Archives de l'année 2020

Spie batignolles, avec le soutien du @Réseau SATT, lance le « Challenge Innovation ouverte » : les candidatures sont ouvertes ! @Spiebatignolles

Source : Réseau SATT et SPIE Batignolles

Spie batignolles, groupe indépendant et acteur majeur du bâtiment, des infrastructures et des services, lance son premier concours “Challenge Innovation Ouverte” à destination des jeunes entreprises innovantes et des équipes scientifiques issues de la recherche publique. Le Réseau SATT, association qui fédère les SATT – Sociétés d’accélération du Transfert de technologies – l’accompagne dans la mise en œuvre et la diffusion des défis aux écosystèmes d’innovation du territoire, l’émergence des propositions de laboratoires et start-up.

Consulter le communiqué de presse

LA DÉLÉGATION AUX COLLECTIVITÉS TERRITORIALES PUBLIE 25 PROPOSITIONS POUR DÉVELOPPER L’INGÉNIERIE DANS LES TERRITOIRES ET PRIORISER L’ACTION DE L’ANCT EN FAVEUR DES PROJETS LOCAUX

Source :SENAT

La délégation sénatoriale aux collectivités territoriales, présidée par M. Jean-Marie BOCKEL (Haut‑Rhin – Union Centriste), a publié les conclusions du rapport d’information de Mme Josiane COSTES (RDSE – Cantal) et M. Charles GUENÉ (Les Républicains – Haute Marne) « Les collectivités et l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) au défi de l’ingénierie dans les territoires ».

Depuis janvier 2020, les rapporteurs ont entendu une cinquantaine de personnalités et se sont rendus à Vesoul (Haute-Saône) et Saint-Brieuc (Côte d’Armor) en vue d’examiner les défis techniques et administratifs auxquels font face les élus locaux pour développer et aménager leurs territoires. Ils ont également souhaité consulter les élus sur le soutien qu’ils attendent de l’ANCT, créée le 1er janvier 2020 en application de la loi du 22 juillet 2019 portant création d’une Agence nationale de la cohésion des territoires.

Lire le communiqué de presse

Concessions routières : des profits futurs à partager équitablement avec l’Etat et les usagers

Source :  Sénat

Les concessions autoroutières font régulièrement l’objet de polémiques en raison de leur surrentabilité présumée. Afin d’éclairer le débat public et de préparer la fin des concessions le Sénat a, à la demande du groupe Union centriste, créé une commission d’enquête sur le contrôle, la régulation et l’évolution des concessions autoroutières.

À l’issue de sept mois de travaux, le rapport de Vincent Delahaye (Union centriste – Essonne), adopté mercredi 16 septembre, dresse trois principaux constats :

1 – Le processus de cession au secteur privé a fait perdre à l’État 6,5 milliards d’euros de recettes potentielles (7,8 milliards d’euros en valeur 2020).
L’État a procédé à l’ouverture partielle du capital des sociétés d’autoroutes «historiques» (ASF, Sanef et APRR) entre 2002 et 2005 avant de les privatiser en 2006. Cette cession en plusieurs temps lui a fait perdre 5,3 milliards d’euros de recettes potentielles, auxquelles on peut ajouter l’absence d’offres concurrentes pour ASF dont Vinci détenait déjà 23% du capital qui a conduit à une sous-évaluation du prix de vente estimée à 1,2 milliard d’euros.

2 – Deux des trois groupes autoroutiers pourraient atteindre la rentabilité attendue lors de la privatisation 10 ans avant la fin des concessions
Même si la rentabilité des concessions autoroutières ne pourra être définitivement mesurée qu’à la fin des concessions, il peut d’ores et déjà être constaté que les principaux paramètres économiques et financiers des concessions ont évolué favorablement, ce qui a permis aux sociétés d’autoroutes de verser un niveau exceptionnel de dividendes à leurs actionnaires (24 milliards d’euros entre 2006 et 2019).

Sur la base d’hypothèses prudentes, une étude indépendante demandée par le rapporteur anticipe une rentabilité très élevée d’ici la fin des concessions. Les groupes Vinci Autoroutes et Eiffage atteindraient la rentabilité attendue lors de la privatisation autour de 2022, soit 10 ans avant la fin de leurs concessions. Les résultats du groupe Sanef seraient en revanche en ligne avec les prévisions.

3 – Les relations entre les sociétés d’autoroutes et l’État restent déséquilibrées
Les contrats de concession n’ont pas été revus lors de la privatisation. De ce fait, l’État s’est trouvé en position de faiblesse lors des négociations de programmes d’investissement complémentaires (Paquet vert autoroutier de 2008, plan de relance autoroutier de 2015 et plan d’investissement autoroutier de 2017), ce qui l’a conduit à accepter des taux de rentabilité trop élevés par rapport aux conditions de marché et donc des allongements de la durée des concessions et des augmentations tarifaires excessives.

La mise en place d’une régulation indépendante confiée à l’ART (Autorité de régulation des transports) a permis de renforcer le contrôle du secteur. Toutefois, comme l’a indiqué le rapporteur Vincent Delahaye : « Face à ces constats, le statu quo n’est pas possible. Il est impératif de mieux partager les profits des sociétés d’autoroutes avec l’État et les usagers et de rééquilibrer les relations entre le concédant et les concessionnaires ».

…Lire la suite

Magali Cambon nommée Directrice Générale Adjointe de PATRIMOINE SA Languedocienne

Source : Patrimoine SA LANGUEDOCIENNE

Directrice des Services depuis 2012, Magali Cambon assure dans le cadre de ses missions le pilotage de l’ensemble des fonctions supports de l’entreprise (comptabilité, juridique, informatique, RH, communication…) et œuvre à la mise en place de projets fortement stratégiques. Nommée Directrice Générale Adjointe le 1er juillet, elle devient ainsi le bras droit du Directeur Général, Pascal Barbottin.

A ce titre, la nomination de Magali Cambon s’accompagne de plusieurs évolutions au sein du CODIR.

Lire le communiqué de presse

50 000 logements pour une relance écologique, socialement juste et territorialement équitable @LesCoopHlm

Source : La Fédération des Offices Publics de l’Habitat

La Fédération des Offices Publics de l’Habitat a pris connaissance avec beaucoup d’intérêt des mesures du plan France Relance présenté le jeudi 3 septembre 2020 par le Gouvernement. Pour ce qui concerne le volet logement social, nous notons qu’une enveloppe de 500 millions d’euros de subventions pour les années 2020 et 2021 est affectée à la rénovation énergétique et à la restructuration-réhabilitation lourde d’une partie du parc social située notamment, et c’est une bonne chose, dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville et en territoires détendus. Ce volet vise un objectif de 40 à 50 000 logements traités essentiellement sur un plan thermique, avec des exigences très élevées.

 

En savoir plus

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer