Archives Mensuelles: octobre 2011

Baromètre de confiance des Français à l’égard des associations et fondations


Le Baromètre TNS SOFRES montre que les associations et fondations faisant appel à la générosité publique  bénéficient d’un regain de confiance au sein du grand public… mais cette confiance reste relative

Près de la moitié des Français (48 %) déclarent avoir confiance dans les associations et fondations faisant appel à la générosité publique, un score en hausse de 7 points par rapport à 2010. Ce sont notamment les moins de 35 ans, les catégories socioprofessionnelles aisées et les donateurs (réguliers et occasionnels) qui adoptent cette année une posture plus confiante que l’an dernier.  Ce regain de confiance est d’autant plus remarquable qu’il intervient à une période où la crise de confiance à l’égard des institutions ne s’est pas résorbée. Les associations et fondations peuvent apparaître parmi les derniers garants des valeurs de solidarité et de proximité, derrière les associations de défense de consommateurs, au plus haut dans la confiance (83 %, + 3 points). 

Même s’il est en hausse, le pourcentage de Français déclarant avoir confiance dans les associations et fondations reste inférieur à 50% ; seuls 4% des interviewés se sont déclarés très confiants à l’égard des associations et fondations, et cette proportion n’a pas évolué en un an.

La confiance dans le monde associatif n’empêche pas la défiance à  l’égard de certaines associations et fondations 

84% des Français déclarent avoir déjà ressenti de la méfiance à l’égard de certaines associations ou fondations, dont 39% souvent, ce qui ne signifie pas un rejet en bloc de tous les acteurs du secteur. Les raisons de méfiance spontanément invoquées sont la rémanence de scandales médiatiques même très anciens (cités à 36%), mais aussi le manque de transparence («On ne sait plus où vont les fonds.») et de lisibilité dans l’action menée (évoqué par 29% des personnes interrogées) et, pour certains, la non affectation partielle ou totale des fonds à la cause annoncée au départ (14%), ou encore un malaise dû aux sollicitations reçues (10%).

Méfiance ne signifie pas arrêt systématique du don.  Cependant, 65% des donateurs citent au moins un facteur de méfiance qui les a décidés à se détourner d’une association.  Par ailleurs, c’est un facteur lar‐gement mis en avant par les non donateurs pour justifier le fait qu’ils ne donnent pas.

Un nécessaire contrôle de la rigueur et de la transparence… 

Les trois quarts des personnes interrogées présentent une très forte attente de contrôle à l’égard des associa‐tions et fondations : contrôle comptable et financier, mais pas seulement. Il doit aussi porter sur le respect d’engagements plus qualitatifs (affectation des dons, orientation de l’action).  Or, la bonne conduite des associations et fondations en la matière reste néanmoins sujette à caution : seul un peu plus du tiers des personnes interrogées estime que les associations et fondations sont performantes sur ce sujet.

… mais pas seulement : le contrôle externe doit aussi porter sur le respect d’engagements plus qualitatifs

 Les attentes des Français sont également fortes quant aux preuves et garanties qu’ils souhaiteraient recevoir des associations et fondations concernant l’efficacité de leurs actions (attente encore plus fortement marquée chez les jeunes, à 71%), l’affichage clair de leur vocation et le respect de la volonté du donateur en ce qui concerne l’orientation des dons. S’il s’agit de critères sur lesquels les critiques sont moins vives que sur la rigueur de la gestion et la transparence financière, ils sont néanmoins fortement contributifs dans la construction de la confiance.

Internet : un impact encore restreint, en positif comme en négatif…  …excepté chez les jeunes 

Internet joue aujourd’hui un rôle encore limité dans la confiance à l’égard des associations et fondations, au sein du grand public.

Auprès des jeunes, la relation avec les associations et fondations se construit davantage sur le web. Ils se disent sensibles à l’information qui y circule : information délivrée par les ONG sur leur site et buzz émanant des blogs et forums. Le quart des jeunes donateurs déclare avoir décidé de faire un don à la suite d’une visite de l’un de ces sites et 43 % d’entre eux considèrent que le buzz autour des associations et fondations sur Internet impacte leur confiance (contre 27 % au sein du grand public).

La Franche-Comté lance sa marque: « L’Originale »

La mise en service du TGV apporte des perspectives de développement majeures pour la région, les 4 grands pôles urbains de Besançon, Belfort, Dole et Montbéliard, ainsi que pour le Jura suisse voisin. Afin d’accompagner cette petite révolution et d’anticiper « l’effet TGV », la Région, en partenariat avec ces collectivités, lance une campagne de promotion visant à renforcer l’attractivité globale du territoire. Le public : les entreprises qui souhaiteraient s’implanter ou se développer, les nouveaux (et futurs) habitants, mais aussi les touristes, d’un week-end ou d’une semaine, venus de l’Ile-de-France, de l’Allemagne, de la Suisse, de la Bourgogne, de l’Alsace, de Rhône-Alpes…

Au coeur de cette campagne : la marque « L’Originale ». Originale car préservée et authentique, originale car unique, la Franche-Comté dispose de tous les atouts pour mobiliser des ambassadeurs passionnés. Cette marque va vivre dans le cadre d’un dispositif de campagne ambitieux dans ses créations, mais aussi dans sa mécanique digitale, relations publiques et média.

