Archives du blog
Rennes, Métropole numérique
French Tech Rennes Saint-Malo, Pole Images & Réseaux, IRT Bcom, Rennes Atalante… Entre labellisations, recherche et incubateurs, le numérique s’est imposé, au fil des ans, comme un pilier de l’économie métropolitaine. Le sujet a été abordé lors du conseil métropolitain du 2 juin.
Avec 10% de croissance par an depuis plus de vingt ans, la filière du numérique s’impose comme une dimension essentielle du développement économique et du rayonnement du territoire. Ingénierie, cybersécurité, e-services, webmarketing… l’écosystème représente 24 000 emplois à l’échelle de la Métropole. « L’objectif, pour les dix prochaines années, est de créer 1000 emplois par an dans la filière », a annoncé Gaëlle Andro, 1ère vice-présidente de Rennes Métropole en charge du Développement économique, de l’emploi et des finances, lors du conseil métropolitain du 2 juin.
Un développement qui passera par l’accompagnement des entreprises, notamment issues de filières traditionnelles, dans leur transformation numérique. « L’ensemble des acteurs doit utiliser le numérique comme un vecteur de croissance, souligne Gaëlle Andro. Nous devons soutenir la mutation des entreprises existantes. » L’un des leviers pour y parvenir : les start-up. Une subvention de fonctionnement de 503 000 € et une subvention d’investissement de 100 000 € ont ainsi été attribuées, au titre de l’année 2016, à l’association La French Tech Rennes Saint-Malo. Son rôle : booster les start-up du territoire en France et à l’international, en développant les programmes dont elles ont besoin, en fédérant tous les acteurs du développement sur le territoire, et en favorisant la transition numérique des entreprises.
> Source : metropole.rennes.fr
>De Leblogdesinstitutionnels
https://plus.google.com/107146227449191020933/« >Mon profil Google
http://leblogdesinstitutionnels.fr/about-me » rel= »author »> Ma bio en résumé
Les jardins partagés pour dynamiser les quartiers
LES JARDINS PARTAGÉS POUR DYNAMISER LES QUARTIERS ET LES TERRITOIRES
Depuis une vingtaine d’années, les villes voient se développer des expériences de jardins collectifs, notamment dans le cadre de la politique de la ville, qui ont pris le relais des jardins ouvriers du XIXe siècle.
D’abord imaginés pour permettre aux familles ouvrières de subvenir à leurs besoins alimentaires, ces jardins d’un nouveau type poursuivent, de façon très originale et en les combinant, des objectifs sociaux, économiques, écologiques, culturels et participatifs.
Ils conquièrent les « délaissés » des villes et permettent une nouvelle forme d’appropriation du territoire, impliquant les habitants dans
la réalisation de villes plus durables et dans l’écriture de nouveaux paysages urbains.
COMMENT DÉFINIR UN JARDIN PARTAGÉ ?
Les jardins partagés ne sont pas à proprement parler un dispositif, ce sont des actions d’initiative locale por- tées par des associations, des municipalités (via des régies de quartier), des collectifs d’habitants, avec des contextes de création toujours singuliers, des implan- tations diversi ées et des modes de fonctionnement extrêmement variés. Le réseau national des jardins partagés, qui fédère les réseaux régionaux d’appui à leur développement, en dénombre plus de mille. Créés ou animés collectivement, les jardins partagés visent le développement des liens sociaux de proximité au moyen d’activités sociales, culturelles ou éducatives accessibles au public. On peut distinguer les jardins familiaux – terrains divisés en parcelles, affectées par les collectivités territoriales ou par les associations à des particuliers y pratiquant le jardinage pour leurs propres besoins et ceux de leur famille – et les jardins d’insertion – créés ou utilisés en vue de favoriser la réinsertion de personnes en situation d’exclusion ou en dif culté sociale ou professionnelle.
…en savoir plus…
Grand Nancy : la 15e métropole dés le 1er juillet 2016
Source : www.franceurbaine.org
André Rossinot, président du Grand Nancy et secrétaire général de France urbaine, Laurent Hénart, maire de Nancy et Matthieu Klein, président du conseil départemental de Meurthe et Moselle, ont accueilli, vendredi 22 avril 2016, Jean-Michel Baylet, ministre de l’Aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales, venu à Nancy signer le décret confirmant la transformation, à compter du 1er juillet 2016, de la communauté urbaine en métropole. Une évolution majeure pour un territoire moteur du développement de la coopération intercommunale dans notre pays.
C’est une étape importante pour la collectivité, dont la transformation de communauté urbaine en métropole répond à tous les critères de la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (MAPTAM), adoptée en janvier 2014.
Cette reconnaissance nationale couronne un processus de plus d’un demi-siècle d’intercommunalité. Créé en 1959, le Grand Nancy exerce déjà toutes les compétences dévolues aux métropoles, telles que le développement économique, et accueille sur son territoire plusieurs fonctions stratégiques de l’État (rectorat de région, Agence régionale de santé de la région Grand Est, armée…), ainsi que de nombreux services et équipements à vocation métropolitaine (Université de Lorraine, CHRU…).
>De Leblogdesinstitutionnels
https://plus.google.com/107146227449191020933/« >Mon profil Google
http://leblogdesinstitutionnels.fr/about-me » rel= »author »> Ma bio en résumé
Développement économique : Tout savoir sur la loi NOTRe
Source : www.franceurbaine.org
La loi portant Nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe), promulguée le 7 août 2015, a bousculé le périmètre de compétences des collectivités locales, à commencer par les métropoles et les régions, têtes de réseau de l’organisation territoriale.
Quelles sont ces évolutions en matière de développement économique ? France urbaine vient de les recenser dans un document de 9 pages présenté le 27 avril 2016 aux élus de la commission « Développement économique, numérique et innovation », co-présidée par Jean-Louis Fousseret, maire de Besançon, président du Grand Besançon, 1er vice-président de France urbaine et Jean Rottner, maire de Mulhouse.
>De Leblogdesinstitutionnels
https://plus.google.com/107146227449191020933/« >Mon profil Google
http://leblogdesinstitutionnels.fr/about-me » rel= »author »> Ma bio en résumé
Promesses et enjeux de la ville intelligente en France
Source : www.franceurbaine.org
« Villes intelligentes, smart, agiles : enjeux et stratégies de collectivités françaises », une étude du CGDD
A partir d’une série d’entretiens menés auprès d’une quinzaine de responsables, élus et agents de grandes villes et métropoles françaises, cette étude permet d’éclairer les stratégies et le positionnement des collectivités françaises qui s’engagent dans une démarche de ville intelligente.
Elle identifie, dans un premier temps, les objectifs qui sous- tendent l’action des grandes villes françaises avant d’analyser, dans un deuxième temps, les différents modes de construction des stratégies locales et les modèles de gouvernance mis en place, ainsi que les partenariat locaux. Il existe en effet plusieurs modèles de villes intelligentes, correspondant à des contextes, des démarches et des objectifs variés.
La dernière partie de l’étude concerne plus spécifiquement les défis juridiques, financiers et culturels auxquels sont confrontées les collectivités > Consulter le texte de l’étude
>De Leblogdesinstitutionnels
https://plus.google.com/107146227449191020933/« >Mon profil Google
http://leblogdesinstitutionnels.fr/about-me » rel= »author »> Ma bio en résumé