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MGEN: Evoluer pour se développer
L’Assemblée générale du groupe MGEN s’est réunie du 8 au 10 juillet à La Rochelle, concentrant les trois jours de débats avec les 500 délégués sur les perspectives de développement. Deux sujets majeurs pour l’avenir du groupe MGEN pont été abordés : l’évolution de ses offres et de son pilotage.
Thierry Beaudet, président du groupe MGEN
« Nous avons le devoir de questionner sans tabou notre offre et notre fonctionnement interne. Avec un triple objectif : demeurer incontournable sur notre champ socio-professionnel – l’éducation –, nous positionner sur notre champ affinitaire – le médico-social, le médico- éducatif, l’animation…–, et nous ouvrir encore davantage à tous les publics. Nos ambitions portent tant sur l’assurance individuelle que, via Istya, sur l’assurance collective. »
Une offre plus ouverte et plus adaptée
Le groupe MGEN a engagé une réflexion stratégique sur la refonte de son offre, qui, depuis la création de la mutuelle en 1946, est une « offre globale », unique, santé et prévoyance. Après en avoir débattu avec les délégués et les adhérents tout au long de l’année, les grands axes de cette refonte ont été arrêtées à La Rochelle.
Plutôt que de proposer une « offre globale » unique, le groupe MGEN veut s’attacher à répondre aux attentes de ses adhérents avec une «couverture globale» de leurs besoins en santé et en prévoyance. Dans le respect des grands principes de l’offre MGEN (comme le lien entre santé et prévoyance, et la prise en compte des revenus dans la fixation de la cotisation), cela signifie : plus de lisibilité, plus de choix et une meilleure adaptation aux parcours personnels et professionnels. Une offre d’entrée, pour les jeunes actifs, va être mise en œuvre.
La préparation concrète de cette refonte de l’offre commence. Elle alimentera les débats de l’Assemblée générale 2014.
Un pilotage plus efficace
Pour accompagner le développement du groupe MGEN, les délégués ont approuvé une évolution de son pilotage. L’objectif est de créer des fonctions de vice-présidents délégués qui seront en lien direct avec le comité de direction, afin de renforcer l’imbrication des structures militantes et salariées.
En marge de l’Assemblée générale, le conseil d’administration a ainsi élu :
– Thierry Beaudet, président du groupe MGEN,
– Roland Berthilier, vice-président,
– Fabrice Henry, vice-président délégué au mouvement, à la vie mutualiste et au modèle
mutualiste,
– Alain Hernandez, vice-président délégué au développement de l’offre Assurance-maladie et
mutualiste,
– Eric Chenut, vice-président délégué au développement de l’offre sanitaire, médico-sociale et
sociale.
Carac soutient l’économie française
La Carac gère aujourd’hui 9,6 milliards d’euros d’actifs pour le compte de ses adhérents. Preuve de la pertinence de ses choix d’investissement, la mutuelle propose les contrats d’assurance vie en euros les plus performants du marché. Au-delà de garantir un bon rendement, le Conseil d’administration a toujours considéré que la Carac devait apporter sa contribution à l’économie de la France.
Ainsi, en juillet 2012, la Carac a créé un fonds intitulé « Carac financement de l’économie française ». « La Carac n’a pas pour prétention de financer toute l’économie française mais ce fonds est destiné à soutenir des PME et des PMI qui n’ont pas accès au marché obligataire », déclare Robert Gravil, Directeur du patrimoine de la Carac.
La nécessité et le sens de cette orientation se sont encore plus accrus depuis la crise économique de 2008 : « il existe en France un besoin de financement que les banques, historiquement présentes sur ce marché, ne peuvent plus satisfaire », indique Robert Gravil.
Ce fonds, doté de 70 millions d’euros et dédié à la mutuelle, est géré par la société de gestion Tikehau IM. La Carac finance ainsi la PME traditionnelle française mais n’exclue pas les sociétés exportatrices. « La France regorge de pépites dans tous les types de secteurs d’activité. Ces entreprises sont de véritables moteurs de croissance dans les régions », s’enthousiasme le Directeur du patrimoine. De plus, l’espérance de rendement y est plus élevée que dans les obligations.
Outre ce fonds dédié, la Carac a initié d’autres actions dans ce sens. En juin 2012, la Carac a repris les prêts aux collectivités locales lorsqu’elles se sont retrouvées dans une situation bloquée suite au désengagement de Dexia. Une partie des investissements a été orientée vers le développement des infrastructures françaises (énergies renouvelables, autoroutes, ponts, écoles…) ainsi que vers le secteur de la santé et de la dépendance.
Cette stratégie financière témoigne de l’engagement de la Carac pour contribuer à la vitalité de l’économie de notre territoire tout en assurant un niveau de performance très satisfaisant pour l’épargne de ses adhérents.
L’IPSEC met en place des prêts aux collectivités locales
Depuis début 2013, l’Ipsec par son partenariat avec Arkéa Banque Entreprises, Suravenir et Tikehau Investment Management, propose aux collectivités locales un système de prêts à taux fixes via un fond commun de titrisation. Ce dispositif participe ainsi à la proposition de nouvelles modalités de financements de ces collectivités et constitue un moyen efficace pour soutenir leurs investissements.
Par cette initative, l’Ipsec contribue à financer l’économie locale dans les territoires, au moment où la crise financière et le renforcement d’exigence de solvabilité poussent les institutionnels à privilégier des placements classiques et peu risqués. Un état de fait qui oblige désormais les collectivités territoriales à envisager de nouvelles sources de financement, alors que les besoins en matière de développement et de renouvellement des équipements sont toujours importants. Pour mémoire, les projets des collectivités locales représentent plus de 70% des investissements publics.
C’est dans ce contexte que l’Ipsec participe à ce nouveau dispositif de prêts. L’institution poursuit ainsi son engagement auprès des collectivités territoriales et renforce sa vocation à accompagner ses clients au quotidien tout en répondant à de réels besoins.
Humanis lance une initiative régionale pour « bien vieillir »
Le groupe Humanis lance le parcours Génération plus, un programme d’accompagnement au « bien vieillir » basé sur six thématiques permettant de mettre toutes les chances de son côté pour avancer en âge en bonne santé et profiter au maximum de sa retraite.