À travers le prisme de « L’Originale », il s’agit de révéler les points forts de la région et de construire une image d’ensemble. Un espace contrasté où se croisent technologies de pointe et savoir-faire artisanaux ancestraux, une position frontalière qui pousse à l’exploration et lui confère un tempérament avant-gardiste, un territoire à taille humaine et en même temps de grands espaces qui exaltent le sentiment de liberté qu’offrent une nature sauvage et préservée, une histoire patrimoniale qui vit un peu chez tous les Francs-Comtois…

En bref : un portrait en relief d’une région unique au fort potentiel d’avenir, une campagne ambitieuse, et une petite révolution au service de l’image de la région et des territoires partenaires…Plus d’informations sur le portail de la marque

Un nouveau portail pour la Fonction publique

François SAUVADET, ministre de la Fonction publique, a présenté aujourd’hui le nouveau portail de la fonction publique : www.fonction-publique.gouv.fr

Plus intuitif et plus dynamique, ce nouveau site répondra aux questions de toutes celles et tous ceux qui souhaitent s’informer sur la fonction publique, agents ou grand public. Accessible par thématiques, ou par profils (« je travaille dans la fonction publique », « je m’informe sur la fonction publique »), l’information recherchée est rapidement identifiée grâce à une navigation simplifiée.

Pour François SAUVADET, « ce portail accompagne les évolutions du ministère de la Fonction publique et doit devenir le site de référence pour les autres ministères, les agents, les gestionnaires RH, les parlementaires, les organisations syndicales, les journalistes, les chercheurs, les étudiants, et tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à la fonction publique. »

Plus facile d’accès, ce portail répond aux nouvelles attentes des internautes en proposant :

􀂃 Un large espace dédié à l’actualité et aux dossiers de fond
􀂃 L’accès à l’ensemble des publications produites par la DGAFP, à toutes les statistiques disponibles et à de nombreuses FAQ thématiques
􀂃 Les informations relatives au recrutement et aux concours (SCORE : Site des concours et des recrutements de l’Etat)
􀂃 Les offres de postes vacants grâce à la BIEP (Bourse interministérielle de l’emploi public)
􀂃 Le suivi des textes règlementaires et des jurisprudences grâce à la BJFP (Base de données juridiques de la fonction publique)

Seul support de communication interministériel, la lettre électronique Trajectoires qui présente chaque mois les avancées en matière de gestion des ressources humaines dans les trois fonctions publiques, sera également accessible depuis la page d’accueil du site. Disponible sur simple abonnement, on y trouve de nombreux témoignages de terrain, portraits et interviews qui permettent de suivre les grands chantiers en cours en y abordant des sujets divers tels que : le dialogue social, le reflet de la diversité, les conditions de travail, etc…Télécharger le communiqué de presse en PDF

La FHF créée l’association pour le développement du service public médico-social


Comment répondre aux appels à projet ?

Le Conseil d’administration de la Fédération hospitalière de France a approuvé lors de sa séance du 28 septembre la création de l’association pour de le développement du service public médico-social (ADSPMS).

Cette association dont les statuts seront déposés très prochainement, aura pour mission, en partenariat avec les opérateurs du secteur public, de répondre aux appels à projet, concernant la  création de lits d’EHPAD notamment.

Répondre à  la procédure d’appel à projets mise en place dans le secteur médico-social  sera très difficile pour les établissements publics en raison des délais de réponse courts (60 à 90 jours) imposés par la loi. En effet,  le code des marchés publics auquel sont soumis les établissements publics rend impossible le respect de tels délais, et le coût des études préalables est peu supportable par de petits établissements isolés.

C’est pourquoi la FHF a souhaité créer une association afin de garantir la pérennité du service public dans le secteur médico-social sur l’ensemble du territoire : des places de qualité, accessibles financièrement à l’ensemble de la population et inscrites dans une filière de soins cohérente. 

HABITAT 35 s’associe à SANDEN pour réduire les charges de ses locataires

HABITAT 35 tisse un partenariat avec l’équipementier automobile SANDEN pour la mise en place de pompes à chaleur « aquaeco2 » pour l’eau chaude sanitaire. 9 logements bénéficieront de cette solution innovante et économe sur la commune de Retiers. Une innovation !

HABITAT 35 confie au groupe japonais SANDEN (fournisseur majeur de PSA) la mise en place de pompes à chaleur dernière génération des 9 logements locatifs à Retiers, au sud de l’agglomération rennaise. Cinq pavillons (1 T3, 3 T4 et 1 T5) et quatre T2 semi-collectifs vont bénéficier d’une technologie « propre ». L’opération sera 10 % supérieure aux exigences de la norme THPE (Très Hautes Performances Énergétiques). Lire la suite

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