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Quel type de crowdfunding choisir ? @Koregraf
Source : Koregraf
Comment choisir dans quel type de crowdfunding investir ? En quelques années à peine, le financement participatif a gagné ses lettres de noblesse. Symbole de désintermédiation financière, il permet à chaque particulier d’investir dans un projet qui lui plait et de répondre à un besoin de financement. En France, pour la seule année 2017, les montants levés par les plateformes de crowdfunding ont dépassé les 300 millions d’euros.
En 2018, difficile de passer à côté du phénomène du financement participatif : depuis l’apparition des plateformes de crowdfunding, près de 4 millions de financeurs ont pris part à des projets de financement pour plus de 730 millions d’euros (montant total depuis 2015 selon le baromètre 2017 du crowdfunding en France – KPMG et FPF). Pour la seule année 2017, plus d’1,6 million de souscripteurs ont participé à 24 126 projets pour un total de 336 millions de fonds récoltés (contre 167 millions en 2015).
Les plateformes de financement participatif se multiplient d’année en année et proposent de financer des projets de natures très différentes (musique, agriculture, énergies renouvelables, viticulture, immobilier…). Parmi ces nombreux acteurs, on distinguera les plateformes généralistes des plateformes dédiées au financement d’un secteur spécifique telles que Koregraf (immobilier, financement des entreprises).
Il existe trois formes de crowdfunding : l’investissement direct en capital (ou obligations), le prêt ou le don. Le choix d’un projet d’investissement dépend ainsi de plusieurs facteurs : la plateforme, la nature du projet, le montage proposé et les risques, intrinsèques à tout placement proposant des rendements élevés.
Immobilier : dans quoi faut-il investir en 2018 ? @Koregraf
Source : Koregraf
Le marché de l’immobilier est en pleine mutation avec les multiples transformations en termes de fiscalité, de loi, d’innovations… Mais alors, en vue de ces multiples opportunités, dans quoi faut-il investir cette année ?
1- Le financement participatif : l’innovation au service de l’immobilier
Dans la catégorie de la pierre-papier, un nouveau type de placement a fait une entrée remarquée depuis quelques années : le financement participatif immobilier, aussi appelé crowdfunding immobilier. Tout particulier peut devenir co-promoteur d’un futur projet immobilier. Des plateformes de financement participatif généralistes ou spécialisées telles que Koregraf ont ainsi émergé depuis 2013 afin de proposer différents programmes immobiliers, dans lesquels les particuliers investissent.
2- Les nouvelles formes de viager
Parmi les autres placements ayant connu une évolution figure également le viager. Peu apprécié des Français en raison de son fonctionnement (achat d’un bien à un prix inférieur et versement d’une rente à une personne âgée qui, dans la majorité des cas, continue de résider dans le bien), ce dispositif connait un léger regain d’intérêt avec le viager mutualisé comme par exemple avec la plateforme Livsty. Ce n’est pas un particulier qui achète, mais plusieurs investisseurs via un fonds d’investissement ou une société civile immobilière (SCI).
3- Les placements immobiliers en SCPI
Les épargnants souhaitant investir en immobilier peuvent également se tourner vers les SCPI (Société civile de placement immobilier) ou les OPCI, moins connus, dans lesquels il est possible d’investir en direct, via un contrat d’assurance-vie ou en contractant un crédit. L’achat de parts de SCPI permet d’investir dans un ou plusieurs biens immobiliers (résidentiel ou d’entreprise), sans avoir à gérer le patrimoine locatif, confié à une société de gestion. Les investisseurs touchent en retour une quote-part des loyers, proportionnelle à leurs droits détenus dans la SCPI.
4- Réaliser un investissement immobilier locatif
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Les primo-accédants ont de plus en plus de mal à décrocher un crédit immobilier ! @SeLoger
Source : Se loger
Crédit immobilier : le nombre de primo-accédants est en baisse
Entamée en début d’année, la chute de la part des primo-accédants parmi les emprunteurs immobiliers s’est poursuivie en février. Ainsi, il ne représentent plus que 44 % des clients du courtier Cafpi, alors que les autres accédants constituent 45 % des clients. De leur côté, les investissements locatifs ne représentent que 8 % des dossiers du courtier. Enfin, les autres investissements (maisons secondaires, commerces, etc.) constituent « seulement » 3 % des dossiers. « Les réformes entrées en vigueur au 1er janvier, conjuguées à la hausse des taux et des prix, désolvabilisent les ménages les plus modestes », précise Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint du courtier. Le projet de loi Logement, annoncé dans les prochaines semaines, confirmera ou infirmera cette évolution. « Si la tendance ne s’inverse pas, il faut s’attendre à un profond ralentissement du marché en cours d’année », affirme Philippe Taboret.
Accession : 56 % des locataires souhaitent devenir propriétaires en 2018 ! @Seloger
Source : Se Loger
Même si les prix sont à la hausse dans de nombreuses métropoles, les Français se tournent toujours vers la pierre pour investir. 40 % des ménages souhaitent réaliser un projet immobilier au cours de l’année.
Selon un sondage réalisé conjointement par le courtier Empruntis et l’institut CSA, les ménages français ont le moral et estiment toujours la pierre comme une valeur sûre pour investir. 40 % des Français envisagent de réaliser au moins un projet immobilier en 2018, que ce soit une accession à la propriété, un changement de logement ou encore un investissement locatif. « Le logement est toujours au cœur des préoccupations des Français. En 2018, l’immobilier représente donc un projet pour près d’un français sur deux », précise Cécile Roquelaure, Directrice de la communication et des études du courtier en crédit immobilier. L’accession à la propriété est particulièrement recherchée par les locataires : 56 % d’entre eux souhaitent devenir propriétaires de leur résidence principale au cours de l’année, soit 10 points de plus qu’en 2017.