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Végétalisation et agriculture urbaine :  objectif de 100 hectares pour @paris

Source : Paris


Jeudi 2 mars au Pavillon de l’Arsenal, 38 nouveaux acteurs privés, publics et parapublics ont signé l’édition 2017 de la charte « Objectif 100 hectares ».

D’ici 2020, Paris comptera 100 hectares de toits et murs végétalisés dont 33 hectares dédiés à l’agriculture urbaine

En 2016, 33 partenaires avaient signé cette charte et permis de lancer le premier appel à projets «Les Parisculteurs».
33 projets lauréats des Parisculteurs verront le jour sur une surface de 5,5 hectares, pour certains dès 2017, et seront développés par des startups, associations, entreprises et agriculteurs installés sur des toits, dalles et parkings parisiens.
Au total, ces projets permettront la création de 120 emplois ainsi que la production annuelle de 425 tonnes de fruits et légumes, 24 tonnes de champignons, plus de 8000 litres de bières, 3 tonnes de poisson et plus de 30 000 fleurs.
À l’initiative de Pénélope Komites, adjointe à la Maire, 38 nouveaux partenaires (entreprises, acteurs privés, publics, parapublics, deux collectivités et une copropriété) ont signé l’édition 2017 de cette charte.
Cette mobilisation autour d’une ambition commune pour le développement de l’agriculture urbaine permet notamment de sensibiliser l’ensemble des acteurs parisiens et de démultiplier les initiatives. Un véritable cluster de l’agriculture urbaine émerge à Paris.

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L’#ESG se développe dans l’investissement immobilier @Novethic


Source Enquête Novethic :
Le nombre d’investisseurs  immobiliers affichant un  objectif environnemental a doublé 

Novethic a publié le 11 janvier 2017 une enquête sur l’investissement responsable des FIA (SCPI, OPCI et autres Fonds d’Investissement Alternatifs) dans le marché immobilier français non coté*, avec le soutien de l’ASPIM (Association Française des Sociétés de Placement Immobilier). 

Les résultats montrent une nette amélioration dans la prise en compte des critères environnementaux et sociaux dans la gestion immobilière, par rapport à l’édition 2014. 

Une progression sans doute impulsée par la loi Transition Énergétique et Écologique (TEE) qui oblige les investisseurs à publier un reporting sur ce sujet.
L’efficacité énergétique devient un standard de la gestion immobilière
90% des répondants intègre l’analyse de la performance énergétique des bâtiments dans leur gestion, et autant ont formalisé une politique de prise en compte de critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG). Ces chiffres témoignent de la diffusion rapide des pratiques d’investissement responsable dans la gestion immobilière.

Autre signal fort, le suivi de la performance ESG des portefeuilles pendant la phase de détention des actifs immobiliers s’accentue, en complément des analyses lors de la phase d’acquisition. Ces analyses, permettant de mesurer l’efficacité des actions d’amélioration, sont menées par près de la moitié des acteurs et concernent 24,7 milliards d’euros d’encours (+46% par rapport à 2014).
Des process de plus en plus associés à des objectifs chiffrés
La formalisation des objectifs d’amélioration fait également l’objet d’une forte progression puisque 55% du panel a chiffré ces objectifs, alors qu’ils n’étaient que 25% en 2014.
On distingue quatre principaux thèmes associés à des objectifs chiffrés d’amélioration, avec en premier lieu la performance énergétique des bâtiments qui concerne près de 30 milliards d’euros : des encours qui ont plus que doublé par rapport à 2014. Suivent la gestion de l’eau et des déchets, l’obtention de certifications et la thématique sociale (relation avec les sous-traitants, confort des locataires, etc).
+45% d’encours en ISR et/ou en fonds thématiques
Ce bond de +45% est dû à la création de nouveaux fonds et à la collecte de fonds existants, notamment pour les encours gérés selon une démarche ISR (Investissement Socialement Responsable). Principalement détenus par les investisseurs institutionnels, ils passent de 2,64 à 5,17 milliards d’euros. Quant aux encours gérés selon une thématique sociale ou environnementale, privilégiés par les investisseurs particuliers, ils restent relativement stables malgré une légère augmentation.

