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Baromètre Se Loger : faut-il acheter pour habiter ou pour louer ?
Baromètre des prix immobiliers
Pour accéder à la propriété, l’achat d’un logement ancien coûte en moyenne 275 900 € contre 157 300 € pour une acquisition immobilière destinée à la location. Pourquoi un tel écart de prix ?
43 % de moins consacrés à l’investissement locatif dans l’ancien
La somme dépensée par un acheteur pour acquérir un logement varie considérablement selon que le bien est destiné à être occupé par des locataires ou par lui-même. En effet, dans l’ancien, l’enveloppe moyenne allouée à l’achat d’un logement ancien avoisine les 275 900 €. Mais s’il s’agit d’un placement immobilier, on passe alors à 157 300 €. Soit une réduction de plus de 40 %. Même son de cloche (quoique plus atténué) dans le neuf. Le propriétaire d’un logement neuf dépensera 232 500 € pour s’y loger. Contre « seulement » 193 000 € dans le cas d’un investissement locatif. Soit 16 % de moins.
Pourquoi de telles différences de budgets ?
Que les choses soient claires, la pierre est très loin d’avoir perdu son statut de valeur « refuge ». Sans compter qu’au vu des niveaux respectifs des taux d’emprunt (bas) et de la demande locative (élevée), le locatif demeure un excellent placement immobilier. On peut toutefois supposer que la rentabilité faciale (c’est-à-dire le rapport entre le revenu locatif annuel du bien loué et son prix à l’achat, Ndlr) étant le plus souvent inversement proportionnelle à la superficie du bien, ce sont les petites surfaces qui sont ciblées en priorité par les investisseurs. Et qui dit moins de m² dit par conséquent moins d’euros dépensés pour les acquérir, ces fameux mètres carrés…
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Loi PINEL sur l’investissement locatif : 72% des français favorables
Le regard des Français sur l’investissement locatif
Source site Harris Interractive
Etude Harris Interactive pour E-tematik / http://www.la-loi-pinel.com
Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 février 2015. Echantillon de 1 029 personnes représentatif de la population française âgée d’au moins 18 ans, à partir de l’access panel Harris Interactive. Méthode des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région d’habitation de l’interviewé(e).
Paris, le 24 février 2015 -Alors que la France a connu un léger recul des prix de l’immobilier en 2014, le marché du logement reste tendu, notamment dans les grandes métropoles, Paris en tête. Afin de répondre à la demande de logements, le gouvernement a pris depuis plusieurs années des mesures visant à fluidifier le marché, en particulier celui de la location. Le dispositif Pinel poursuit cet objectif en proposant une réduction d’impôts aux contribuables qui achèteraient un logement neuf en vue de le louer à un tiers en tant que résidence principale. Alors que ce dispositif est entré en vigueur le 1er janvier dernier, E-tematik, pour le site www.la-loi-pinel.com, a demandé à Harris Interactive d’interroger les Français sur le regard qu’ils portent sur l’investissement locatif, et plus particulièrement sur les villes qu’ils privilégieraient. L’investissement locatif est-il perçu comme positif ou négatif dans le contexte actuel ? S’ils en avaient la capacité, notamment économique, dans quelles villes les Français réaliseraient-ils cet investissement ?
Que retenir de cette enquête ?
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Après avoir été informés des modalités d’application du dispositif Pinel afin que tous disposent d’un même niveau de connaissance, près des trois quarts des Français (72%) considèrent l’achat d’un logement neuf en vue de le louer comme un bon investissement, et même, pour 10% des interrogés, comme un très bon investissement.Dans le détail, les plus jeunes s’avèrent plus enclins à qualifier cet investissement de bon (86% des personnes âgés de 18 à 24 ans, 81% de celles ayant entre 25 et 34 ans), ainsi que les Français vivant en couple et ayant des enfants (78%).
Au contraire, parmi les 27% des Français considérant l’investissement locatif comme mauvais (dont 5% très mauvais), sont surreprésentés les plus âgés (36% des plus de 65 ans partagent cette opinion).
Par ailleurs, il apparait peu dans cette enquête de différence statistiquement significative en fonction de la région d’habitation ou du niveau de revenus dont disposent les ménages.
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Interrogés sur leurs préférences en termes de villes pour un investissement locatif, s’ils en avaient la possibilité économique, les Français affichent des réponses assez dispersées, même si certaines villes se détachent plus particulièrement. Alors qu’ils ne pouvaient choisir qu’au maximum trois réponses, un tiers des Français indique Paris et Bordeaux (34% pour chacune de ces villes). Dans le détail, la capitale attire particulièrement les plus jeunes (48% des 18-24 ans) et les personnes ayant un profil plutôt aisé (55% des personnes ayant un revenu mensuel net supérieur à 5 000 euros, 45% de celles exerçant une profession libérale ou étant cadres). De plus, et d’une façon générale, les Français résidant dans les aires géographiques des villes proposées apparaissent davantage attirés par un investissement locatif dans la métropole la plus proche de leur lieu de vie. Ainsi, les Franciliens sont 67% à choisir Paris et les résidents du Sud-Ouest 65% à se tourner vers Bordeaux.
Un peu en retrait de ces deux premières métropoles, quatre autres villes recueillent la préférence de près d’un quart des Français : Lyon (27%), Nantes (24%), Toulouse et Montpellier (citées toutes les deux à hauteur 22%). La capitale des Gaules se distingue par sa capacité à particulièrement attirer les plus jeunes (38% des personnes âgées de 18 à 24 ans), les plus diplômés (un tiers des Français ayant un diplôme supérieur à Bac +2), ainsi que les personnes disposant des revenus les plus conséquents (39% de ceux ayant des revenus supérieurs à 5 000 euros nets mensuels). Ici encore, la variable géographique joue un rôle important, les résidents de la nouvelle région Rhône-Alpes-Auvergne étant plus enclins à choisir Lyon (46%), alors qu’un Méditerranéen sur deux se tourne vers Montpellier, 65% des résidents de l’Ouest citent Nantes parmi leurs choix et 61% de ceux du Sud-Ouest Toulouse. Par ailleurs, la « ville rose » attire 30% des personnes un peu plus modestes, vivant au sein d’un ménage dont les revenus nets mensuels sont compris entre 1 000 et 1 500 euros. …en savoir plus…