Archives du blog

Les articles qu’il ne fallait pas louper cette semaine @Institutionnels

Y-a-t-il assez d’EHPAD en France ?

Le nombre de places en EHPAD permet-il de répondre à la demande ?

Une étude sur la situation des EHPAD en France vient d’être réalisée par le site logement-seniors.co . 

Malgré une offre importante de lits, le nombre de places disponibles en EHPAD reste aujourd’hui limité. D’après l’UFC Que choisir, le délai d’attente avoisine les 8 mois en moyenne pour les EHPAD publics.

La Fédé des ESH choisit 5 projets lauréats @federationESH

5 projets ont été lauréats :
ICF Habitat La Sablière et Osica sollicitent l’association Rêv’Elles pour qu’elle développe ses actions d’aide à l’orientation et l’insertion professionnelle des jeunes filles sur leurs territoires franciliens situés en Quartiers Prioritaires de la Politique de la Ville. Les actions, proposées sous forme d’ateliers collectifs et de séances de coaching individuelles sont basées sur l’apprentissage de soi, la définition de projets personnels, la découverte du monde professionnel pour aboutir à la mise en place d’un véritable projet professionnel.

Crédit Mutuel Arkéa annonce la création de sa propre fintech : « max »

Le Crédit Mutuel Arkéa innove en lançant « Max », sa propre Fintech dont l’objectif est d’apporter une réponse simple, impartiale et efficace aux besoins de la vie quotidienne des consommateurs, avec une offre qui va bien au-delà des services financiers.

Action Logement et Arkea Banque E&I : Convention de partenariat

Jacques Chanut, président du groupe Action Logement, Jean-Baptiste Dolci, vice-président, et Bertrand Blanpain, président du directoire d’ Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels ont signé, mardi 23 mai 2017, une convention de partenariat en faveur du logement des salariés et du développement économique des territoires.

Crèches : pourquoi l’Allemagne fait mieux que la France ?

L’Allemagne a longtemps accusé un important retard en matière de capacité d’accueil collectif des jeunes enfants (du moins en Allemagne de l’Ouest). Au début des années 2000, elle a pris conscience que ce déficit en places de crèche avait des conséquences négatives aussi bien sur le développement des enfants que sur les taux d’emploi féminin et de fécondité.

Adapter le commerce aux nouvelles réalités économiques @GDarmanin ‏ @TourcoingVille @cmarkea #ArkeaImmobilier

Tourcoing livre blanc Tourcoing, dans le département du Nord, est la quatrième ville de la région des Hauts-de-France et la troisième ville de la métropole derrière Lille et Roubaix, avec 96 000 habitants. La métropole lilloise a des caractéristiques particulières, avec une « ville-centre », Lille, et deux villes importantes à moins de 15 minutes : Roubaix et Tourcoing. Cette situation complexifie le dynamisme et l’attractivité commerciale de ces deux villes. Entretien avec Gérald Darmanin, maire de Tourcoing.

« Nous mettons sur la table tous les moyens dont nous disposons pour dynamiser l’économie de Tourcoing et le cadre de vie de ses habitants »

« Le commerce souffre parce que, partout en France, il y a une accumulation de difficultés, avec notamment l’arrivée d’Internet accompagnée des géants de la vente en ligne et le développement des zones commerciales à proximité immédiate des villes. Le fait que Tourcoing soit une ville périphérique accentue les difficultés. Les habitants ont tendance à faire leurs courses à Lille ou dans les grandes zones commerciales qui entourent Tourcoing. Un nouveau centre commercial a d’ailleurs été acté par la précédente municipalité. Il nous est difficile d’intervenir sur ces sujets, dans la mesure où il s’agit aussi de développement économique et de création d’emplois. Ce qu’il faut aujourd’hui, et je pense que cela est vrai pour la plupart des agglomérations, c’est de faire en sorte que le commerce de centre-ville soit différent de celui que l’on trouve dans les zones commerciales. C’est aussi l’objet de notre action forte de revitalisation du coeur de ville. Cela a un coût. Beaucoup d’économies ont pu être réalisées en travaillant sur les dépenses, sans pour cela toucher le service public. La ville a réussi à baisser le montant de la taxe d’habitation, régulièrement, jusqu’à –3 % pour l’année 2017. Notre gestion rigoureuse redonnera à Tourcoing les capacités d’investissement nécessaires à la redynamisation de l’activité et à l’amélioration du bien-être des Tourquennois », conclut Gérald Darmanin.

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Les petits commerces face aux défis concurrentiels, que faire ? @Paris @cmarkea @OliviaPolski #ArkeaImmobilier

Olivia livre blanc La maire de Paris attache une importance toute particulière à la question du commerce de proximité sachant qu’il ne représente pas seulement du développement économique et de l’emploi, mais aussi de la convivialité, du lien social et donc une certaine qualité de vie pour les habitants de la capitale. Entretien avec Olivia Polski, adjointe à la maire de Paris, chargée du Commerce, de l’Artisanat, des Professions libérales et indépendantes.

