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L’investissement socialement responsable


Commissariat général au developpement durable, le 9 Novembre 2011

Qu’est-ce que l’investissement socialement responsable ?

L’investissement socialement responsable est l’application des principes du développement durable à l’investissement : il se définit comme une stratégie d’investissement et de gestion de portefeuille qui intègre des critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance en plus des critères financiers habituels pour déterminer le choix des valeurs qui le composent. Sa promotion est un des engagements du Grenelle Environnement et est inscrite à l’article 53 de la loi du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en oeuvre Grenelle de l’environnement, dite loi Grenelle 1, qui prévoit que l’ISR sera encouragé par des mécanismes incitatifs et des campagnes d’information.

Comment évolue-t-il ?

Selon la dernière enquête réalisée par le centre de recherche ISR de Novethic, les encours ISR détenus par la clientèle française à fin 2010 s’élevaient à 68,3 milliards d’euros, soit une croissance de +35 %. Les investisseurs institutionnels représentent 70 % de ces encours, soit 47,6 milliards d’euros (+36 % entre 2009 et 2010), la clientèle des particuliers 30 % (20,6 milliards d’euros, +33 % entre 2009 et 2010). Les investisseurs institutionnels sont les caisses de retraite et de prévoyance, les fonds de retraite publics, les assureurs privés et mutualistes. La clientèle des particuliers est constituée principalement des investisseurs en gestion collective via les réseaux bancaires et d’assurance et des épargnants salariés…Consulter le communiqué de presse en PDF

Le Conseil Général des Hauts-de-Seine déploie sa flotte automobile électrique

Le déploiement de la flotte électrique continue donc au rythme prévu initialement : 52 véhicules en 2011 pour répondre à un objectif de 350 véhicules soit la moitié de la flotte totale.

Cette opération ambitieuse constitue un effort sans précédent et positionne le département en tête des collectivités engagées de façon aussi massive dans l’acquisition de véhicules électriques.

L’année 2010 a été consacrée à la passation des marchés d’acquisition de véhicules et de pose de bornes de recharge.
Les premiers véhicules électriques ont été intégrés dans la flotte départementale au début de l’année 2011.

Les enjeux

  • Un enjeu économique dans un secteur à haute technologie où les constructeurs européens, et plus particulièrement français, s’engagent aujourd’hui de façon décisive.
  • Un défi environnemental de taille: le parc automobile départemental, dans son actuelle configuration, est à l’origine de l’émission annuelle de 1100 tonnes de CO2. L’opération achevée, ce seront environ 600 tonnes de gaz à effet de serre dont l’émission sera évitée chaque année.
  • Un intérêt budgétaire dans la mesure où les coûts de «carburant» et d’entretien sont, dans le cas des voitures électriques, respectivement inférieurs de 80% et 40% à ceux des engins thermiques, ce qui permet un retour sur le surcoût d’investissement en 6 années, tout en allégeant les charges de fonctionnement de la collectivité.

Les chiffres

  • 52 voitures en 2011 ; 102 en 2012 ; 102 en 2013 ; 94 en 2014, soit 350 au total
  • Une émission de 600 tonnes de CO2 évitée chaque année dès 2014
  • Zéro nuisance sonore
  • 500 000 € d’économie par an sur les postes d’entretien de véhicule et de consommation de carburant
  • 1,5 € le coût d’une recharge pour réaliser une moyenne de 120 km
  • 30 sites administratifs équipés de plus de 400 prises d’ici à 2014
  • Un coût de 7,9 M€

Etude: La prise en compte de l’environnement dans le cadre d’une ZAC

Cette étude présente les outils dont disposent les collectivités locales – et les aménageurs ensuite – pour mettre en œuvre le volet environnemental du développement durable au sein d’une ZAC, principalement au sein des opérations de constructions.

Après avoir décrit brièvement les facteurs de réussite d’un projet urbain (un fort portage politique notamment), l’étude présente les différentes prescriptions environnementales possibles et montre par exemple que la déclinaison des prescriptions – généralement inspirées de la démarche HQE – selon les échelles et les temporalités du projet, ainsi que la mise en œuvre d’un suivi et d’une évaluation sont des éléments importants. Enfin, elle détaille la mise en œuvre de ces prescriptions dans le cadre de la réalisation d’une ZAC (Zone d’aménagement concerté), en présentant les outils nécessaires tout au long de la démarche : choix de l’aménageur, choix des promoteurs, vente des terrains et permis de construire. Lire la suite

Le Toit Angevin augmente ses composteurs collectifs dans le quartier de la Roseraie


Début octobre, le Toit Angevin a installé 2 nouveaux composteurs dans son quartier de la Roseraie, à Angers. Cette opération, rencontre un vif succès auprès des résidents. Pour le bailleur social, qui mène de front des actions écologiques comme des actions sociales, cette avancée confirme une double réussite. 

Une action favorable au Développement durable et créatrice de lien social

En collaboration avec Angers Loire Métropole et l’association Label Verte, le Toit Angevin a mis à la disposition des habitants de la Roseraie 2 nouveaux composteurs collectifs, situés Rue Marc-Sangnier et rue Maréchal-Juin. Ce quartier dispose ainsi d’une dizaine de composteurs collectifs. Lire la suite

Les perceptions sociales et pratiques environnementales des Français de 1995 à 2011

La sensibilité des Français à l’environnement est évaluée à travers le prisme de leur opinion et de leurs pratiques. Son suivi peut fournir un éclairage sur l’orientation à donner aux politiques publiques environnementales.

La mesure de l’opinion permet tout d’abord d’apprécier la demande sociale de protection de l’environnement, dans des domaines aussi divers que la pollution de l’eau et de l’air, les déchets, les risques technologiques et naturels, la biodiversité, le changement climatique, etc.

L’étude des pratiques environnementales permet, quant à elle, de mesurer l’intégration du souci de préservation de l’environnement dans les gestes quotidiens des ménages : le tri des déchets, l’économie d’énergie et d’eau, les modes de transports, par exemple.

Les enquêtes mobilisées dans ce but par le Commissariat général au développement durable (CGDD) montrent que l’adhésion à la protection de l’environnement continue de progresser depuis deux décennies même si celle-ci n’est pas la préoccupation principale des Français…les perceptions sociales et pratiques environnementales des Français de 1995 à 2011 (PDF – 948.5 ko)

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