Archives du 18 décembre 2013

Groupe PRO BTP soutient ses adhérents pour l’accès aux soins

Les partenaires sociaux du Bâtiment et des Travaux publics ont été parmi les premiers à mettre en œuvre une solidarité fondée sur la mutualisation professionnelle en matière de protection sociale. Aujourd’hui, ils renforcent les aides que BTP-PRÉVOYANCE, institution de prévoyance du groupe paritaire PRO BTP, destine aux personnes en situation de fragilité sociale.

 Leur objectif : intervenir auprès de l’ensemble des populations ayant des difficultés à conserver leur complémentaire santé.

Doubler le chèque Santé du BTP pour les retraités bénéficiaires de l’ACS et l’élargir aux actifs

Le chèque santé du BTP vient abonder celui versé par l’État au titre de l’Aide à la complémentaire santé (ACS). 
Dès le 1er janvier 2014, le montant de l’aide versée par BTP-PRÉVOYANCE aux adhérents passera de 7,5 € par mois à 15 € pour une personne seule. Ainsi, un adhérent retraité qui reçoit 41,67 € d’aide mensuelle de la part de l’État, recevra un avantage supplémentaire de 15 € de la part de BTP-PRÉVOYANCE, soit 180 € par an en diminution de sa cotisation santé.

Ces réductions tarifaires vont être étendues aux actifs en 2014. Le chèque Santé du BTP concernera ainsi 25 000 personnes actives ou retraitées, bénéficiaires de l’ACS et couvertes en santé par PRO BTP.

Augmenter l’aide à la complémentaire santé pour les personnes dépendantes

Depuis 2012, BTP-PRÉVOYANCE agit pour le maintien de la complémentaire santé des bénéficiaires de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). En seulement 12 mois, plus de 30 000 retraités et leurs conjoints ont ainsi bénéficié de réductions représentant en moyenne, par bénéficiaire, 315 € par an sur leur cotisation santé. 

Cette aide du BTP est attribuée selon le niveau de dépendance dans la grille AGGIR*. À partir de janvier 2014, elle variera de 240 € à 600 € par an selon le niveau de dépendance (si l’adhérent est domicilié en EHPAD** ou non, selon son classement dans la grille AGGIR…).

L’augmentation de ces aides traduit la forte implication de la famille du BTP pour le maintien d’une complémentaire de droit commun pour ses adhérents les plus fragiles, adhérents tenant à une couverture stable et attachés à PRO BTP, leur organisme professionnel.

 * AGGIR : Autonomie, gérontologique, groupes iso-ressources

**EHPAD : Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendant

Source : www.probtp.com

Record historique pour l’Opievoy

opievoy

Cette année, l’Opievoy a atteint un nouveau record en livrant 1000 logements sur l’ensemble des sept départements où il intervient. Il souligne l’engagement de l’office pour participer à la résorption de la crise du logement et de confirmer son statut d’acteur de référence du logement social en Ile-de-France.

Construire partout et pour tous

L’Opievoy optimise sa production en construisant lui-même ou en se prêtant acquéreur sur plan, par Vente en Etat Futur d’Achèvement, il offre des logements pour toutes les situations locatives. Cette année, le Groupe, présent dans 190 communes, a livré des résidences de logements locatifs sociaux classiques, des logements étudiants ou encore des résidences adaptées aux besoins des personnes âgées. Le bailleur social travaille également sur l’accessibilité des logements pour les personnes à mobilité réduite, en adaptant au minimum 5 % des logements de ses résidences.
Afin de créer des programmes d’accession sociale dont les prix sont inférieurs à ceux du marché et pour répondre au double objectif de s’adapter à la demande des territoires en créant des programmes mixtes et de favoriser le parcours résidentiel des locataires, l’Opievoy a créé une coopérative d’accession sociale à la propriété, Coopievoy.

Exemples de livraisons

Parmi les exemples de livraison, on peut citer la résidence de 35 logements locatifs sociaux livrée à Limay (78) en début d’année, ou le programme mixte de 51 logements constitués d’appartements et de maisons individuelles livré en septembre à Villiers-sur-Orge (91).
L’Opievoy a également au sein du premier bâtiment passif de 42 logements livré à Gonesse (95). Une démarche innovante dans le logement social qui a fait l’objet d’un accompagnement spécifique. En effet, pour accompagner ses salariés dans la découverte des changements et les expliquer aux locataires, l’Opievoy a mis en place, depuis novembre 2012, des sessions de formation pour apprendre, comprendre et transmettre ces nouveaux usages du logement.
L’originalité de ce programme réside dans le regroupement des professionnels organisé sur une journée. Toutes les parties prenantes du projet sont réunies et s’informent mutuellement sur les transformations que chacune a rencontré pour appliquer les normes BBC. En décloisonnant les corps de métier, l’Opievoy fédère les intervenants qui, ensemble, co-construisent la séance de sensibilisation à destination des locataires.

