Archives du 29 décembre 2016
Val d’Oise Habitat réagit au décret de dissolution de l’Opievoy @valdoisehabitat
Parution du décret relatif à la dissolution de l’OPIEVOY, paru au Journal Officiel le 29 décembre 2016
DIFFUSÉ LE 29/12/2016
Le décret relatif à la dissolution de l’OPIEVOY au 31 décembre 2016, est paru au Journal Officiel du 29 décembre 2016. Mettant fin officiellement à l’existence de cet Office interdépartemental créé en 1920, ce décret marque la dernière étape d’un processus qui aura débuté avec la loi du 24 mars 2014 dite « loi ALUR » interdisant le rattachement d’un office public de l’habitat à plusieurs collectivités territoriales.
Pour le Val d’Oise, ce décret de dissolution acte, dès le 1er janvier 2017, le transfert universel de 9131 logements sociaux OPIEVOY situés dans 27 communes de notre département à l’office public Val d’Oise Habitat.
Outre la reprise de 150 salariés, cette dévolution de patrimoine s’accompagne également du transfert de l’actif, du passif, de l’ensemble des droits et obligations y étant attachés et d’une quote-part de la trésorerie de l’OPIEVOY, permettant ainsi à Val d’Oise Habitat de poursuivre ou de lancer des travaux d’investissement sur les programmes immobiliers repris.
« Nous sommes particulièrement heureux d’intégrer ce nouveau patrimoine qui nous permet de poursuivre notre développement, souligne Xavier Haquin, Président de Val d’Oise Habitat et Conseiller départemental délégué au logement. Nous allons maintenant tout mettre en œuvre pour accueillir comme il se doit ces nouveaux locataires et les nouveaux collaborateurs de l’Office ».
L’intégration de ce nouveau patrimoine créé une dynamique nouvelle et l’élan nécessaire permettant au Département du Val d’Oise de disposer d’un of ce public de 20 000 logements, profondément restructuré et modernisé, implanté dans tous les secteurs du territoire et capable de mener des politiques publiques départementales ambitieuses en matière de logement, préoccupation majeure de nos administrés comme des élus locaux…en savoir plus…
La « Journée de l’innovation partagée », organisée par Bouygues Construction @Bouygues_C
BOUYGUES CONSTRUCTION ORGANISE LA JOURNEE DE
« L’INNOVATION PARTAGEE » ET FAIT DE CETTE AMBITION SA NOUVELLE SIGNATURE DE MARQUE
La « Journée de l’innovation partagée », organisée par Bouygues Construction, s’est déroulée le 14 décembre à Challenger autour de 2 temps forts : Matching’Up – un carrefour de rencontres avec des start-up – et la remise des prix du 6ème Concours de l’innovation. Démonstrations des dernières innovations du Groupe et de ses partenaires, concours de talents internes, conférences sur les nouveaux usages et large place accordée au digital ont rythmé les échanges.
Fil rouge de cette journée réunissant clients, partenaires et collaborateurs : « L’innovation partagée / Shared Innovation », une ambition que Bouygues Construction revendique désormais dans sa nouvelle signature de marque.
« Bouygues Construction fait de l’innovation sa première valeur ajoutée : une « innovation partagée » au bénéfice de ses clients, tout en améliorant sa productivité et les conditions de travail de ses collaborateurs – notamment sur les questions de santé-sécurité. Du développement immobilier jusqu’à la déconstruction, en passant par le financement, la conception-réalisation, la conduite du chantier, l’exploitation et la maintenance… L’innovation est partout.
Nous l’encourageons à chaque étape de nos projets. Chaque jour, elle nous engage à nous réinventer.» a déclaré Philippe Bonnave, Président-Directeur Général de Bouygues Construction, en conclusion de cette journée.
Matching’up, un carrefour dédié aux rencontres avec les start-up les plus en pointe du secteur, a permis à une douzaine d’entre elles de présenter leurs innovations pour réinventer les bureaux du futur. 170 start-up et PME avaient candidaté pour imaginer les nouveaux espaces de travail.
..en savoir plus…
Accord financier État-collectivités pour la construction du canal Seine-Nord @l_amf
L’État, les régions Hauts-de-France et Ile-de-France et les départements intéressés sont parvenus lundi à « un accord sur un projet de protocole financier » pour la réalisation du canal Seine-Nord Europe, un projet de 4,5 milliards d’euros jusqu’ici sans cesse repoussé, a annoncé le secrétaire d’État aux Transports Alain Vidalies.
Cet ouvrage reliera les bassins de la Seine et de l’Oise au réseau européen du nord de l’Europe, devenant une voie à grand gabarit et en partie alternative au trafic routier sur un axe économique de premier plan.
