Archives de Catégorie: économie mixte
Energie Posit’if met les gaz en Île-de-France @fedepl @GRDF
Energie Posit’if met les gaz en Île-de-France
Convention de partenariat avec GRDF, investissement dans la construction d’une unité en Seine-et-Marne… la Sem Energie Posit’if créée en 2013 par la région Île-de-France affiche un intérêt de plus en plus prononcé pour la méthanisation dans le cadre de ses activités en énergies renouvelables.
À l’occasion du dernier salon des maires, GRDF et la Sem Énergies Posit’if, spécialisée dans la rénovation énergétique des copropriétés, ont signé une convention de partenariat d’une durée de 3 ans pour développer de nouveaux projets de rénovation énergétique et favoriser l’essor de la filière de méthanisation en Île-de-France. Les 2 acteurs s’engagent ainsi à identifier les copropriétés nécessitant des rénovations, plus précisément celles chauffées au fioul, pour les accompagner dans leurs travaux. Par ailleurs, les 2 partenaires entendent faciliter l’émergence de projets de méthanisation.
« La méthanisation est un axe de travail pour valoriser, dans le cadre de l’économie circulaire, les déchets, indique Raphaël Claustre, directeur général d’Énergies Posit’if. Il s’agit à la fois d’une transition énergétique, avec l’injection de gaz renouvelable dans le réseau, et d’une transition agricole grâce au retour vers le sol des matières organiques ». Le défi est colossal : en Île-de-France, 95% de l’énergie consommée est issue de sources non-renouvelables.
Le poids des chiffres
Créée en 2013, la Sem Énergies Posit’if présente un bilan impressionnant : 44 copropriétés ont signé un contrat avec elle, 12 d’entre elles ont lancé des travaux (6 000 logements à rénover), ce qui permettra d’éviter l’émission de 4 560 tonnes de CO2 chaque année. Ces copropriétés réalisent en moyenne 47 % d’économies d’énergie.
10 millions d’€ pour rénover le collège Évariste Galois @grandlyon
Source : Grand Lyon la métropole
36 mois de travaux et 10 millions d’euros d’investissements ont permis à la Métropole de Lyon de rénover en profondeur le collège Évariste Galois de Meyzieu. Espaces extérieurs, salles de classe, ateliers de SEGPA, restaurant collectif, CDI… c’est un bâtiment plus confortable, moderne et fonctionnel qu’ont découvert les 800 collégiens et personnels lors de la rentrée 2017.
FedEpl et ADF : un 1er bilan de la loi NOTRe et Epl départementales @fedepl
FedEpl et ADF dressent un premier bilan de l’application de la loi NOTRe par les Epl départementales
Les Entreprises publiques locales départementales font évoluer leur gouvernance, activité et stratégie depuis le vote de la loi NOTRe en août 2015. C’est la principale information du bilan d’étape dressé par la Fédération des Epl (FedEpl) et l’Assemblée des Départements de France (ADF), même si les situations sont contrastées entre les territoires et que des discussions entre collectivités, voire des difficultés demeurent. La FedEpl et l’ADF s’engagent à poursuivre le recensement des bonnes pratiques pour accompagner les initiatives de leurs membres.
297 Entreprises publiques locales ont un Conseil départemental actionnaire dont 140 comme actionnaire public de référence. Dès mars 2016, la FedEpl et l’ADF ont publié une analyse commune de l’article 133 de la loi NOTRe encadrant les actions des Départements dans les Epl, en précisant notamment que l’obligation de cession partielle des actions d’un Département s’applique uniquement lorsque la totalité de l’objet social d’une Epl est couvert par une compétence départementale attribuée à un autre échelon de collectivité. Par ailleurs, elle ne s’impose pas aux Sociétés publiques locales (Spl) non mentionnées par le texte législatif.
Plusieurs cas de figure
Deux ans après cette initiative, un premier état des lieux a été dressé :
– à l’initiative des Départements, près de 100 Epl ont engagé une évolution de leur actionnariat afin de céder des actions départementales aux intercommunalités ou à la Région. Près de 20 % de ces sociétés sont des Spl, ce qui témoigne d’une volonté de réorienter l’action publique, au-delà de l’article 133 de la loi NOTRe qui ne visait que les Sem et Spla ;
– d’autres Epl visées par l’article 133 ont fait le choix de conserver leur actionnariat départemental en modifiant leur activité et leur objet social ;
– des rapprochements sont intervenus entre les Départements et leurs Epl, allant jusqu’à la fusion d’Epl départementales ;
– des Départements souhaitant céder leurs parts sociales en cas de modification du champ de leurs compétences font état de difficultés. La moitié des collectivités ayant engagé des cessions d’actions départementales déclarent d’ailleurs en rencontrer pour valoriser leurs actions, trouver des acquéreurs ou poursuivre l’activité de leur société.
Villeurbanne La Soie en pleine effervescence ! @villeurbanne @grandlyon #vidéo
Source : Grand Lyon La métropole
Carré de Soie : ça bouge du côté de Villeurbanne La Soie
Dans le cadre du projet urbain Carré de Soie, le secteur de Villeurbanne – La Soie est en pleine effervescence avec des livraisons d’immeubles de bureaux…
Lyon : la Sacvl au secours de la qualité de l’air @villedelyon @grandlyon
La Sacvl au secours de la qualité de l’air
En amont d’une réglementation encore à venir, la Société anonyme de construction de la ville de Lyon (Sacvl) s’attaque à la qualité de l’air intérieur de ses 7700 logements. Une action carrément « révolutionn’air ».
Pas obligatoire, juste essentielle… Si l’obligation de mesure de la qualité de l’air est applicable aux crèches et aux écoles depuis janvier¹, rien n’est encore prévu pour les logements. Or, l’air intérieur est 5 fois plus pollué qu’à l’extérieur !
Selon Santé publique France, 48 000 Français meurent même tous les ans à cause des polluants présents chez eux ou sur leur lieu de travail, fléau auquel le pays paierait chaque année un tribut de 38 milliards d’euros (estimation 2016). « La Sacvl ne pouvait donc continuer d’ignorer cette réalité », pose William Hechinger, responsable la cellule Energie de l’Epl.
Le front de l’air est multiple
Un plan sur 8 ans décline une attaque sur tous les fronts. Le premier est évidemment la pollution extérieure, dont une fraction pénètre dans les bâtiments. « Mais les principales sources relèvent de l’activité humaine elle-même« , souligne le professionnel : colles mobilières, produits d’entretien, bougies odorantes, tabac… et matériaux du bâtiment !