Archives Mensuelles: février 2011
AMORCE / Association Nationale des collectivités, des associations et des entreprises pour la gestion des déchets
AMORCE, association nationale des collectivités, des associations et des entreprises pour la gestion des déchets, de l’énergie et des réseaux de chaleur. Fondée en 1987 avec une cinquantaine d’adhérents, elle en fédère aujourd’hui près de 600.
L’association AMORCE se positionne à la fois comme une force de propositions mais aussi comme un lieu d’échanges et d’information au service des collectivités territoriales, des associations et des entreprises. L’association intervient sur 3 domaines majeurs que sont:
- Le traitement des déchets municipaux
- L’énergie et le changement climatique
- Les réseaux de chaleur
Télécharger la plaquette de présentation d’AMORCE
Retrouvez dès à présent le lien de l’association AMORCE sur le blog des institutionnels en cliquant ci-dessous
ASSOCIATION AMORCE
Les déchets municipaux gérés par les collectivités locales en 2008
En France, en 2008 les déchets collectés par les municipalités (hors déblais et gravats) atteignent 34,5 millions de tonnes, soit 539 kg par habitant et par an. La production de déchets en mélange (poubelle résiduelle) baisse au profit de la collecte sélective…
Consulter le communiqué officiel sur le site du ministère de l’écologie
Avec la Société publiques locale « Eau du Ponant », Brest Métropole Océane se dote d’un nouvel outil pour assurer la gestion de son eau potable
Maxime Paul : « La Spl, un outil de transparence »
Avec la Société publiques locale « Eau du Ponant », Brest Métropole Océane (BMO) se dote d’un nouvel outil pour assurer la gestion de son eau potable. Elle prendra le relais en 2012 du contrat de délégation de service public passé avec Veolia 25 ans plus tôt. Rencontre avec Maxime Paul, vice-président de la Spl et de la communauté urbaine bretonne.

Servir le Public : Pourquoi la création d’une Société publique locale pour gérer l’eau de la Communauté urbaine de Brest ?
Maxime Paul : Pour plusieurs raisons. C’est d’abord la décision d’un retour à une gestion publique, car il semble qu’un service de cette nature doit garder une maîtrise publique. C’est ensuite pour un motif territorial. Brest métropole océane et trois syndicats voisins, du Chenal du Four, de Kermorvan et de Landerneau, ont décidé de travailler ensemble. Une Spl était l’outil le plus adapté à une mutualisation des moyens tout en laissant à chaque territoire l’autonomie et l’initiative indispensables sur le plan, par exemple, de la politique tarifaire ou encore du montant des investissements. A l’inverse, un syndicat mixte aurait été obligé d’unifier le service pour l’ensemble des 280 000 habitants concernés sans pouvoir se caler sur les spécificités locales…lien vers le site de la fédération des EPL…