« Alain Vidalies et les collectivités se félicitent de l’aboutissement de cette phase de négociation, qui vient marquer le volontarisme et l’engagement de l’ensemble des partenaires pour la réalisation de ce projet majeur soutenu par l’Europe, au service des territoires et de l’économie nationale », selon un communiqué du secrétariat aux Transports.
Il y a tout juste une semaine, le Premier ministre Manuel Valls avait réaffirmé la volonté de l’État de voir « débuter les premiers travaux dès l’année prochaine ». Ils doivent s’achever en 2024. Le coût estimé de 4,5 milliards d’euros s’entend hors taxes.
Longue de 107 kilomètres, située entre Compiègne et le canal Dunkerque-Escaut, la nouvelle infrastructure empruntera en partie le tracé actuel du canal du Nord, dont les voies, actuellement de 14 à 17 mètres de large, devront être élargies à 54 mètres. Six écluses et 61 ponts routiers et ferroviaires devront être construits.
Le nouveau canal permettra ainsi le transport de chargements qui atteindront, par convoi, jusqu’à 4.400 tonnes, soit un équivalent de près de 180 poids-lourds. Le report de trafic de la route à l’eau doit faire baisser les émissions de gaz carbonique et décongestionner les autoroutes régionales.
Avant une réunion décisive qui s’est tenue lundi au ministère des Transports, le financement était ainsi réparti: 1,8 milliard d’euros de l’Union européenne (soit 40 %), 1 milliard de l’État et 1 millard des collectivités, et 700 millions d’emprunt. Cet emprunt sera « garanti ensemble par l’État et les collectivités », selon la région Hauts-de-France.
Engie rejoint la charte « Entreprises & Quartiers » @ENGIEgroup @Ville_gouv
Source : Ville.gouv.fr – Ministère de la Ville
Engie rejoint la charte « Entreprises & Quartiers »
Lancée en 2013 dans le cadre du plan « Entrepreneurs des quartiers », la Charte « Entreprises et Quartiers » engage les signataires à favoriser, pour les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville, l’accès à l’emploi ou la création d’entreprises, mais également à agir pour le développement économique, social et culturel dans différents domaines tels que : l’éducation, l’orientation, la médiation, les services à la population, le soutien à l’entrepreneuriat, les clauses d’insertion.
Engie – qui emploie près de 153 000 salariés dans le monde – vient de signer la charte « Entreprises & Quartiers » avec le ministre, ce matin, à Saint-Ouen (93). Le fournisseur d’énergie a choisi de leur apporter des perspectives de développement de compétences et d’emploi par le biais d’interventions en classe, d’accueil en stage d’élèves de 3e issus de quartiers, soutien à la création d’activités ou encore de partenariats avec les centres communaux d’action sociale.
« Nos quartiers populaires ont des taux de chômage deux fois supérieurs à la moyenne nationale. Ce n’est pas tenable, ni pour ces quartiers ni pour notre cohésion nationale, a pointé Patrick Kanner. Et pourtant, ces quartiers regorgent de talent et d’énergie. (…) Notre préoccupation commune, parce que nous voulons la réussite de nos territoires, de notre pays, et de nos entreprises, c’est l’emploi, et singulièrement l’emploi des jeunes. »
StayHome, la 1ère plateforme de portage immobilier entre particuliers
Source: StayHome
StayHome est une start-up française évoluant dans le domaine de l’immobilier. Créée en 2011 à Montpellier par un ancien banquier Patrick Drack et le promoteur Christian Lachaux, cette start-up vient en aide aux propriétaires surendettés.
En France, ils sont à plus de 15 000 biens immobiliers saisis pour cause de surendettement, de plus, environ 250 000 particuliers ayant contracté un crédit immobilier sont déjà surendettés et se trouvent d’énorme difficulté de respecter leur échéance, et au bout de 3 échéances non payés, la banque passe à autre chose, en commençant par entamer un processus judiciaire allant jusqu’à la saisie du bien.
Pour sortir les propriétaires dans ce bourbier, StayHome, à travers sa plateforme, propose de mettre en relation propriétaires et investisseurs en favorisant un placement éthique afin d’éviter une éventuelle saisie immobilière.
Comment ça fonctionne?
L’idée c’est de permettre aux propriétaires en difficultés de rencontrer un investisseur qui propose de racheter temporairement le bien à hauteur de 70 à 80% de sa valeur, afin qu’ils soient en mesure de solder leur dette. Et le propriétaire dispose d’un délai de cinq ans pour racheter son bien après remboursement complet de la dette. StayHome perçoit une commission proche de celle d’un agent immobilier et l’investisseur se rémunère avec les loyers perçus pendant 1 an minimum, un placement offrant 6,5% d’intérêt.
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