Valoriser l’artisanat et le commerce

« Nous travaillons beaucoup avec les fédérations professionnelles sur des événements : la fête du pain, le goût d’entreprendre… Nous allons mettre en place un label du “Fabriqué à Paris”, car beaucoup d’artisans produisent localement. Ce label ira de la créatrice de bijoux, au charcutier qui cuisine le fameux jambon de Paris, en passant par le boulanger, le traiteur et les artisans locaux… ».

Les camions de restauration (dits « food trucks ») ont aussi leur place avec de nouveaux lieux et la Ville va lancer un festival international de cuisine de rue. Le numérique n’est pas laissé de côté, avec l’action CoSto (Connected Stores), mise en place par la Semaest* et qui vise à faire se rencontrer notre écosystème de start-up, très dynamique à Paris, avec les commerçants et artisans. « Nous avons lancé également Smart Food, une pépinière de l’alimentation située dans le 20ème arrondissement qui incube des entreprises innovantes, avec l’idée de favoriser une certaine économie de proximité, dans la modernité et avec des valeurs de qualité. Nous accompagnons les entreprises durant trois ans ».

Olivia Polski souhaite également développer une plate-forme, “commerce.paris” pour mutualiser des utilitaires, trouver des maîtres d’apprentissage pour les jeunes, faire se rencontrer l’offre et la demande, etc. « De même, nous proposons le site locaux-bureaux.paris.fr, afin que les entrepreneurs puissent postuler pour des espaces de locaux commerciaux et bureaux ». La Ville travaille aussi sur ses marchés alimentaires de quartier, qui fonctionnent très bien le week-end, mais perdent des clients la semaine. « Nous expérimentons également un service de livraisons de paniers de nos marchés via une application mobile ».

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Rendre attractifs les sites commerciaux ! @AmiensMetropole @cmarkea @brigittefoure #ArkeaImmobilier

brigitte Ancienne préfecture de la région Picardie, Amiens, après Lille, est la commune la plus peuplée de la région Hauts-de-France avec environ 135 000 habitants. La communauté d’agglomération Amiens Métropole, créée en 2000, compte 33 communes et environ 180 000 habitants. La ville a su préserver un commerce de centre-ville dynamique, et Brigitte Fouré, maire d’Amiens, s’attache à développer son accessibilité et son attractivité. Explications.

L’attractivité passe aussi par la beauté du site

« Avec les commerçants de la place Gambetta, nous cherchons à retrouver l’axe de visibilité créé par la piétonisation. Il s’agit de réaménager les terrasses des cafés différemment en permettant aux promeneurs de découvrir les monuments, la cathédrale notamment ». Brigitte Fouré est attachée à la beauté de sa ville. Une esthétique qui doit s’imposer dans les moindres détails. L’unité de couleur des mobiliers de terrasse, le choix des matériaux, les corbeilles, le mobilier urbain, la propreté, bien évidemment. « Nous fonctionnons beaucoup avec la fédération des commerçants, qui regroupe plusieurs associations professionnelles. La grande majorité des points de vente est convaincue du bien-fondé de cette approche et s’investit beaucoup. »

La maire d’Amiens a également utilisé l’outil PLU pour intervenir en limitant la présence des banques et assurances sur l’accès piétonnier.

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L’innovation au cœur du commerce urbain @Angers @KarineEngel49 @cmarkea #ArkeaImmobilier

Angers livre blanc Angers, ville d’environ 150 000 habitants du département de Maine-et-Loire s’attache à préserver ses commerces de centre-ville. Karine Engel, adjointe au maire, chargée du commerce, de l’artisanat et des professions libérales mène, avec son équipe, de nombreuses actions pour accompagner les commerçants et artisans de proximité et préserver les équilibres entre zone commerciale de centre-ville et centres commerciaux en périphérie.

Créer du trafic, fidéliser et innover

A la préemption, Karine Engel préfère l’innovation « avec des espaces dédiés à des boutiques “à l’essai”, pour aider les porteurs de projets. La limite de leur efficacité reste cependant l’emplacement et la durée du bail. Peut-être faut-il tester sur au moins un an ? s’interroge-t-elle, car il y a les problèmes de saisonnalité. J’aimerais qu’il existe également un outil d’accession à la propriété pour le commerce, un “bail social”, avec possibilité d’accession, comme il y en a dans le domaine du logement. Nous sommes en train d’y réfléchir ».

Côté trafic, la ville s’investit également en mobilisant tous ses services et l’expertise des acteurs locaux. À l’image de l’opération «Soleil d’Hiver», autour du marché de Noël, qui a été menée en associant l’Office du Tourisme, la CCI et le service Culture de la ville.

« Nous travaillons aussi pour redessiner de nouveaux parcours en ville, pour que le cheminement culturel soit en lien avec la dynamique commerciale. Cela permet de repositionner des rues qui souffrent un peu plus que d’autres. Il y a aussi des actions que nous menons comme une garderie gratuite, la livraison des colis à domicile, des grooms en ville pour renseigner les passants sur les commerces… ». Lire la suite

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