Formation des locataires

Les nouveaux locataires sont ainsi conviés à une soirée d’information sur les spécificités du logement passif. L’Opievoy est présent et répond aux interrogations des locataires pour leur permettre de prendre en main leur logement de la meilleure façon.
Ensuite, un suivi téléphonique sur 9 mois sera mis en place par l’Opievoy afin de suivre, avec les locataires, l’évolution de leur consommation énergétique et leurs objectifs définis avec les experts.

Construire… et entretenir

Construire des logements est très important, mais l’Opievoy, conscient de ses responsabilités de bailleur social, va plus loin. Il participe fortement à la transformation des quartiers en étant partie prenante de 22 Projets de Rénovation Urbaine et entretient son patrimoine. Pour cette année, ce sont plus de 2500 logements réhabilités et plus de 700 dont les espaces extérieurs ont été réaménagés. Enfin, l’Office prévoit d’investir 2 milliards d’euros dans l’entretien de son patrimoine d’ici 2020.

Source : www.opievoy.fr

Sortie de récession en vue pour l’économie italienne : focus sur les marchés

Retrouvez l’actualité des marchés financiers et de l’économie de la semaine, synthétisée par les experts de la salle des marchés du Crédit Mutuel ARKEA.

Les taux d’Etat à 10 ans américains et allemands, prudents, ont fait du surplace la semaine passée, dans l’attente de la réunion de la Fed

Zone euro :  Les PMI, reflet de la confiance des directeurs d’achats, confirment, en déc., la divergence, entre l’Allemagne et la France

Le PMI manufacturier allemand, à 54.2 en déc., vs 52.7 en nov., a atteint un pic de 2 ans et demi, tandis que la contraction du secteur manufacturier français s’est encore accélérée, à 47.1, à un point bas de 7 mois. Le PMI composite, qui regroupe les secteurs manufacturier et des services, est tombé en France à 47 en déc. alors qu’il s’inscrit à 55.2 outre Rhin. Au final, celui de la Z.E, en hausse à 52.1 en déc., semble indiquer une croissance de son PIB de 0.2% au 4e trim., selon l’économiste de Markit. Ÿ L’institut national de la statistique italien Istat a révisé de
-0.1% à 0% son estimation de variation du PIB pour le 3e trim. L’économie italienne pourrait ainsi sortir de la récession, si son PIB affiche une croissance positive au 4e trim. 2013. En parallèle, le Premier ministre a sollicité et obtenu le 12/12, pour la 3e fois en 2 mois, la confiance du Parlement, cette fois au sujet du programme gouvernemental de réformes (loi électorale, fiscalité des ménages et des entreprises…) pour 2014. Il vise 1% de croissance pour 2014 et 2% en 2015, vs ≈ -1.8% en 2013. Ÿ Après le vote historique de 76% des 475 000 adhérents du SPD en faveur de l’accord conclu le 27/11 entre la CDU/CSU et le SPD au sujet d’un gouvernement de coalition, l’investiture d’A. Merkel à la fonction de Chancelière, par le Bundestag, le 17/12, devrait être une formalité. Ÿ Les pressions haussières se sont accrues sur les taux courts la semaine dernière. L’effet du passage de fin d’année s’est renforcé cette année du fait (i) des remboursements importants des 2 LTRO (22.7 Md€ ce mercredi) , (ii) de la volatilité accrue du surplus de liquidités (

Etats Unis : La Fed, et B. Bernanke, lors de sa dernière conf. de presse, vont-ils annoncer une réduction des rachats d’actifs le 18/12 ?

La Commission du Congrès, composée de républicains et de démocrates, a conclu le 10/12 un accord au sujet du budget fédéral pour 2014 et 2015, qui implique une hausse des dépenses budgétaires de 62 Md$. Sur 10 ans, le déficit devra néanmoins être réduit de 85 Md$. Cet accord sur un budget plus accommodant pour les 2 prochaines années, va non seulement écarter le risque d’une fermeture des administrations fédérales, mais aussi contribuer à soutenir la croissance américaine, dont les signes d’accélération récents se multiplent (taux de chômage, ISM, taux de croissance 3e trim., ventes au détail…). Ces éléments alimentent les spéculations d’un proche ralentissement des achats de titres par la Fed.
Ÿ

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