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Les unités urbaines de 2010 concentrent les ¾ de la population aquitaine

En Aquitaine, l’urbanisation se poursuit le long des principaux axes de circulation, en lien avec la très forte attractivité de la région. Les unités urbaines se sont pour la plupart étendues, mais au total leur croissance démographique résulte plus de leur densification que de leur extension.

Depuis 1999, elles gagnent en moyenne annuelle 1,6 % d’habitants alors que, dans le même temps, les territoires ruraux en perdent 0,4 %. Au total, 73 % des Aquitains sont des urbains.

Bordeaux reste la 7e agglomération urbaine française. Dans la région, 27 unités urbaines dépassent 10 000 habitants.

Plus d’informations sur le portail de l’INSEE

Les chiffres de l’ Action Sociale départementale

Le groupe de travail « indicateurs sociaux départementaux » a rassemblé en 2009 des représentants des départements (Assemblée des départements de France, Conseils généraux de tailles et d’origines variées, Observatoire national de l’action sociale décentralisée -Odas), des représentants de la statistique publique et d’organismes gérant des systèmes d’information sociale au niveau national ou régional (Caisse nationale d’allocations familiales- Cnaf, Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie -CNSA-, Mutualité sociale agricole, Observatoire national de l’enfance en danger -Oned, Drees, DGCL, Insee). Il vise à définir le socle de base d’un système d’information partagé entre les échelons centraux et départementaux pour les principaux domaines de l’action sociale départementale.

Consulter les données sur le portail de l’INSEE

La place du secteur associatif et de l’action sociale dans l’économie

Les institutions sans but lucratif au service des ménages employaient 900 000 personnes en 2008, soit 3 % de l’emploi total. Elles ont versé 23 milliards d’euros de rémunérations et acheté pour près de 17 milliards d’euros de biens et services (y compris investissement). Ce faisant, elles ont produit et distribué gratuitement ou presque des services pour un coût de 40 milliards d’euros. La moitié de ces services relève d’activités d’enseignement et d’activités récréatives, sportives et culturelles, l’autre moitié relève de l’aide aux personnes handicapées et en difficulté. Mais la production d’action sociale correspond plus généralement à l’aide à l’ensemble des personnes fragiles ; elle s’élève en France à 62 milliards d’euros, car elle est aussi le fait d’autres acteurs de l’économie et couvre aussi d’autres publics, en particulier les personnes âgées. Les bénéficiaires, hébergés, accueillis à la journée ou pris en charge à domicile, financent 30 % du coût de l’action sociale.

Consulter l’étude complète sur le site de l’INSEE

Baromètre de l’habitat: prix des logements anciens et loyers entre 2000 et 2010

Entre 2000 et 2010, les prix des logements anciens ont plus que doublé alors que les loyers ont augmenté de 29 %, à un rythme proche de celui du revenu disponible des ménages. Les prix à la consommation, quant à eux, ont connu des progressions moindres. La hausse des loyers a ralenti à partir de 2006, date d’introduction du nouvel indice de référence des loyers. Ces évolutions, mesurées à qualité constante, s’accompagnent plus largement d’un poids croissant, dans leur revenu, des débours que les ménages consacrent à leur logement (loyers ou mensualités de remboursement des emprunts, charges collectives et dépenses individuelles d’énergie et d’eau). Ce poids a particulièrement augmenté pour les locataires du secteur libre et les ménages à faibles ressources. Les écarts entre province et Île-de-France ont tendance à se réduire.
Consulter le dossier complet sur le site de l’INSEE

Les réalités du handicap dans les Hauts-de-Seine

Deux enquêtes autour du thème « Handicap ou incapacité des 20-59 dans les Hauts-de-Seine » ont été publiées en janvier par l’Insee, en partenariat avec le conseil général.

Jupiterimages/Getty Images

Dans les Hauts-de-Seine, deux personnes sur cinq en situation de handicap ou d’incapacité sont inactives (Jupiterimages/Getty Images).

La première enquête, « Une insertion professionnelle plus difficile que l’insertion sociale », révèle que 85 % des personnes en situation de handicap ou d’incapacité sortent quotidiennement de chez elles, aux heures et dans les lieux qu’elles souhaitent. Elles utilisent régulièrement les transports en commun. En revanche, leur insertion dans le monde du travail est plus difficile. Deux sur cinq sont inactives, contre 12 % des autres Alto-Séquanais. Cette situation est comparable à celle de l’Île-de-France où 36 % des personnes en situation de handicap ou d’incapacité sont inactives, contre 13 % pour les autres Franciliens. Elles sont davantage au chômage ou à temps partiel. Et la moitié de celles qui travaillent éprouvent des difficultés à accomplir leurs tâches professionnelles. L’insertion professionnelle est particulièrement compliquée pour les personnes ayant des déficiences mentales ou psychiques : seulement 37 % d’entre elles occupent un emploi.

Consulter les études en ligne sur le site hauts-de-seine.net

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