Archives du 22 décembre 2017
La SPLA-IN Porte Sud du GRAND PARIS est créée @Gpamenagement @thierrylajoie
LA SPLA-IN PORTE SUD DU GRAND PARIS EST CREEE
Source : Grand Paris Aménagement
La SPLA-IN porte sud du Grand Paris est créé :
Un nouvel outil partenarial Etat-Collectivités
La SPLA IN (société publique locale d’aménagement) est un nouvel outil d’aménagement créé par la loi du 28 février 2017.
La SPLA IN permet à l’Etat (ou l’un de ses établissements publics d’aménagement) et à des collectivités de créer un outil commun pour la réalisation d’opérations d’aménagement complexes ou de grande envergure sur un territoire.
La SPLA IN est une société anonyme, conçue pour étudier, concevoir et réaliser des opérations d’aménagement.
Les collectivités bénéficient des garanties conférées par l’Etat (garantie de bonne fin sur la durée, capacité à lever de la dette, financement des équipements publics) pour la réalisation de leurs opérations.
Pour un aménageur public, la SPLA IN permet d’établir, autour d’une gouvernance partagée, un partenariat de long terme avec une ou des collectivités.
Une SPLA IN entre Grand Paris Aménagement et Grand Paris Sud, symbole d’un partenariat renforcé pour le territoire
.@JournalGdParis : Bientôt nouvelle édition de la Journée Grand Paris
La 9e édition de la Journée Grand Paris, labellisée chaire « Aménager le Grand Paris » propose le thème « Inventons la métropole du Grand Paris : Entre nouveaux modes de production urbaines et défi métropolitain ».
Les pratiques de l’aménagement semblent évoluer rapidement et profondément à l’occasion des différents projets attachés au Grand Paris. En témoignent au premier chef les concours et appels à idées qui ont été lancés pour faire travailler ensemble aménageurs, promoteurs, développeurs, concepteurs, voire usagers : « Réinventer Paris », « Inventons la métropole du Grand Paris », « Dessine-moi le Grand Paris », « 100 quartiers innovants et écologiques », etc.
S’affranchissant des démarches classiques, ces concours contribuent à faire émerger de nouvelles modalités pour valoriser les sites de transformation urbaine et programmer les lieux de vie. Cette journée s’attachera à analyser l’appel à projets « Inventons la métropole du Grand Paris » et à mettre en perspective ses premiers résultats, en croisant les points de vue de ses initiateurs, des acteurs qui y participent, de chercheurs et de travaux collectifs d’étudiants.
Cette 9e édition des Journées Grand Paris s’inscrit dans le cadre du lancement de la chaire « Aménager le Grand Paris » par l’Ecole d’urbanisme de Paris. Créée en juillet 2017, cette chaire vise à mieux comprendre les changements suscités par la mise en œuvre de la métropole du Grand Paris grâce à une veille et la production de travaux sur les pratiques d’aménagement, la formation des professionnels et des étudiants de l’EUP, l’analyse d’expériences d’aménagement innovantes dans d’autres métropoles et l’ouverture des débats vers les professionnels, les élus et les citoyens.
100% des établissements du groupe SOS sont électriquement branchés énergies vertes @GroupeSOS @hospimedia
Source : HOSPIMEDIA
Petit bémol, le groupe reconnaît que ses enjeux environnementaux « sont aussi divers que le sont ses activités : l’empreinte écologique d’une crèche n’est pas la même que celle d’un centre éducatif renforcé, que celle d’un Ehpad, ou que celle d’un hôpital« . Au total, il affiche 405 établissements et structures dans des secteurs aussi différents que la jeunesse, l’emploi, la solidarité, la santé ou les séniors. Il signale qu’il a invité chacun de ses établissements à nommer un référent développement durable. Début 2017, un peu plus d’un sur trois en ont installé un. Il est également rappelé dans ce rapport que parmi toutes les composantes c’est la branche sénior du groupe qui a signé le premier contrat de performance énergétique. Cet accord a permis de déléguer l’exploitation et la maintenance des chaufferies des Ehpad à un prestataire spécialisé. Celui-ci a notamment pris l’engagement de réduire la consommation énergétique de plus d’un quart. Ce résultat est visé grâce à « l’optimisation de l’exploitation mais aussi à un plan d’investissement comprenant notamment le renouvellement d’une partie des installations« . Le groupe ajoute qu’une « démarche similaire est en cours de préparation » avec la filière santé du groupe.
Il insiste par ailleurs sur un indicateur de performance qu’il a développé à savoir le taux des achats responsables. « Celui-ci mesure la part des achats présentant une plus-value significative en matière de développement durable au sein des contrats-cadres« . En 2016, plus de 41% des achats de fournitures de bureau ont correspondu à des produits écoconçus et/ou bénéficiant d’un écolabel. Enfin, fort de ses différentes initiatives écologiques, le groupe SOS annonce vouloir aller plus loin, et écrit qu’il « souhaite amplifier son engagement en matière de développement durable pour la période 2017-2020« .
Plan villes moyennes : comment redynamiser l’habitat et les services @villes2Fr
Plan villes moyennes : des moyens importants pour redynamiser l’habitat et les services
Des moyens importants vont être mis dans le plan « Action cœur de ville » pour inciter à la rénovation des logements privés dégradés et favoriser le retour des actifs dans les centres-villes.
Attractivité de l’habitat…
Durant les cinq années du plan (2018-2022), l’Agence nationale pour l’habitat (ANAH) prévoit de consacrer 1 milliard d’euros d’aide aux travaux pour la réhabilitation, l’amélioration énergétique et l’adaptation des logements et des immeubles. La rénovation énergétique
des logements privés sera accélérée grâce à un guichet unique de conseil et d’accompagnement personnalisé.
Le plan prévoit, en outre, d’encourager l’accession à la propriété en centre-ville grâce à une extension du prêt social de location-accession aux logements anciens.
Pour éradiquer l’habitat indigne, l’ANAH financera à hauteur de 40 millions d’euros, les déficits d’opérations de rénovations d’immeubles privés dégradés ou insalubres pour créer une offre de logements favorisant la mixité sociale.
En vue d’inciter au retour des salariés dans les centres villes en renouvelant l’offre avec des logements adaptés et diversifiés en centre ancien, Action Logement mettra, à compter de 2018 et pour 5 ans, 1,5 milliard d’euros pour acquérir et réhabiliter des immeubles en centre-ville.
L’ingénierie sera simplifiée pour permettre d’orienter les moyens des établissements publics de l’Etat vers des interventions de cœurs de villes, mobilisant ainsi, l’ANAH, l’ANRU et les établissements publics fonciers.