les notes sont contraintes par la faible flexibilité de la Région sur ses recettes de fonctionnement, consécutive à la suppression par l’Etat de la taxe spéciale d’équipement (TSE), taxe additionnelle aux taxes professionnelles et foncières.

Standard & Poor’s considère que la gouvernance et la gestion financières de la Région ont un impact « très positif » sur les notes, grâce notamment à une capacité forte à maîtriser les dépenses, à des objectifs budgétaires clairs, à une planification financière de qualité et à une gestion de la dette et de la trésorerie prudente et optimisée. En 2010, malgré l’atonie des recettes de fonctionnement, la Région a réussi à stabiliser son taux d’épargne brute à un niveau élevé de 26,5%, et ce grâce au pilotage strict des dépenses de gestion…Télécharger la note de synthèse en PDF

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