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Malakoff Humanis présente les résultats de la première vague de son étude Télétravail en confinement @MalakoffHumanis

Source : Malakoff Humanis

Depuis, le 17 mars 2020, le télétravail est devenu une réalité pour 39% des salariés du secteur privé. La moitié d’entre eux l’expérimente pour la première fois, et 62% télétravaillent à 100%. 73% des télétravailleurs (58% des « nouveaux » télétravailleurs) souhaitent demander à pratiquer le télétravail après le confinement.

Qui sont ces télétravailleurs en confinement ? Comment vivent-ils le télétravail « à plein temps » dans cette période si particulière ? Quels sont les impacts, psychologiques notamment, de cette situation ? C’est à ces questions que répond la première vague de l’étude spécifique menée, entre le 15 et le 20 avril 2020, par le Comptoir de la nouvelle entreprise de Malakoff Humanis.

Le nouveau visage du télétravail

39 % des salariés des entreprises de plus de 10 salariés télétravaillent depuis le début du confinement (contre 30% fin 2019). La moitié d’entre eux expérimente cette forme de travail pour la première fois. En moyenne, le télétravail est pratiqué trois jours par semaine. 62% télétravaillent à 100%. Dans cette situation très particulière de télétravail généralisé et en confinement, cette pratique, telle qu’on l’entendait auparavant, n’est plus tout à fait la même.

Le télétravail en confinement est toujours majoritairement exercé par des hommes (56%), même si la proportion hommes/femmes a diminué (62% vs 38% en 2019). Les femmes sont davantage représentées (52%) chez les nouveaux télétravailleurs. 92% des télétravailleurs confinés exercent leur activité depuis leur résidence principale (dont 54% dans une maison et 46% dans un appartement). 46% vivent en couple avec enfant(s). Ils travaillent majoritairement dans le secteur des services (45%), et dans une entreprise de plus de 250 salariés (65%)…

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Le Groupe Launay, au plus proche de ses clients et partenaires @GroupeLaunay

Source : GROUPE LAUNAY

Depuis le début du confinement, le Groupe LAUNAY a su maintenir le lien avec son écosystème grâce à différents outils digitaux en complément de ses vitrines web et autres réseaux sociaux mais aussi grâce à sa capacité à organiser le télétravail dès le 1er jour.

Lundi 11 mai, le siège du Groupe LAUNAY et l’ensemble de ses agences ont réouvert. Dans ce contexte sanitaire exceptionnel, différentes mesures de sécurité ont été mises en place afin de respecter la protection de l’ensemble des salarié(e)s, mais également des entreprises partenaires et des clients.

Pour le Groupe LAUNAY, jusqu’à la fin du mois de mai, le télétravail reste privilégié mais une permanence au sein des locaux est mise en place. Parce que la santé est primordiale pour Franck et Jérôme LAUNAY, dirigeants du Groupe éponyme, plusieurs dispositifs sanitaires ont été définis et mis en place pour répondre à toutes les situations possibles afin d’éviter une nouvelle propagation du virus Covid-19.

Le siège et les agences de Nantes, Bordeaux et Lyon ont été réagencés (signalétique de circulation, mise en place de protection plexiglas, distributeurs de gel hydroalcoolique, distribution de masques chirurgicaux jetables et de masques en tissu réutilisables, tous homologués, …) pour garantir la sécurité sanitaire des collaborateurs et assurer l’accueil des clients qui n’auraient d’autre choix que les rendez-vous physiques avec nos Responsables Commerciaux…

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Les organismes Hlm de Nouvelle-Aquitaine, fragilisés par la crise sanitaire, sur le pont pour anticiper la reprise avec leurs partenaires @URHlm_NA

Source : Union Régionale HLM Nouvelle-Aquitaine

Depuis le début de la crise sanitaire liée à l’épidémie de coronavirus, les bailleurs sociaux de Nouvelle-Aquitaine se sont organisés pour assurer une continuité de service et maintenir le cadre de vie de leurs 630 000 locataires (environ 10% de la population régionale), tout en préservant la santé de tous (agents, collaborateurs, locataires).
En parallèle, ils ont travaillé main dans la main avec leurs partenaires afin d’anticiper un plan de reprise et de relance économique répondant aux enjeux du territoire. L’objectif : réorganiser l’intégralité de leurs services, mettre en place des aides financières pour les locataires et redémarrer les constructions et aménagements de logements sociaux laissés en suspens.