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7e atelier de l’innovation « RSE et bien-être au travail » @FondationR1

logo_fondation-Rennes1 La Fondation Rennes 1, en partenariat avec la chaire RSE, Innovation et transformations numériques, invite ses membres à sa

7e édition des Ateliers de l’innovation sur le thème « RSE et bien-être au travail »

vendredi 03 mars 2017

Avec la participation de Thierry Pénard, professeur d’économie à l’Université de Rennes 1, chercheur au Centre de Recherche en Économie et Management et titulaire de la chaire, et David Mesclet, professeur d’économie à l’Université de Rennes 1, chercheur au Centre de Recherche en Économie et Management, des questions sur le bien-être des salariés, les conditions de travail, la satisfaction au travail… seront traitées minutieusement.

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Les coûts des énergies renouvelables en France @ademe

Source : Étude ADEME 


À l’occasion des Assises européennes de la transition énergétique, l’ADEME publie le 25 janvier son étude « Coûts des énergies renouvelables en France ». Elle montre que le coût des énergies renouvelables (EnR) continue de baisser rapidement, et détaille également les principaux paramètres régissant les coûts de production des différentes filières de production de chaleur ou d’électricité renouvelables.

Selon l’étude, l’éolien, le photovoltaïque et le bois-énergie atteignent un niveau de coût compétitif avec les technologies conventionnelles. L’éolien terrestre est le plus compétitif vis-à-vis des moyens conventionnels, avec une fourchette de coûts de production possibles comprise entre 57 et 91 €/MWh. Le photovoltaïque possède quant à lui un potentiel d’innovation très important sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets. Le coût total des centrales au sol photovoltaïques est estimé entre 74 et 135 €/MWh, et les meilleures sont aussi en compétition avec les moyens conventionnels. Chez les particuliers, le bois-énergie offre des coûts de revient moins élevés : entre 48 et 103 €/MWh contre 84 pour le gaz et 153 pour le chauffage électrique. Les EnR représentent également un potentiel très important pour l’alimentation en chaleur des installations de grande taille, et sont légèrement plus chères que le gaz, actuellement très bas.
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La France : 1ere émission obligataire verte au monde  

Source : Agence France Trésor

L’Agence France Trésor a annoncé le 24 janvier 2017 avoir procédé avec succès au lancement inaugural de la première émission souveraine verte française d’une maturité de 22 ans, l’OAT verte 1,75 % 25 Juin 2039, pour un montant de 7 milliards d’euros, soit l’obligation verte de référence la plus importante en taille et la plus longue en maturité jamais émise. 
En devenant le premier État au monde à émettre un emprunt vert pour une taille de référence, la France confirme ainsi son rôle moteur dans la mise en œuvre des ambitions de l’accord de Paris sur le Climat de décembre 2015.

Caractéristiques

Au terme de la construction du livre d’ordres ouvert le 24 janvier 2017 en début de matinée et clôturé en milieu de journée, la demande totale a atteint un montant de plus de 23 milliards d’euros, dont 7 milliards d’euros ont été servis. Le prix a été établi à 100,162, reflétant un taux de rendement à l’émission de 1,741 %. 
Le livre d’ordres de l’opération est le reflet d’une base d’investisseurs très diversifiée comprenant des investisseurs spécialisés ISR. Près de 200 investisseurs finaux ont apporté leur soutien à l’émission de cette première obligation verte souveraine. 
La demande émane de gestionnaires d’actifs (33 %), de banques (21 %), de fonds de pensions (20 %), d’assureurs (19 %), d’institutions publiques (4 %) et de gestions alternatives (3 %). 

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