Une mobilisation générale pour aider les locataires et maintenir de la proximité

La région Nouvelle-Aquitaine est entrée en confinement comme le reste du territoire français le 17 mars dernier. Dans un premier temps, administrateurs, dirigeants et collaborateurs des organismes Hlm néoaquitains se sont engagés pour poursuivre leurs missions d’information et d’accompagnement de leurs locataires et maintenir, autant que possible, leurs interventions.
Le personnel de proximité, tout particulièrement les gardiens, ont assuré les missions nécessaires et essentielles que les entreprises ne pouvaient parfois plus mener, telles que le nettoyage et la désinfection des parties communes ou les interventions techniques urgentes…

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En quoi la crise du #Covid_19 aura-t-elle modifié les attentes des Français par rapport à la pierre locative ? @Seloger

Source : Se loger

Se loger

En quoi la crise du Covid-19 aura-t-elle modifié les attentes des Français par rapport à la pierre locative ? Découvrez les résultats de l’enquête que nous avons menée.

Post-confinement, 27 % des investisseurs privilégieront la proximité

Il ressort d’une étude que nous avons réalisée début avril, en partenariat avec l’Observatoire du Moral Immobilier (OMI) qu’une fois que le confinement aura été levé, 3 investisseurs sur 10 choisiront d’acheter un bien immobilier près de chez eux. En effet, investir dans la pierre locative à proximité de son lieu d’habitation est avantageux à plus d’un titre. Outre la connaissance qu’il aura – à priori – du marché immobilier local (rapport entre l’offre en logements et la demande locative, secteurs les plus recherchés, prix pratiqués…), l’investisseur verra ses démarches considérablement facilitées (travaux de rénovation, visites du bien, états des lieux). En revanche, 61 % des investisseurs interrogés ne feront pas de la proximité un critère prioritaire au lendemain du déconfinement. À ce titre, ces chiffres sont à rapprocher de ceux d’une précédente étude datant de février dernier et dont il ressortait que pour 78 % des futurs investisseurs, l’attachement affectif qu’ils éprouvaient pour le secteur au sein duquel serait situé leur achat, avait de l’importance. Loin des yeux…

40 % des investisseurs pensent d’abord à leur retraite

À la question de savoir pour quelle raison ils avaient pour projet d’investir dans la pierre locative, l’étude que nous avons conduite avec l’OMI apporte plusieurs réponses. Pour une majorité d’investisseurs (40 %), acheter un logement en vue de le louer permet de se constituer un patrimoine pour la retraite et de pallier la baisse de revenus qui s’ensuivra. D’autre part, 34 % des personnes interrogées investissent dans le but de profiter d’un complément de revenus. 9 % des sondés optent pour l’investissement locatif afin de transmettre un patrimoine à leurs héritiers. Enfin, seulement 7 % des investisseurs cherchent à payer moins d’impôt…

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Déconfinement, le début de «l’après», mais quel «après» ? @fpi_fr

Source : FPI France

Depuis ce matin, nous sommes entrés dans une période transitoire, sans doute longue, de sortie progressive de deux mois de confinement. Mobilité, commerce, travail en entreprise, télétravail et surtout vivre-ensemble vont revêtir un sens nouveau, représenter une valeur nouvelle, synonyme de liberté et de fraternité. C’est une nouvelle période qui s’ouvre, avec le sentiment que si le plus douloureux est derrière nous, le plus complexe reste à venir.

Douloureux, parce que nous sommes nombreux à avoir à avoir vu la maladie affaiblir des proches, des connaissances, des collègues, et certains pour le pire, malheureusement. Douloureux aussi, parce que nous avons vu nos entreprises durement affaiblies du jour au lendemain : plus de chantiers, plus de permis, plus de clients …

Pour autant, nos équipes et nous-mêmes avons sans doute rarement été aussi mobilisés que pendant ces deux mois, pour sauver nos entreprises et préparer « l’après » : boucler un PGE, négocier la reprise des chantiers, préparer les demandes de permis etc. Nous avons pu nous appuyer sur nos salariés qui, même dans des conditions dégradées, ont continué de faire preuve de solidarité, d’éthique et de goût de l’effort, et sur notre Fédération, dont l’équipe a cherché à fournir aux promoteurs les informations et les conseils si décisifs dans leur gestion de la crise…

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